40 % des femmes migrantes infectées par le VIH/sida l’ont été 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯𝐞́𝐞 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 👉 En France, 1/3 des nouveaux cas concerne des femmes, dont 63 % sont migrantes. Ces chiffres révèlent une réalité trop souvent invisibilisée. 💬Comme le rappelle Nicolas Derche, Directeur national santé communautaire du Groupe SOS : « L’épidémie n’est pas qu’une question de comportements individuels, mais de conditions de vie. ». Parcours migratoires, violences, précarité sociale et administrative… autant de facteurs qui augmentent la vulnérabilité. Galatée Cosset Desplanques, Directrice de l’Hôpital Jean Jaurès, souligne : « Ces femmes ont traversé des parcours marqués par la violence et la précarité. Sans accès aux soins, la santé publique est menacée. » Pourtant, nous disposons aujourd’hui d’outils efficaces pour éradiquer le VIH : dépistage, traitements antirétroviraux, PrEP & TPE... Mais leur efficacité dépend d’un accès réel aux soins et d’une société inclusive. ⚠ 𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐞𝐬 𝐛𝐮𝐝𝐠𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐦𝐞𝐧𝐚𝐜𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐭 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐥𝐢𝐛𝐫𝐞. Réduire l’accès à l’AME ou fragiliser les associations, c’est prendre le risque d’aggraver la propagation du virus et de mettre en péril la santé publique. En cette journée mondiale de lutte contre le VIH/sida, retrouvez l’intégralité des analyses et recommandations de Nicolas Derche et Galatée Cosset Desplanques dans notre livre blanc 🔗 Il alerte sur les conséquences des restrictions budgétaires et propose des solutions concrètes pour garantir l’accès aux soins, renforcer l’inclusion et soutenir les associations en première ligne.
GROUPE SOS
Organisations à but non lucratif
Entreprendre au profit de tous
À propos
Le Groupe SOS est une organisation à but non lucratif, engagée en faveur du vivre-ensemble. Il développe et unit des associations et entreprises sociales, reliées par leur engagement social et environnemental. Son action s’articule autour de deux grandes priorités : la gestion d’établissements non lucratifs dédiés à la jeunesse, à la santé, aux personnes vulnérables et aux personnes âgées ; la préparation d’un avenir durable et solidaire, avec des projets ambitieux pour la transition écologique, la revitalisation territoriale, les commerces responsables et l’accès à la culture. Laïc et apartisan, il porte un véritable projet de société, centré sur l’intérêt général. Avec 26 000 personnes employées, 2 millions de bénéficiaires chaque année et une présence dans 50 pays, le Groupe SOS prouve qu’un impact d’envergure est souhaitable, pour bâtir un avenir plus juste et solidaire.
- Site web
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http://www.groupe-sos.org/
Lien externe pour GROUPE SOS
- Secteur
- Organisations à but non lucratif
- Taille de l’entreprise
- + de 10 000 employés
- Siège social
- Paris
- Type
- Non lucratif
- Fondée en
- 1984
- Domaines
- Entrepreneuriat social
Lieux
-
Principal
Obtenir l’itinéraire
102 C rue Amelot
75011 Paris, FR
Employés chez GROUPE SOS
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Jean-Charles de Margerie
Directeur de Projets Système d'information - transformation digitale - Groupe SOS
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Alexandre de Coupigny
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Christelle Destombes
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MARION ZEMANIK
Directrice Performance Extra Financière et Achats - Membre du Comex / Head of Extra Financial Performance & Purchasing - ExCo Member
Nouvelles
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🌍 𝐆𝐫𝐞𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐢𝐝𝐚𝐲 : dire NON à l’illusion des prix barrés ! Pour la 9ᵉ année consécutive, le Collectif Green Friday, dont ALTERMUNDI du Groupe SOS est membre, rappelle que derrière chaque rabais se cachent des coûts humains, sociaux et environnementaux. Les prix barrés ne sont pas des cadeaux : ils alimentent un modèle économique fondé sur la surconsommation, qui épuise nos ressources et fragilise nos sociétés. Tout est pensé pour déclencher l’achat impulsif, activer de faux besoins et nous pousser, saison après saison, au-delà de nos moyens. ✅ Des alternatives existent : * Réparer plutôt que jeter * Acheter d’occasion * Privilégier le reconditionné * Soutenir les marques responsables Ensemble, refusons l’illusion des prix barrés et construisons un modèle durable. 📢 Téléchargez le manifesto et soutenez le collectif en commentaire.
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𝐂𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐚𝐧𝐧𝐞́𝐞, 𝐝𝐞𝐬 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐟𝐮𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬, 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐥𝐢𝐭𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬. Elles quittent tout dans l’espoir de trouver refuge, sécurité et dignité. Pourtant, leur parcours ne s’arrête pas à la frontière : il se poursuit à leur arrivée, dans un labyrinthe administratif, médical et social, où chaque étape exige un accompagnement spécialisé. 👉Le 21 novembre, le Groupe SOS et Stand Speak Rise Up ! ont organisé une journée d’échanges et de débats intitulée « Femmes en situation d’exil : De la violence à la résilience, accompagner l’après ». Des dizaines d’acteurs associatifs, experts et survivantes étaient présents pour faire le bilan de la situation à l’international et en France, dénoncer l’impact des coupes budgétaires sur les dispositifs d’accompagnement, et mettre en lumière les femmes en exil et les solutions de terrain. A cette occasion, (re)découvrez en images cette journée dédiée à la résilience des femmes en exil. Et pour aller plus loin, consultez le livre blanc produit par le Groupe SOS et Stand Speak Rise Up! à retrouver dans le lien en commentaire 🔗 Chékéba Hachemi Gaëlle Tellier
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Centres éducatifs fermés : l’important, c’est ce qu’on y fait. Le ministre de la Justice s’est exprimé aujourd’hui sur l’avenir des Centres éducatifs fermés (CEF), des établissements judiciaires qui offrent, dans un cadre strict mais éducatif, une alternative à l’incarcération pour des mineurs. Il a annoncé la transformation des CEF publics en « foyers éducatifs renforcés ». Les CEF gérés par des associations - dont les sept établissements du Groupe SOS Jeunesse - ne sont pour l’instant pas concernés, mais nous suivons de près le détail des annonces. Cette actualité rappelle un point essentiel : les CEF sont, parmi d’autres dispositifs, une alternative éducative utile pour accompagner des jeunes en grande difficulté, construire un projet d’insertion et éviter la récidive, sous contrôle de la Protection judiciaire de la jeunesse. Limiter l’incarcération des mineurs est un principe fondateur de la justice des enfants. Nous défendons depuis toujours la primauté de l’éducatif sur le répressif, conformément à la loi de 1945 sur la protection des mineurs et aux engagements du droit international. Plusieurs rapports récents - Cour des comptes (2023) et l’Inspection générale de la justice (2025) - montrent qu’un grand nombre de jeunes sortent des CEF mieux qu’ils n’y arrivent, lorsque les moyens éducatifs, scolaires et sanitaires sont réunis. Ces réalités appellent avant tout des besoins d’investissements renforcés : plus d’éducation, plus de soins, une meilleure attractivité des métiers, un suivi éducatif renforcé en sortie de CEF. Dès 2022, notre plaidoyer appelait à mieux mesurer l’impact des CEF pour suivre les parcours des jeunes et améliorer les pratiques. Quel que soit le nom futur des dispositifs, c’est le contenu éducatif qui compte. Le Groupe SOS Jeunesse, ce sont 30 établissements engagés dans l’accompagnement pénal des mineurs, et 598 jeunes accompagnés en 2024 dans ce cadre. Nous continuerons à défendre des alternatives éducatives solides, évaluées et utiles, pour aider durablement les jeunes à sortir de la délinquance. Le lien vers notre plaidoyer complet sur le sujet est à retrouver en commentaire.
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Femmes en exil : de la violence à la résilience. 👉 Chaque année, des milliers de femmes fuient les violences, les conflits et les persécutions. Leur parcours ne s’arrête pas à la frontière : il se poursuit dans un labyrinthe administratif, médical et social, où chaque étape exige un accompagnement spécialisé. 📌À l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le Groupe SOS et Stand Speak Rise Up! publient la 2e édition du Livre blanc : ➡️Pour alerter sur une réalité trop souvent ignorée ➡️Pour proposer des réponses concrètes et durables Nous avons un devoir collectif : garantir plus qu’un refuge. Offrir un accompagnement global qui inclut hébergement digne, soins, justice, autonomisation, sport et culture comme leviers de reconstruction. Découvrez le Livre blanc et mobilisons-nous pour replacer les survivantes au cœur des politiques publiques !
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🌍 Le Groupe SOS lance Nouvelle Fabrique - Groupe SOS : un nouveau réseau de boutiques de seconde main, où objets et parcours reprennent vie. Dans un contexte de hausse des prix et de recherche de sens dans la consommation, les boutiques Nouvelle Fabrique proposent une seconde main désirable, locale et responsable. Meubles, électroménager, textiles, matériaux du bâtiment : les objets collectés dans les territoires sont triés, réparés et remis en vente dans des espaces chaleureux et accessibles à tous. Ces boutiques incarnent une 𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐞 𝐜𝐢𝐫𝐜𝐮𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐱𝐢𝐦𝐢𝐭𝐞́, où les produits retrouvent leur valeur, et les personnes, leur confiance. 💬 “La circularité n’est pas seulement une affaire de matière, c’est aussi une histoire d’humain. Chaque objet réparé redonne de la valeur à ce qui semblait perdu, et chaque personne accompagnée retrouve une trajectoire pleine de sens.” Anne-Laure Asboth, Directrice du pôle Economie Circulaire - Direction générale Transition écologique et Territoires, Groupe SOS. Nouvelle Fabrique, c’est : ✔ Un réseau d’associations et d’entreprises d’insertion implantées dans les territoires ; ✔ Des ateliers de collecte, tri, réparation et reconditionnement ; ✔ Des boutiques solidaires où la seconde main devient désirable, accessible et chaleureuse. A horizon 2030, l'ambition est de déployer ce modèle inclusif dans chaque région de France pour créer des emplois locaux, développer des métiers d’avenir et inventer de nouveaux usages du réemploi. Avec Nouvelle Fabrique, le Groupe SOS démontre qu’une autre économie est possible : plus circulaire, plus inclusive, plus ancrée dans les territoires. Parce que donner une seconde vie aux objets, c’est aussi offrir un nouvel élan aux personnes. Découvrez notre démarche et rejoignez le mouvement en commentaire 🔗
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⚙️ Semaine de l'Industrie : l'École Jules Richard, un établissement du Groupe SOS, tremplin pour la promotion sociale et professionnelle ! A l'occasion de la Semaine de l’Industrie, l'Ecole Jules Richard a mis en lumière sa mission : rapprocher éducation et industrie, favoriser la mixité et montrer que le modèle non lucratif est pertinent même dans le scolaire. Fondée il y a plus d’un siècle, l'Ecole Jules Richard forme à Paris, dans le 19e arrondissement, les technicien.nes de demain pour les industries de précision. Etablissement laïc et non lucratif, l'école propose des formations reconnues pour des métiers à forte employabilité dans l’aéronautique, les transports, la robotique… Grâce à des parcours construits avec des entreprises partenaires, à une accessibilité renforcée et à des actions concrètes en faveur de la diversité, l’école prépare des professionnel.les engagé.es, pour relever les défis technologiques et humains de demain. Lors de cette semaine spéciale, deux temps forts ont marqué nos étudiant.es et partenaires : ✅ Immersion professionnelle chez Trescal : nos classes de BTS Conception et Industrialisation en Microtechniques ont découvert laboratoires, processus de calibration et métiers liés à la précision chez Trescal, leader mondial indépendant de la métrologie. ✅ Promotion de la mixité et des vocations féminines : une cinquantaine de collégiennes du Collège Maubuisson (Bessancourt) ont été accueillies à l’école avec le soutien de l’association Elles bougent, pour explorer concrètement les métiers techniques et industriels. 👏 Bravo à nos étudiant.es, équipes pédagogiques et partenaires pour ces actions qui font bouger les lignes, rapprochent les jeunes des métiers d'avenir et montrent que l’École Jules Richard est un tremplin pour la promotion sociale et professionnelle.
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« 𝐏𝐫𝐨𝐭𝐞́𝐠𝐞𝐫, 𝐡𝐞́𝐛𝐞𝐫𝐠𝐞𝐫, 𝐞𝐭 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫𝐯𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐨𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥 — 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐪𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐝𝐢𝐠𝐧𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐝’𝐢𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐚𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 » Muganga, le film retraçant le parcours de Denis Mukwege, met en lumière les atrocités subies par des milliers de femmes. Ce n’est pas une fiction : des vies sont brisées, ignorées, et l’accompagnement des survivantes dans leur pays d’origine et dans leur pays d’accueil reste trop souvent négligé. 🌎 À l’échelle mondiale, les droits des femmes continuent d’être attaqués : restrictions du droit de vote, lois répressives, limitation de l’autonomie, banalisation des violences sexuelles. Le dernier rapport de l’ONU indique une augmentation de 25 % des violences sexuelles en conflits par rapport à l’année précédente. Les choix politiques sur les restrictions budgétaires ou les propos tenus par des dirigeants ont des conséquences concrètes : augmentation des violences, multiplication des situations d’exil et souffrances aggravées. 👉 Chaque jour, le Groupe SOS, Stand Speak Rise Up ! et les associations signataires accompagnent des femmes en exil victimes de violences. Elles cherchent refuge et dignité, mais se heurtent à la réalité : manque d’hébergement, d’accès aux soins et au suivi psychologique. Protéger et accompagner les femmes n’est pas secondaire : c’est la condition d’une société juste et démocratique. Il est essentiel de • financer durablement les associations ; • former les agents publics ; • intégrer les femmes dans les processus de paix ; • soutenir les ONG locales ; • mettre la santé, la justice et l’insertion au cœur des politiques publiques. Le Groupe SOS et Stand Speak Rise Up! organisent ce vendredi 21 novembre au Pan Pier, l’évènement Femmes en situation d’exil : de la violence à la résilience, accompagner l’après. L’occasion de faire un état des lieux au niveau national et international, échanger autour de l’impact des coupes budgétaires, mais aussi de mettre en avant des associations, des dispositifs, qui œuvrent chaque jour sur le terrain. Tribune en commentaires et plus de détails ci-dessous 🔗
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Peut-on vraiment se passer des ARS ? Depuis 15 ans, les Agences régionales de santé (ARS) sont au cœur du fonctionnement des associations et des structures de santé. Les ARS définissent les priorités locales, coordonnent les acteurs du territoire et veillent à ce que l’ensemble des dispositifs médico-sociaux et sanitaires fonctionne de manière cohérente. Grâce à leur pilotage, les hôpitaux, cliniques et structures sociales comme celles du Groupe SOS peuvent organiser leurs activités, répondre aux besoins des patient.es et des personnes vulnérables, et assurer un suivi adapté à chaque territoire. Les annonces récentes du Premier ministre concernant l’avenir des ARS suscitent des inquiétudes. Le Groupe SOS le rappelle clairement : toucher à ce rôle structurant, c’est fragiliser encore davantage notre système de santé. C’est risquer de le rendre inégalitaire, là où le contexte social exige un égal accès aux soins de tous et pour tous. Oui, il faut plus de proximité. Oui, il faut donner davantage de marges de manœuvre aux territoires. Mais décentraliser ne doit jamais signifier désorganiser : - Revenir à une gouvernance départementale, ou disperser les responsabilités entre Préfectures, Départements et services déconcentrés réintroduirait complexité et inégalités ; - Faire dépendre une partie du financement de la santé à la richesse locale, c’est accepter que l’accès aux soins varie d’un territoire à l’autre. La solidarité nationale ne peut pas devenir une loterie. Chaque jour, nous travaillons aux côtés d’équipes des ARS dévouées et engagées, qui connaissent leurs territoires et les besoins des populations. Au Groupe SOS, nous savons qu’un statu quo ne bénéficie à aucune organisation, et ne sommes pas opposés à l’idée d’une réforme. Mais celle-ci doit à la fois renforcer la cohérence nationale et permettre une action concrète sur le terrain, là où naissent les innovations sociales : répondre aux besoins de santé dans les zones sous-dotées, déployer des équipes mobiles, adapter les réponses aux situations locales, favoriser des coopérations, ou expérimenter de nouvelles organisations et financements. Nous appelons à une réforme qui : - Garantit un pilotage national clair, pour que tous les habitant.es du pays puissent accéder aux soins, où qu’ils habitent ; - Permet des décisions locales souples, adaptées à chaque territoire ; - Assure des interlocuteurs et interlocutrices proches du terrain, pour accompagner nos initiatives. Le Groupe SOS prend position pour préserver l’égalité d’accès aux soins, et pour une réforme cohérente et non précipitée, qui associe tous les acteurs, y compris les partenaires associatifs, à ses réflexions. Jean-Marc Borello Guy SEBBAH Clement Lacoin Sofiane Kherarfa Marine Creuzet Loïc Rumeau Gaëlle Tellier Guylaine Chauvin
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Le Groupe SOS et le cinéma Utopia vous invitent à la projection du documentaire 𝐋’𝐀̂𝐠𝐞 𝐝’𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐋𝐢𝐛𝐫𝐞, réalisé par Alice Odiot et Benjamin Géminel. Pendant plus de neuf mois, les réalisateurs ont suivi le quotidien d’associations et d’établissements médico-sociaux du Groupe SOS. À travers six portraits de vie, ce documentaire donne la parole à celles et ceux que l’on entend trop peu : personnes en situation de précarité, d’addiction, d’exil ou de réinsertion, accompagnées par des professionnels engagés. Ce documentaire met en lumière les actions concrètes menées en France et à l’international par les équipes du Groupe SOS, au service d’une société plus solidaire, inclusive et durable. 📅 Rendez-vous le jeudi 20 novembre à 20h30 au Cinéma Utopia – 1 place Pierre Mendès-France à Saint-Ouen-L’Aumône. 🎟 Tarifs : 7,50 € / Tarif réduit : 4,50 € (billets en vente sur place) La projection sera suivie d’un ciné-débat avec des acteurs associatifs et institutionnels locaux.
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