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Interaction Lumiere Semi Conducteur

Ce document présente un exposé sur l'interaction entre la lumière et les semiconducteurs. Il introduit le sujet, donne un historique du domaine, définit les concepts clés et décrit le principe de fonctionnement et les applications possibles.

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Nadir Aissa Mamoune
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Interaction Lumiere Semi Conducteur

Ce document présente un exposé sur l'interaction entre la lumière et les semiconducteurs. Il introduit le sujet, donne un historique du domaine, définit les concepts clés et décrit le principe de fonctionnement et les applications possibles.

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Université d’Ain Témouchent - BELHADJ Bouchaib -

Faculté des Sciences et de la Technologie


Département d’Electronique et Télécommunications

Domaine : Sciences & Technologies

Filière : Electronique

Spécialité : Électronique – L3

Exposé sur :

Interaction Lumière semiconducteur

Réalisé par : Mr Aissa Mamoune Nadir

Année Universitaire 2020 / 2021


Sommaire :
I-1 Introduction ………………………………………….

I-2 Historique ………………………………………….

I-3 Définition ………………………………………….

I-4 Principe de fonctionnement ………………………………………….

I-5 Etapes technologiques de réalisation ………………………………………….

I-6 Domaines d’applications………………………………………….

I-7 Conclusion ………………………………………….

I-1 Introduction :
Le but de ce cours est d'enseigner les éléments de base de la physique des interactions
lumière-matière dans les semi-conducteurs et d'introduire leurs applications les plus courantes
dans le domaine de la génération et de la détection de la lumière. Étant donné que ce cours
s'adresse à des étudiants d'horizons différents d'une part, et que d'autre part, la physique des
semi-conducteurs requiert des concepts complexes de mécanique quantique, je dois
commencer ce cours en rappelant les concepts de base de la physique des semi-conducteurs et
de l'électromagnétique. Radiation. La formulation de ces concepts a été volontairement
simplifiée (parfois au détriment de la rigueur scientifique) afin d'établir le meilleur compromis
entre le temps passé dessus et une bonne compréhension du programme. De même,
l'ensemble du cours est conçu de manière à mieux comprendre les mécanismes physiques qui
sont à la base des applications optoélectroniques des semi-conducteurs. Par conséquent, une
attention particulière est accordée au contenu physique des substances Développements
théoriques plutôt que leurs aspects mathématiques. Afin de Par conséquent, le développement
théorique peut parfois endommager Leur rigueur est grandement simplifiée par rapport à
celles rencontrées la plupart des livres traitent de l'optique à semi-conducteurs. Le cours est
construit sur un fil conducteur, et sa logique permet Souligner les énormes progrès que
l'humanité a réalisés sur terre Champ de contrôle de la lumière. Le cours est passé, en effet,
Décrire la source de rayonnement thermique étape par étape Source laser à semi-conducteur.
Ceux-ci son la source lumineuse la plus efficace Leurs performances ne sont que pour leur
qualité de rayonnement.

I-2 Historique :
Après avoir travaillé sur les semi-conducteurs, le transistor a été inventé le 23 décembre 1947
par les Américains John Barding, William Shockley et Walter Bratton, chercheurs aux Bell
Labs.En 1930, Lilienfeld fabriqua un dispositif similaire, le transistor à effet de champ. Son
principe de fonctionnement est très différent de celui d'un transistor à jonction, et se
rapproche plus d'une triode (modulation de tension). Il n'a été utilisé que 30 ans plus tard.

Ces chercheurs ont remporté le prix Nobel de physique en 1956 pour cette invention. Par
rapport au tube électronique, le transistor est considéré comme une énorme amélioration : plus
petit, plus léger, plus robuste, fonctionnant à basse tension, permettant l'alimentation par
batterie, et il peut presque fonctionner dès la mise sous tension, contrairement au tube
électronique, qui prend dix secondes pour chauffer. , Produire une consommation d'énergie
élevée, besoin d'une alimentation haute tension  (plusieurs centaines de volts). S’ouvrent alors
des recherches de grande ampleur menées dans un nombre croissant de laboratoires comme
celui d’une jeune entreprise : Texas Instrument. Ils permettront le développement de modèles
de transistors de plus en plus diversifiés, au lieu d'utiliser du germanium, mais du silicium. La
"transistorisation" des équipements électroniques a commencé avec des équipements de
pointe dans les années 1950, et l'industrialisation a commencé au début des années 1950 sous
la direction de Norman Klim, le vice-président de Raytheon.

Elle atteint le public grâce à la première radio à transistors et prend de l'ampleur dans les
efforts liés à la guerre froide et à la conquête spatiale.

Les transistors et autres composants sont rapidement assemblés en circuits intégrés, ce qui lui
permet de conquérir plus de domaines que les autres formes d'électronique active. Il montre
que la miniaturisation et la capacité à produire en série ces composants à des prix de plus en
plus bas sont un enjeu industriel majeur.

I-3 Définition :
La lumière est omniprésente dans notre vie. C’est grâce à elle que la vie est possible sur notre
planète. La vie n’aurait pu se développer sans la lumière du Soleil. Encore de nos jours, les
plantes et les animaux ont besoin de lumière pour leur survie .La lumière est aussi notre
principal moyen de découvrir le monde qui nous entoure. On estime que la grande majorité
des informations reçues par notre cerveau sur notre environnement sont fournies par nos yeux.
L’œil est d’ailleurs l’instrument optique le plus perfectionné que nous connaissons. Au fil des
siècles, les hommes ont découvert les propriétés de la lumière pour ensuite concevoir de
nombreux instruments qui utilisent ses propriétés. Certains, comme le télescope ou le
microscope, nous ont permis de découvrir des mondes jusque-là inconnus. D’autres, comme
les lunettes ou les lasers chirurgicaux, ont amélioré notre qualité de vie. Nous verrons par la
suite les principales caractéristiques de la lumière, La lumière est une forme d’énergie, tout
comme l’électricité ou la chaleur. Elle est composée de minuscules particules que l’on appelle
photons et se déplace sous forme d’onde. La lumière est en fait générée par les vibrations des
électrons dans les atomes. Il s’agit donc d’un mélange d’ondes électriques et magnétiques : on
dit que la lumière est une onde électromagnétique .Il existe plusieurs formes de lumière. Celle
que nous connaissons est la lumière visible. Il existe cependant plusieurs autres formes
d’ondes lumineuses : les infrarouges, les ultraviolets, les rayons X, etc. Ce qui différencie ces
types de lumière est la longueur d’onde ou encore la quantité d’énergie qu’elles transportent.
Prenons un exemple. On peut créer une onde en attachant une longue corde à un mur. En
agitant l’autre extrémité de haut en bas, on crée des ondulations qui se propagent dans la
corde. La distance entre deux ondulations voisines est la longueur d’onde (λ ).Plus la longueur
d’onde de la lumière est grande, moins le photon possède d’énergie. Dans la lumière visible,
le rouge a la plus grande longueur d’onde, mais possède le moins d’énergie. Encontre partie,
la lumière bleue a la plus courte longueur d’onde et possède le plus d’énergie.

Les différentes formes de lumière sont classées dans ce qu’on appelle le spectre
électromagnétique. La lumière visible n’occupe qu’une toute petite portion de ce spectre. À
des longueurs d’ondes un peu plus grandes, on retrouve les infrarouges qui nous procurent la
sensation de chaleur. Ensuite se sont les micro-ondes utilisées dans les fours et les radars.
Enfin, les ondes radio, qui transportent les signaux de la radio et de la télévision, possèdent les
plus grandes longueurs d’ondes : elles peuvent atteindre jusqu’à quelques kilomètres. Au-delà
de la lumière visible, vers les régions de plus courtes longueurs d’ondes, on retrouve les
rayons ultraviolets, qui nous font bronzer et les rayons X. Ce type de lumière a la propriété de
traverser les tissus mous du corps humain et d’être absorbée par les os et les dents. Les rayons
X sont utilisés, entre autres, pour produire les radiographies. Enfin les photons dont la
longueur d’onde est la plus courte et qui sont les plus énergétiques sont les rayons gamma
.Dans le vide, la lumière se déplace en ligne droite à une vitesse de près de 300 000 km/s. À
cette vitesse, nous pourrions faire sept fois et demie le tour de la Terre en une seconde ! Ceci
est d’ailleurs la vitesse limite universelle. Rien dans l’Univers ne peut aller plus vite que la

lumière.

I-4 Principe de fonctionnement :


Seuls la lumière visible et l’infrarouge sont sensibles. U.V., Gammas et rayons X ont
cependant des effets biologiques, quelque fois très graves .Le visible est la partie du
rayonnement électromagnétique que nous voyons, autrement dit celle à laquelle nos yeux se
sont adaptés au cours de l’évolution. C’est une toute petite fenêtre, dans les rayonnements
électromagnétiques, dont les longueurs d’onde vont de 0,4 à 0,8 µm. Nos yeux sont cependant
capables de discerner dans ce faible intervalle toutes les couleurs que nous connaissons, et de
voir toutes les merveilles que la nature nous offre. Quelles beautés nous seraient accessibles si
notre spectre était plus large ? Pour répondre à cette question, il faut d’abord s’interroger sur
notre environnement immédiat. Nous vivons à la surface de la Terre, et sommes baignés par
son atmosphère. La source de lumière est le Soleil, qui émet tous les rayonnements, mais dans
des proportions diverses. En fonction de sa température superficielle de 6.000°, son maximum
d’énergie se situe dans le visible, dans la partie jaune-verte. C’est donc tout naturellement que
nos yeux, comme ceux des animaux, se sont adapté sa cette partie où l’énergie est à profusion.
Mais il y a une autre explication : l’atmosphère absorbe certains rayonnements. Fort
heureusement pour nous, car ils ont des effets biologiques des tructeurs, les rayons ultra-
violets et gamma ne passent pas la barrière. En fait, seuls le visible, le proche infrarouge, et
certaines ondes radio traversent l’atmosphère, Si tous les rayonnements cités au début sont
semblables, pourquoi leurs effets sont-ils si différents? Parce qu’ils ne transportent pas la
même énergie. Ils se classent de la manière suivante :

Figure -1- : les différents type de rayonnement par rapport a sont énergie.

-Sources de rayonnement fabriquées par l’Homme :


L’homme sait également fabriquer des sources de rayonnement sur l’ensemble du spectre
électromagnétique.

➜Les rayonnements gamma ET X:

L’homme sait fabriquer des rayons gamma et X à partir d’éléments radioactifs. Ils sont
utilisés en médecine et dans l’industrie. Rechercher quels sont les deux premiers scientifiques
qui ont permis la fabrication d’une source de rayons X. Expliquer rapidement le principe du
premier tube à rayons X.

➜Le rayonnement UV:

On utilise des lampes à vapeur (gaz) ; une décharge électrique dans les gaz à basse pression
excite les électrons qui, en se réorganisant, produisent des UV. La lampe à vapeur de mercure
(rayonnement UV de 0,2 à 0,4 μm).

➜Le rayonnement visible:

Tout corps solide porté à haute température émet un spectre continu de radiations. Plus-la

Température est élevée et plus le spectre s’enrichit en radiations de courtes longueurs d’onde
(vers le violet).A faible pression, de nombreux gaz, subissant par exemple une décharge
électrique, émettent des radiations distinctes ; on obtient un spectre de raies .Les filaments
chauffes à haute température, les tubes à gaz sous faible pression, les lasers sont des sources
de lumière.

Et d’autres technologies qui on plusieurs de type.


Figure -2- : 1000W émetteur de radio FM

I-5 Domaine d’applications :


Grâce à leur compacité, à leur faible consommation électrique et à la possibilité de
modulation de la lumière par le courant, les lasers à semi-conducteurs se sont très rapidement
imposés dans les communications à base de fibre optique. Il n’existe pas qu’un seul type de
laser, mais plutôt un grand nombre de structures dont les propriétés ont été adaptées pour
satisfaire au mieux les spécifications requises par chaque application .Ainsi, pour tout le
secteur des télécommunications traditionnelles à 1,3 et 1,5 µm, les structures et les propriétés
des diodes ont été optimisées pour transmettre les données numériques sur fibre monomode
dans les meilleures conditions. À l’instar des fibres, des structures ont été inventées pour
guider la lumière dans la diode et faciliter le couplage optique avec la fibre. Par ailleurs,
suivant les cavités optiques utilisées, cavité Fabry-Pérot, ou cavité à réseau de type DFB
(Distributed Feed-back ), le laser oscillera sur plusieurs raies (longueurs d’onde), ou sur une
seule, ce dernier cas permettant de s’affranchir des limitations de bande passante par la
dispersion chromatique de la fibre à 1,55 µm dans les liaisons de grande portée. À l’opposé,
pour les communications à très courtes distances, comme celles déployées dans les réseaux
informatiques des entreprises, ou des systèmes embarqués (avionique, véhicules terrestres),
des liaisons de quelques centaines de mètres à quelques kilomètres utilisent des fibres
optiques multi modes à base de silice, voire en plastique, dans le proche infrarouge ou le
visible.

Composants optoélectroniques typiques Des lasers à multi puits quantiques de type Pur InP on
tété développés à Thomson LCR avec des fréquences de coupure de 22 GHz. Plus récemment
des structures DFB bi électrodes ont permis au LCR d’atteindre 30 GHz. La pureté spectrale
décès lasers monomodes est de 100 KHz à quelques10 MHz .Des modulateurs électro
optiques à onde progressive présentent aujourd’hui des fréquences de coupure de l’ordre de
50 GHz dans les longueurs d’onde 1,3 - 1,5 µm. Le CNET a développé des modulateurs à
électro absorption sur InP avec desfc @ 40 GHz. Des progrès restent à faire pour couvrir la
gamme millimétrique .Des photo détecteurs sur InP développés sous forme PIN guide (FC de
60 à 110 GHz). Photo diode avalanche à multi puits quantiques (FC @ 10 GHz) et MSM sont
disponibles commercialement (FC @ 40 GHz).Composants micro-ondes typiques Plusieurs
filières de transistors sont disponible sen fonderie et ont vocation à couvrir l’ensemble des
fonctions de l’électronique micro-onde et millimétrique :- Transistor Métal Semi-conducteur
(MESFET) sur Ga As. Disponible en composant discret ou MMIC jusqu’à des longueurs de
grille de 0,2 µm(ft# 100 GHz). Composant de choix pour les applications grand public jusque
20 GHz (Thomson ,Philips).- Transistor à gaz bidimensionnel d’électrons(HEMT) sur Ga As
(fonderie) ou InP (laboratoire).Disponible en fonderie pour des longueurs de grille> 0,2 µm, il
permet de couvrir toutes les fonctions jusqu’à environ 60 GHz (Thomson, Philips). La filière
0,1 µm est en cours de transfert en fonderies permettra d’étendre la plage fréquentielle
jusqu’à100 Ghz.- Transistor bipolaire à hétérojonction GaInP/GaAs. Il est le composant de
choix pour les applications de puissance jusqu’en gamme millimétrique .Développé au CNET
et à Thomson LCR en technologie hybride ou MMIC, il est au point mais non disponible
commercialement.

Composants optoélectroniques typiques Des lasers à multi puits quantiques de type Psur InP
ont été développés à Thomson LCR avec des fréquences de coupure de 22 GHz. Plus
récemment des structures DFB bi électrodes ont permis au LCR d’atteindre 30 GHz. La
pureté spectrale décès lasers monomodes est de 100 KHz à quelques10 MHz. Des
modulateurs électro optiques à onde progressive présentent aujourd’hui des fréquences
découpure de l’ordre de 50 GHz dans les longueurs d’onde 1,3 - 1,5 µm. Le CNET a
développé démodulateurs à électro absorption sur InP avec desfc @ 40 GHz. Des progrès
restent à faire pour couvrir la gamme millimétrique. Des photo détecteurs sur InP développés
sous forme PIN guide (fc de 60 à 110 GHz). Photodiode avalanche à multi puits quantiques
(fc @ 10 GHz)et MSM sont disponibles commercialement(fc @ 40 GHz).LES
MICROSYSTÈMES Les microsystèmes sont maintenant uneréalité : leur émergence,
fulgurante ces trois dernières années, est le produit de la rencontre d’une technologie du
silicium mûre et des besoins industriels naissants. Deux faits nouveaux sont à remarquer : un
début de réalité industrielle : en effet il existe des produits micro systémiques “standard” pour
des applications à grandes quantités. Et des fonderies4RAPPORT DE CONJONCTURE
1996opérationnelles ont vu déjà le jour en Europe ou aux États-Unis, fabriquant des objets
monolithique sou en pièces détachées (assemblées en solution “multi puce” ou non).On peut
dire, brièvement, que la conjoncture des microsystèmes aujourd’hui ressemble à celle des
ASIC il y a cinq ans environ : les outils scientifiques et techniques sont en cours de
développement, et les nouveaux besoins que ces nouveaux outils vont permettre de satisfaire
ne sont pas encore clairement définis.

I-7 Conclusion : Dans les premières années du vingtième siècle les propriétés complexes
des semi-conducteurs ont été essentiellement découvertes. L’un des grands domaines
d’utilisation des semi-conducteurs est l’optoélectronique, qui se caractérise par l’interaction
complexe des électrons et des photons à une échelle nanométrique. De nouveaux matériaux
II-VI et III- V ont été utilisés dans l’élaboration des photodiodes. La diminution de la taille
des dispositifs rend leurs performances en nette augmentation. Dans notre travail nous avons
élaboré trois principales structures PIN à base de couche mince, multi puits quantiques et
nanoparticules en utilisant l’indium de nitrure de gallium comme principal matériau de la
zone active. Les résultats obtenus de notre simulation par SILVACO et Mathcad ont permis
de démontrer le rôle des nanoparticules dans l’amélioration des propriétés électroniques et
optique telle que la sensibilité, le rendement et les propriétés de transport. Mots clés: semi-
conducteurs II-VI et III-V, nanomatériaux, photodiodes, propriétés optoélectroniques,
propriétés de transport, simulation par Mathcad et SILVACO .

BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE :
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Consulté le 19/06/2021.

[W2]: https://www.cnrs.fr/comitenational/doc/rapport/1996/08.pdf

Consulté le 19/06/2021.

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