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Champ Mag FORCE L. L. INDUCT CIRCUI

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TRAVAUX DIRIGES : CHAMP MAGNETIQUE B TLEC

Prof chargé du cours : Monsieur Garba Saley

EXERCICE N°1 :
Deux solénoïdes identiques S1 et S2 sont disposés comme le montre la figure ci-dessous. Leurs axes se coupent
en O, à la même distance d = OA1 = OA2 des faces les plus proches et font un angle 𝛼 = 45°.

j
S1 A1 𝛼
O i

S2 A2
Vue de dessus

a) Le solénoïde S1 crée en O un champ magnétique B1 de vecteur 4,0.10-3T, lorsqu’il est parcouru par un courant
d’intensité I1.
Préciser la direction et le sens de B1. La face A1 est-elle Sud au Nord.
b) Le solénoïde S1 fonctionnant dans les conditions précédentes, on fait passer dans le solénoïde S2 un courant
continu d’intensité I2. Quel doit être le sens du courant I2 pour que le champ magnétique total : B = B1 + B2 créé
par les deux solénoïdes en O ait même direction que J.
Quel est alors le sens du champ B2 ? La face A2 est-elle Sud au Nord ?
c) Calculer la valeur du champ magnétique total B ainsi que celle de l’intensité I2 sachant que I1 = 1,2A.

Exercice N°2
Un solénoïde horizontal comporte 2000 spires par mètre et renferme, dans sa région centrale, une aiguille
aimantée, placée sur pivot. Initialement, l’axe horizontal du solénoïde est dans le plan du méridien magnétique
du lieu où l’on réalise l’expérience.
1) Calculer l’intensité I0 du courant qui doit passer dans le solénoïde pour que le champ magnétique créé dans sa
région centrale ait même valeur que la composante horizontale du champ terrestre Bh = 2.10-5T.
2) On désire créer, dans le solénoïde, une zone où il n’existe pas de composante horizontale du champ
magnétique.
a) Faire un schéma indiquant la position du solénoïde et le sens du courant qui le parcourt.
b) Quelle orientation l’aiguille aimantée prend alors ?
3) Le solénoïde conservant la position précédente, on modifie l’intensité du courant sans en changer le sens :
I = 2I0
a) Quelle position l’aiguille aimantée prend-elle ?
b) De quel angle doit –on faire tourner le solénoïde autour de son axe vertical pour que l’aiguille tourne de 90° ?
4) Reprendre les mêmes questions 3) a) et b) lorsque I b= 2I0, mais avec un sens de courant inverse.

Exercice N°3
On étudie à l’aide d’un teslamètre l’intensité B du champ magnétique créé par un courant passant dans un
solénoïde en son centre, en fonction de divers paramètres.
1. Dans une première expérience, on utilise un solénoïde de longueur l1 = 0,50m comportant N1 = 240 spires.
On fait varier l’intensité I (en A) du courant qui passe dans le solénoïde ; pour chaque valeur de I, on note la
valeur en B (en T). Les résultats sont consignés dans le tableau suivant :
I(A) 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0
-5 -5 -5 -5
B(T) 60.10 85.10 120.10 150.10 190.10-5
I(A) 3,5 4,0 4,5 5
-5 -5 -5
B(T) 215.10 245.10 275.10 310.10-5

Représenter graphiquement B en fonction de I.


(Echelles : 1cm pour 0,5A ; 1cm pour 20.10-5T)
En déduire une relation entre B et I.
2. On refait la même expérience avec un solénoïde de longueur l2 = 0,8m comportant N2 = 768 spires. On obtient
les résultats suivants :

I(A) 1,0 2,0 3,0 4,0


B(T) 120.10-5 240.10-5 380.10-5 480.10-5

a) Calculer le nombre n de spires par mètre pour chacun des deux solénoïdes.
b) Déduire des deux expériences une relation entre I et n.
c) Déduire des deux expériences une relation entre B, n et I.
d) Dans la formule théorique liant B, n et I intervient un coefficient 𝜇0 = 4𝜋.10-7
(unité S.I). Comparer cette valeur à celle qui est déterminée par le graphique obtenu à la question 1.
TRAVAUX DIRIGES : FORCE DE LORENTZ TLED
EXERCICE N°1 : Spectromètre de masse
Cet appareil permet de trier, des ions de masses différentes et de charges égales, par utilisation d’un champ
électronique et d’un champ magnétique.
A l’aide d’un spectrographe de masse schématisé ci-dessous ; on se propose de séparer des ions 79Br et 81Br de
masses respectives m1 et m2
m1 = 1, 3104.10-25kg et m2 = 1,3436.10-25kg.

(p1) (p2)

1 2 A V1 ou V2 3

Br - E

M
4 B
P x

Les ions Br, produits dans la chambre d’ionisation (1) pénètre en O, dans la chambre d’accélération (2) où règne
un champ électrique uniforme E crée par une tension U. Les ions 79Br et 81Br sortent en A avec des vitesses
respectives V1 et V2. Leurs vitesses sont négligeables en O.
1°) Exprimer littéralement les valeurs de V1 et V2.
2°) Les ions Br pénètrent en A, dans une chambre de déviation (3) où règne un champ magnétique B orthogonal
aux vecteurs V1 et V2 et parviennent dans la chambre de réception (4).
a°) Exprimer littéralement les rayons R1 et R2 des deux sortes d’ions en fonction de m1 ou m2, e, U et B.
b°) Calculer la distance MP séparant les points d’impact des deux types d’ions.
Données : U = 4.103V ; B = 0,1T
U = Vp2 – Vp1 = 4.103V

Exercice N°2 : Cyclotron

Un cyclotron comporte deux demi-cylindres creux D1 et D2 séparés par une distance l très petite par rapport à
leur diamètre.
 Une différence de potentiel V1-V2 est appliquée entre D1 et D2 ; il existe dans l’espace qui sépare D1 et D2
un champ électrique uniforme. On admettra que le champ électrique est nul à l’intérieur de D1 et D2.
 A l’intérieur de D1 et D2 règne un champ magnétique B, uniforme et constant.
1. Des protons sont injectés dans D1 avec une vitesse V0 perpendiculaire à B. ils décrivent un demi-cercle dans
D1 et sortent en A’.
a) Quel est le rayon de la trajectoire ?
b) Quelle est la durée du mouvement ? Dépend-elle de V0 ?
2. Les particules sont accélérées entre D1 et D2 par le champ électrique.
a) Quel doit être le sens du champ électrique pour que les particules soit accélérées ?

b) Quel est le signe de V1-V2 ?


3. Les particules pénètrent dans D2.
Décrire leur mouvement. Quel est le temps de parcours dans D2.
4. Les particules sortent de D2 en A’1.
Quel doit être le signe de V1-V2 pour que les protons soient à nouveau accélérés ?
La tension appliquée est donc alternative. Calculer sa fréquence.
5. Les particules continuent aussi leur mouvement de D1 à D2. Elles sont extraites quand le rayon de la trajectoire
atteint la valeur Rm.
Calculer leur énergie cinétique.
Données : m = 1,67.10-27kg ; e = 1,6.10-19C, B = 0,75T, Rm = 0,75m.

D1 D2
A A’1
B B
x x A’
A’ A1
TRAVAUX DIRIGES : FORCE DE LAPLACE TLED
Prof chargé du cours : Monsieur Garba Saley

EXERCICE N°1 : Les rails de Laplace


On réalise l’expérience des rails de Laplace. La tige MN de longueur l = 5cm, est soumise entièrement à l’action
du champ magnétique B supposé uniforme et vertical d’intensité 10-2T.
1. L’intensité du courant I est égale à 12A.
a) Déterminer la force de Laplace qui s’exerce sur la tige.
b) Quel travail effectue cette force si la tige se déplace parallèlement à elle-même, horizontalement sur une
distance d = 10cm ?
B
N T
I
T
M
2. On incline les barres conductrices d’un angle 𝛼 = 10° par rapport à l’horizontale.
Sachant que la masse de la tige MN est 20g, quelle est l’intensité I’ du courant qui maintiendrait la barre
immobile ?
On néglige les frottements et on prendra g = 10m.s-2

Exercice N°2 : Balance de Cotton


Le fléau d’une balance de Cotton est mobile autour d’un axe ∆ horizontal, orthogonal au plan du circuit
PQMNRS (voir figure).
La partie utile du circuit est horizontale.
MQ et NR sont des arcs de cercle centrés en 0.
La balance est parfaitement équilibrée, plateau vide, en l’absence de champ magnétique.
1. Le conducteur MN parcouru par un courant d’intensité I, est plongé dans un champ magnétique uniforme. La
balance est alors déséquilibrée. Pour rétablir l’équilibre, une masse m est placée dans le plateau.
a) Donner toutes les caractéristiques de la force de Laplace exercée sur MN.
b) Calculer l’intensité du champ magnétique B.
2. Quelle serait la masse m’ à placer dans le plateau pour établir l’équilibre, si le champ magnétique B, toujours
horizontal, faisait un angle 𝛼 = 45° avec l’élément du courant MN.
Données : MN = 2cm ; I = 10A ; m = 12.10-2g ; g = 9,8m.s-2.
Q
I
I
R

p
M A
I N S o
B m

d d
Exercice N°3
Un conducteur rectiligne et homogène OA de masse m = 12g et de longueur l = OA = 36cm, est suspendu par
son extrémité supérieure O à un point fixe. Le conducteur peut tourner librement autour de O.

O C

d2 d1 𝛼
G

B
A D

Les bornes C et D sont reliées à un générateur qui maintient dans le conducteur un courant d’intensité I = 7,5A.
a) Un champ magnétique uniforme est créé comme l’indique la figure ci-dessus ; la direction de B est horizontale
et le sens de l’arrière vers l’avant. Le conducteur OA s’écarte de sa position d’équilibre d’un angle 𝛼 = 5°30’.
On suppose que A est situé au voisinage de la surface du mercure. Donner la polarité des bornes C et D.
b) Calculer la valeur B du champ magnétique.
d1 = 20cm ; d2 = 25cm.

Exercice N°4 : La roue de Barlow.


Une roue est constituée de rayons rigides en cuivre, de longueur R.
Elle est mobile autour d’un axe ∆ horizontal passant par son centre. La roue fait partie d’un circuit électrique
parcouru par un courant continu d’intensité I. Elle est entièrement plongée dans un champ magnétique uniforme
B (voir figure) :
1. Donner les caractéristiques de la force de Laplace qui s’exerce sur le rayon.
2. La roue entre en rotation autour de l’axe ∆. Expliquer la rotation et préciser son sens.
3. La roue tourne avec une vitesse angulaire constante 𝜔. Calculer la puissance de la force de Laplace.
Données : B = 2,5.10-2 ; R = 10cm ; I = 5A et N = 50 tours/min.

B I
0
(∆)
I
A

Exercice N°5

Dans tout l’exercice on prendra g= 10N.kg-1.


1. Le dispositif expérimental comporte (figure n°1) :
 deux rails conducteurs XX’ et YY’ horizontaux et parallèles, distants de l = 5cm, branchés aux bornes
d’un générateur du courant continu.
 un conducteur cylindrique AA’ de masse m = 20g qui ferme le circuit. Il est disposé perpendiculairement
aux rails et peut glisser sans frottement sur les rails.
L’ensemble est plongé dans un champ magnétique uniforme vertical, de module B1 = 1Tesla.
Au milieu de la tige AA’ est attaché un fil inextensible, de masse négligeable, parallèle aux rails et reliés par
l’intermédiaire d’une poulie simple à un solide S de masse M = 50g.
Quand on fait passer le courant dans les rails, on constate que la tige AA’ est en équilibre.
a) Reproduire la figure N°1 en vue de face et indiquer les forces qui s’exercent sur la tige AA’.
b) Déterminer le sens et l’intensité du courant dans la tige AA’.
2) Le conducteur AA’ est maintenant susceptible de se mouvoir dans un plan vertical autour de son extrémité A.
l’autre extrémité A’ plonge dans un bac de mercure (Hg) qui permet de maintenir le contact électrique avec un
générateur de tension continue (figure N°2).
L’intensité du courant dans le circuit est I.
Le dispositif est plongé dans un champ magnétique uniforme, de module B, horizontal et orthogonal au plan de
la figure N°2.
a) Que se passe-t-il dans chacun des trois cas suivants :
 I = 0 et B ≠ 0
 I = ≠ 0 et B ≠ 0
 I ≠ 0 et B = 0.
Les résultats sont-ils conservés lorsqu’on permute les bornes du générateur ?
b) On néglige la longueur de la partie de la tige plongée dans le mercure. On admet d’autre part que la ligne
d’action de la force électromagnétique passe par le milieu de la tige.
Calculer la déviation angulaire de la tige quand elle atteint sa position d’équilibre dans le cas où I = 10A et
B = 0,1 Tesla.
A’ B1 Poulie
x x’

y y’
B1

y y’ S
A Figure n°1
Vue de dessus

Hg A’

Figure n°2
TRAVAUX DIRIGES : INDUCTION – AUTO INDUCTION TLED
Prof chargé du cours : Monsieur Garba Saley

EXERCICE N°1 :
Une bobine rectangulaire de côtés a = 3cm et b = 2cm comporte N = 20 spires. Elle est disposée verticalement
dans un champ magnétique B, horizontal et perpendiculaire au plan des spires (fig.1).
Le circuit est fermé et sa résistance vaut R = 2Ω.
On fait varier l’intensité B du champ magnétique selon la courbe de la figure 2.
b B(T)

B 0,2
a

+ 0 1 2 3 t(s)
Figure 1 Figure 2
1. Calculer l’intensité i du courant induit dans la bobine et préciser son sens.
2. Représenter la courbe montrant l’évolution en fonction du temps de la f.é.m. induite.

Exercice N°2 :
On constate le dispositif ci-dessous :
Le conducteur mobile de longueur l se déplace perpendiculairement aux rails dans le champ magnétique B,
perpendiculaire au plan des rails et dirigé vers le haut.
On donne : B = 0,2T ; l = 10cm ; R = 01 Ω.
B

1. Calculer la f.é.m induite, l’intensité du courant induit et préciser le sens du courant dans les trois cas.
a) On déplace le conducteur mobile vers la droite à la vitesse constante v = 10cm.s-1 ;
b) On déplace le conducteur mobile vers la gauche à la vitesse constante v = 20cm.s-1 ;
c) On déplace le conducteur mobile (initialement arrêté) de gauche à droite d’un mouvement uniformément
accéléré d’accélération 0,2m.s-2 entre t = 0 et l’instant t = 2s, puis d’un mouvement uniforme avec la vitesse
acquise à l’instant t = 2s. Donner, dans ce dernier cas, la courbe donnant les variations de l’intensité induite (en
valeur absolue) en fonction du temps.
2. Calculer la quantité d’électricité induite pendant la première phase du mouvement décrit à la question C
(de t = 0 à t = 2s).
Exercice N°3 : principe de l’alternateur.
Un cadre indéformable ACDE (voir figure), d’aire S, comportant N spires, peut tourner autour d’un axe ∆
passant par les milieux des côtés AC et DE. Ce cadre est placé dans un champ magnétique uniforme B
orthogonal à ∆. Les spires sont orientées dans le sens ACDE. La normale au plan du cadre fait un angle 𝛼,
orienté autour de l’axe (∆, k) avec la direction du champ B.

k
A o
C n

E
o’ D

1. Calculer le flux du champ magnétique à travers une spire, puis à travers l’ensemble de la bobine.
2. La bobine tourne à la vitesse angulaire constante 𝜔 autour de ∆. Montrer qu’il apparaît dans la bobine une
f.é.m. induite sinusoïdale. Préciser l’amplitude de cette f.é.m.
3. Application numérique : N = 150 spires S : 900cm2 B : 0,6T 𝜔 : 3000 trs.min-1. Calculer l’amplitude de la
f.é.m.

Exercice N°4 :
Une bobine plate formé de 100 spires de rayon r = 0,10m. Elle est placée perpendiculairement aux lignes de
champ d’un champ magnétique uniforme d’intensité 0,2T ; trouver la valeur absolue de la f.é.m. induite si en une
seconde à partir de la même position initiale :
a) Le champ a doublé ;
b) Le champ est ramené à zéro ;
c) le champ change de sens mais en conservant la même intensité ;
𝜋
d) La bobine est tournée de 2
e) La bobine est tournée de 𝜋
Dans chaque cas, faire un schéma indiquant le sens du circuit.

Exercice N°5 :
Dans cet exercice, on négligera l’action du champ magnétique terrestre. Un circuit (C) comprend un générateur
G et un solénoïde comportant n spires par mètre (n= 2000). A l’intérieur du solénoïde se trouve une bobine plate
P, de même axe que le solénoïde et de bornes K et M. cette bobine P est formée de N = 300 spires, chacune
ayant une surface S égale à 10cm2.
1. a) Le générateur G fait circuler dans un circuit un courant d’intensité 0,3A. Sur un schéma clair, représenter le
vecteur champ magnétique à l’intérieur du solénoïde. Justifier le sens de ce vecteur et calculer sa valeur.
b) On ouvre le circuit du solénoïde. Expliquer pourquoi il apparaît une différence de potentiel UKM entre les
bornes K et M de la bobine P. Préciser le signe de UKM. Le courant s’annulant en 10-3S. Calculer la valeur
moyenne de UKM.
2. Le générateur fournit maintenant dans le circuit (C) un courant de période T et d’intensité i dont les variations
en fonction du temps sont fournies par le schéma ci-après :

a) Donner sur une période T les expressions de l’intensité i en fonction du temps, sachant que Imax = 0, 35A et
T = 10-2S.
b) Calculer les valeurs prises par la force électromotrice induite dans la bobine P au cours de cette période T et
représenter, avec la même échelle des temps que pour i, le graphe de la force électromotrice induite.
iAB(mA)

+200

t(ms)
10 20 30 40

-200

Exercice N°6 :
Une bobine (A,B) l’inductance L = 0,2 H et de résistance r = 5Ω est traversée par un courant d’intensité i.
1. L’intensité du courant dans la bobine varie en fonction du temps (figure). Déterminer le f.é.m. induite dans la
bobine pendant les intervalles de temps 0,2, 2,3 et 3,4. Représenter graphiquement e en fonction du
temps.
2. Exprimer i en fonction du temps sur chacun des intervalles précédents.
3. Déterminer la tension UAB aux bornes de la bobine pendant ces mêmes intervalles de temps. Représenter
graphiquement UAB en fonction du temps.
i(A)
A i L B
r
4

0 1 2 3 4 t(s)

Exercice N°7 :
Une bobine d’inductance L = 40mh et de résistance négligeable est traversée par un courant d’intensité i.
i(A)
A i L B

t(s)
10 20 30 40 50

1. Calculer les valeurs prises par le f.é.m. d’auto-induction e depuis l’origine des dates jusqu’à l’instant t = 40ms.
2. Représenter graphiquement e en fonction du temps.
3. Déterminer la tension UAB = UL.
4. Représenter graphiquement l’énergie emmagasinée dans la bobine en fonction du temps. Calculer la valeur
maximale Em de cette énergie.
TRAVAUX DIRIGES : CIRCUIT (L,C) TLEC
Prof chargé du cours : Monsieur Garba Saley

EXERCICE N°1 :
On suppose que la résistance d’un circuit (L, C) est négligeable. Ce circuit possède une inductance L = 12,7 mH
et une capacité C = 2,4𝜇F.
A i E

q
C L

B F

1. Quelle est l’équation différentielle qui régit l’évolution de la charge q en fonction du temps ?
2. a) Vérifier qu’à chaque instant la charge q est une fonction sinusoïdale de la forme : q = qm cos(𝜔0 t + 𝜑)
b) Calculer la fréquence propre f0 du circuit oscillant.
3. a) En supposant qu’à l’instant t = 0 la charge du condensateur était qm = 37𝜇c, exprimer q = f(t) et i = g(t)
b) Que peut-on dire de ces deux fonctions ?
c) Quelle est l’intensité maximale Im qui circule dans le circuit LC ?

Exercice N°2
Un circuit oscillant est réalisé avec une bobine d’inductance L 1,2H, de résistance négligeable et d’un
condensateur de capacité C. (Voir figure). A la date t = 0, la tension U entre les armatures vaut u (0) = Um ; la
charge de son armature supérieur a pour valeur q (0) = Qm.
La tension u est visualisée sur l’écran d’un oscillographe.
i E YA

L
c u
t
a

b
Le balayage horizontal fait correspondre 1ms à une division ; la sensibilité verticale est 10v par division.
1. Etablir l’équation différentielle reliant la fonction q à sa dérivée seconde par rapport au temps.
En déduire la fonction q (t).
2. Avec les conventions prises à la figure (a), exprimer les fonctions u (t) et i(t) (i (t) étant l’intensité du courant
dans le circuit).
3. déterminer à partir de la courbe de la figure (b) :
- la période propre et la fréquence propre des oscillations électriques ;
- la valeur de la capacité C ;
- la valeur initiale Qm de la charge du condensateur et l’intensité maximale Im dans le circuit.
4. Calculer l’énergie totale E emmagasinée dans le circuit.

Exercice N°3
Un circuit comprend un condensateur, de capacité C et une bobine d’inductance L = 10 mH et de résistance
négligeable. Il est le siège d’oscillations électriques.
A B

L
i

E F

La tension aux bornes du condensateur est, en volt :


UAB = 5cos 100𝜋t le temps étant en seconde.
1. Préciser l’amplitude de la tension aux bornes du condensateur, la pulsation, la période et la fréquence des
oscillations.
2. Déterminer la tension aux bornes de la bobine. On oriente la bobine de F vers E.
Exprimer l’intensité i (t) du courant en fonction du temps.
3. Calculer la capacité C du condensateur.
4. Déterminer l’énergie Ee dans le condensateur et l’énergie Em emmagasinée dans la bobine à l’instant t. Préciser
les énergies emmagasinée maximales.
5. Vérifier que l’énergie totale Et = Ee + Em est constante.
TRAVAUX DIRIGES : CIRCUIT (R , L , C) TLEC
Prof chargé du cours : Monsieur Garba Saley

EXERCICE N°1 :
Un dipôle (R, L, C) série est constitué :
- d’un conducteur ohmique de résistance : R = 50Ω ;
- d’une bobine d’inductance : L = 45mH et de résistance : r = 10Ω ;
- d’un condensateur de capacité : C = 10𝜇F.
On alimente ce dipôle par une tension sinusoïdale de tension efficace.
U = 6V et de fréquence N = 100Hz.
a) Faire la représentation de Fresnel relative à ce circuit.
b) Calculer l’impédance du circuit.
c) Calculer l’intensité efficace du courant.
d) Calculer la tension efficace aux bornes de chaque composant.
e) Calculer la phase de la tension par rapport à l’intensité.
Exercice N°2
Soit un condensateur de capacité C1 = 6,28 𝜇F.
1. Donner l’expression de la charge q prise par ses armatures quand on établit entre elles une tension constante
U0. Calculer q pour U0 = 50V.
2. Le condensateur étant chargé, on isole ses armatures et on le décharge dans une bobine d’inductance
L1 = 0,318H et de résistance négligeable. Etablir l’équation différentielle des oscillations électriques qui
apparaissent dans le circuit et calculer leur fréquence.
3. Entre deux bornes M et N on monte en série une résistance pure R 1 = 300Ω, le condensateur C1 et la bobine
L1. On maintient entre M et N une différence de potentiel sinusoïdale de valeur efficace U = 220V et de
fréquence N = 50Hz.
a) Construire le diagramme de Fresnel représentant les valeurs instantanées de tension au bornes de chaque
dipôle.
b) Calculer l’impédance Z1 du circuit et l’intensité efficace I1, du courant qui traverse le circuit.
c) Déterminer le déphasage 𝜑1 existant entre l’intensité i1 et la tension u aux bornes du circuit.
4. On remplace le circuit précédent par un circuit analogue avec R2 = 50Ω, L2 = 0,314H et C2 = 63,7 𝜇F. On fait
varier la fréquence tout en gardant la différence de potentiel inchangée.
a) Donner l’expression de la pulsation 𝜔2 pour laquelle l’intensité efficace est maximale. Calculer cette intensité.
b) On appelle coefficient de surtension Q2 du circuit, le rapport entre la tension efficace UC aux bornes du
condensateur et la tension U à la résonance.
- Exprimer Q2 en fonction de R2, C2 et 𝜔2 d’une part, et en fonction de R2, L2 et 𝜔2 d’autre part.
- Calculer Q2.
Exercice N°3
On monte en série une résistance R = 200Ω, une inductance L = 2 H et un condensateur de capacité C = 0,02𝜇F.
On branche ce circuit à une source de tension sinusoïdale de valeur efficace constante égale à 100V et de
fréquence N variable.
A D L E C
R B

1. a) Calculer la valeur N0 de la fréquence pour laquelle l’intensité efficace est la plus grande possible.
b) Calculer la valeur I0 de ce maximum de l’intensité efficace.
2. Calculer pour N = N0, les valeurs efficace des tensions aux bornes de la résistance, de l’inductance, du
condensateur.
3. Pour N = N0, l’expression de la valeur instantanée du courant électrique est i(t) = I0√2 sin (W0t) où W0 est la
pulsation correspondant à N0.
a) Donner les expressions des valeurs instantanées uR(t), uL(t) et uC(t) des tensions au bornes de la résistance,
de l’inductance et de la capacité.
b) Quel serait l’indication du voltmètre alternatif si on le branchait entre les points D et B du circuit ?
4. Calculer pour N = N0, la puissance consommée :
a) dans la résistance
b) dans l’ensemble du circuit.
𝐼0
5. L’intensité efficace du courant traversant le circuit AB est maintenant I = (I0 est la valeur trouvée dans la
√2
1ère question).
a) Calculer l’impédance du circuit AB
b) Soit X la réactance du circuit. Montrer qu’il existe deux valeurs possibles pour X notées X1 et X2.
c) Exprimer en fonction de R, L et C les pulsations w1 et w2 correspondant aux valeurs X1 et X2 de la réactance
(w1 < w2)
𝑅
Vérifier que w2 – w1 = 𝐿
Exercice N°4
 le dispositif expérimental est le suivant :
 un générateur BF (basses fréquences) délivrant une tension sinusoïdale.
 un générateur de tension 6V alternatif ou 6V continu ; une bobine de résistance 50Ω, d’auto-inductance
L = 10mH ;
 un conducteur de capacité C = 0,1𝜇F
 des <<boîtes de résistance>> variables x 10, x 100, x 1000, x 10000 supportant une intensité maximale de
25mA.
 ampèremètre, voltmètres ;
 un oscillographe.
La valeur efficace de la tension délivrée par le générateur est fixée à U = 1V. La résistance totale R du circuit
doit pouvoir varier entre 100Ω et 1000Ω.
On fixe la valeur de R. On note l’intensité efficace I du courant obtenu pour diverses valeurs de la fréquence f.
Les résultats obtenus sont résumés dans le tableau ci-dessous :
f(Hz) 1000 2000 3000 4000 5000 6000 7000 8000
I(mA) 0,7 1,5 2,7 5,3 8,3 6,2 4,0 3,0

1. Faire le schéma du montage permettant d’obtenir les mesures du tableau précédent. Préciser le matériel utilisé,
en justifiant ce choix.
2. Indiquer de même comment brancher l’oscillographe de façon à obtenir simultanément les courbes
représentant u(t) et i(t).
3. Pour quelle raison limite-t-on à 1000Ω la valeur minimale de R ? Jusqu’à quelle valeur aurait-on pu
descendre ? Que risque-t-on si on diminue trop la valeur de R ?
4. Si on augmente R, que se passe-t-il ? Le phénomène de résonance est-il aussi net ?
5. Tracer la courbe représentant l’intensité efficace I en fonction de la fréquence f.
6. Pour quelle valeur f0 de f, I est-elle maximale ? Vérifier la relation du cours entre L, c, et f.
7. Quelle est la valeur de la tension aux bornes du condensateur pour cette valeur de f ? Quelle est la valeur de la
résistance totale du circuit ? Quelles boîtes de résistance a-t-on utilisées ?
8. Déterminer la largeur de la bande passante. En déduire le facteur de qualité.
9. Quelle serait l’allure de la courbe de résonance si on doublait R totale ? Le sommet de la courbe
correspondrait-il à la même fréquence ?

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