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Rapport de Satge

Ce document présente l'entreprise SOTUCHOC qui produit du chocolat et des confiseries en Tunisie. Il décrit l'historique, la structure et les produits de l'entreprise ainsi que ses processus de production dans différents ateliers.

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Rapport de Satge

Ce document présente l'entreprise SOTUCHOC qui produit du chocolat et des confiseries en Tunisie. Il décrit l'historique, la structure et les produits de l'entreprise ainsi que ses processus de production dans différents ateliers.

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INSTITUT SUPERIEUR DES ETUDES TECHNOLOGIQUES DE RADES

RAPPORT DE STAGE
D’INITIATION
Département Génie Electrique

Période de stage : du 09-01-2019 au 05-02-2020

Présenté par : BEN YAHIA ACHREF


Sommaire
I. Chapitre 1 : Présentation de l’entreprise :...........................................................................5
A. Présentation générale....................................................................................................5
1. Fiche de la Société........................................................................................................6
2. Structure de l’entreprise...............................................................................................6
3. GROUPE......................................................................................................................6
4. Exemples des produits :................................................................................................8
B. CHAINE DE PRODUCTION :..................................................................................10
1. Présentation de la direction des ateliers :...................................................................10
2. Cycle de production de chocolat :..............................................................................10
3. Principe fonctionnelle des différentes machines :......................................................15
II. Chapitre 2 : activités dans l’entreprise:..........................................................................20
A. La maintenance :........................................................................................................20
1. Introduction :..............................................................................................................20
2. . Définition de la maintenance :.................................................................................20
3. But de la maintenance :..............................................................................................22
4. Exemple......................................................................................................................23
Conclusion................................................................................................................................35

1
Remerciements

Nous avons l’honneur de présenter nos sincères sentiments


et nos vifs remerciements à tous nos enseignants et au corps
administratif d’ISET RADES nous ont procuré l’occasion
d’effectuer un stage pour consolider nos acquis théoriques par un
aperçue pratique afin de bien affronter la vie professionnelle.
r
Ainsi qu’à la société SOTUCHO Cen particulier M .
JBARA pour l’accord de l’affectation de ce stage et les
responsables de la SOTUCHOC qui nous ont continuellement
guidés et encouragés par leurs précieux conseils durant la
période de notre stage, aussi à tous ceux qui ont bien voulu nous
aider pour la réalisation de ce travail.

Et je tiens à exprimer mes salutations Respectueuses à toute


l’équipe de travail à l’atelier qui nous a été toujours serviable
pour nous fournir la moindre information.

2
A PROPOS DU STAGE

Nous pouvons citer brièvement l’intérêt du stage dans notre formation,


en effet, en plus de la formation assurée par notre honorable institut
durant l’étude il est important d’effectuer un stage afin de comprendre
les notions théoriques sans oublier qu’il s’agissait d’une expérience
particulière et une bonne initiation à la vie professionnelle.

Notre affectation en SOTUCHOCqui nous a permis de nous intégrer et


découvrir les procédures du travail, ainsi que maitriser les opérations
effectuées quotidiennement et avoir des nouvelles informations
concernant le domaine de la maintenance reste à dire que ce stage
nous a mis en contact avec l’environnement professionnel et nous a
permis de :

Renforcer les idées théoriques par des cas pratiques.

S’adapter avec les exigences professionnelles.

Découvrir la vie industrielle.

3
INTRODUCTION GENERALE

La maintenance industrielle a pour vocation première d’assurer le bon


fonctionnement des outils de production. Cette fonction et un moyen
essentiel dans les entreprises, elle évolue en continue car elle est
intimement liée à l’incessant développement technologique, à
l’apparition de nouveaux modes de gestion et à la nécessite de réduire
les couts de production.

Son objectifs aujourd’hui et de réparer l’outil de travail et aussi de


prévoir et donc d’éviter tous dysfonctionnements. L’activité des
personnelles de maintenances a évolué avec la fonction, et leur rôle et
d’autant plus accru qu’ils se doivent de combiner compétence
technologique, organisationnelle et relationnelle.

L’objectif de notre travail est l’étude de possibilité de mise en place


d’une technique d’analyse préventif permettant d’identifier et
d’évaluer les défaillances potentielles de différentes composantes des
unités de production de le SOTUCHOC.

4
I. Chapitre 1 : Présentation de l’entreprise :

figure 1 :Logo de Sotuchoc

A. Présentation générale
La Société Tunisienne de Chocolaterie et de Confiserie
(SOTUCHOC) est une société anonyme au capital de 10
945 000 Dinars, dont le siège social est situé à Naassène,
dans la banlieue sud de Tunis.

L’entreprise a été créée en 1972. Elle est entrée en production en


1977.

L’effectif de SOTUCHOC est constitué de plus de 1000


salariés permanents, dont la majorité est des ouvriers qualifiés.

SOTUCHOC est le leader national dans la fabrication de


produits à base de chocolat, et de confiseries (barres n’ouatées).
SOTUCHOC est certifiée ISO 9001 versions 2000 depuis
Août 2002, et a entamé la procédure de certification HACCP,
relative à l’hygiène alimentaire.

D’autre part, l’entreprise exporte ses produits vers les pays du


Maghreb tels que La Libye et l’Algérie.

5
1. Fiche de la Société

Nom et raison sociale : Société tunisienne de chocolaterie et de


confiserie, S.A

Date de création : 1972

Capital : 10 945 000 DT

Nombre de salariés : 570, à savoir 220 permanents et 350


intérimaires

Nombre d’articles dans l’assortiment : 62

2. Structure de l’entreprise

SOTUCHOC fait partie des entreprises les plus souples, avec un


personnel hautement qualifié et polyvalent et un organigramme
qui répond parfaitement aux besoins d’un marché dynamique et
évolutif. Ainsi, on trouve les services habituels (Financier,
comptable, marketing, personnel, approvisionnement, recherche
et développement, commercial et export), réunis sous la
bienveillance d’une direction générale clairvoyante et reliés
entre eux par un réseau informatique interne des plus évolués
pour une circulation optimale de l’information.

3. GROUPE

SOTUCHOC fait partie d’un groupe de renommée nationale, en l’occurrence le groupe


Mabrouk. Parmi les entreprises qui y figurent aussi, il y’a la SOTUBI, leader

National de la biscuiterie, IAT, leader national dans le secteur des fromages,

6
LE MOTEUR, distributeur officiel sur le marché tunisien de FIAT et
MERCEDES-BENZ
et MONOPRIX, leader national dans la grande distribution. A tout ce beau
monde vient s’ajouter la société ICT, spécialisée dans la confiserie, créée fin
2003.

Considérée parmi les meilleures entreprises industrielles à l’échelle nationale, le


SOTUCHOC jouit d’une réputation remarquable auprès des consommateurs tunisiens tant au
niveau de la qualité de ses produits et aussi pour sa capacité d’innover et sa réactivité très
positive face à leurs attentes assez évolutives.

D’autre part, Le SOTUCHOC exporte une part de sa production vers les pays du Maghreb,
en l’occurrence la Libye et l’Algérie. Ainsi, et avec les plans d’expansion vers d’autres pays
mis en œuvre, l’entreprise prendra prochainement une dimension internationale considérable.

7
4. Exemples des produits :

figure 2 : Barre de chocolat aux noisettes : MAESTRO

Figure 3 :  barrette nougatier lait KROSS

figure 4 : Crème Aux Noisettes Et Biscuits Junior Said 50G

8
figure 5 : créme à tartiner SAID noisette 350g

figure 6 : 

figure 7 : Maestro Crisponuts aux Noisettes

figure 8 : chocolat lait tris said

9
B. CHAINE DE PRODUCTION :
1. Présentation de la direction des ateliers :

Dotés d’équipements modernes sur lesquels opérant des compétences certaines, les
ateliers répondent aux besoins en garantissant le meilleur rapport qualité/prix.

Pour bien assurer le déroulement de travail dans des bonnes conditions le


SOTUCHOC industriel décompose le travail en des taches, dont chaque tache
doitêtre déterminée dans un atelier correspondant assurant le principe de
fonctionnement du travail à la chaîne.

Ce travail consiste à la réparation, maintenance, renouvellement des organes


mécaniques. Et il est assuré suivant un planning de charge tracé par l’ingénieur
responsable à ces ateliers.

2. Cycle de production de chocolat :

Apres l’affinité du chocolat, elle circule dans des tubes en acier inoxydable à double
paroi (qui permet la circulation de chocolat dans l’une de la paroi et l'eau chaude dans
l’autre) permettent la création du mouvement de la masse, broyant et mélangeant sans
arrêt.

10
a) TEMPERAGE :

Le tempérage est une opération obligatoire et importante pour la fabrication de


chocolat a pour but de changer l’état cristallographique afin d’obtenue un produit dure
est brillant.

Le tempérage est fait pas une machine qui s’appelle tempéreuse et son cycle est décrit
comme suit :

-Amener le chocolat à la tempéreuse à une température comprise entre 48 et 55°C


(sa dépend d’article).

-Refroidissementdu chocolat avec l’eau glacée pour avoir une température entre 28 et
29°C (ça dépend d’article).

-Réchauffement avec l’eau chaude pour avoir la température de 31°C

b) MOULAGE ET EMBALLAGE

Une fois tempéré, le chocolat est moulé puis emballé afin de le protéger des corps
étranges.

Le moulage comporte les différentes étapes suivantes : distribution des moules,


dosage du chocolat, passage au Frigo de refroidissement, démoulage et emballage.

La société utilisera les pots et caisses en carton comme emballages, selon l’article

c) STOCKAGE

Des convoyeurs sont prévus pour le transport de ces caisses en carton vers le magasin

11
d) Le Cycle

Mélange LOVERAS

Moulin a
Finition billes :nova
4mil /2mil

Stockage Tank

figure 9 : 

12
 Site 1

Tank

Tempereuse
s

combar caramate solbar


cavemil 850
(enrubeuse) (enrubeuse) (enrubeuse)
figure 10 : 

 site 2

Tank

Tempereuses

Cavemil 275
Cavemil 275 Cavemil 850 Bandler elpra Benco pack
creme
figure 11 : 

13
 Exemples des lignes :

 Cave mil

mouleuse vibreuse rouleau

Detecteur
frigo demouleuse
de meteau

HBM
DDH
(abbialage)

figure 12 : 

 Combar

formeuse tunnel coupeuse

Detecteur
enrubeuse DDH
de meteau

HBM

figure 13 : 

14
3. Principe fonctionnelle des différentes machines :

a) HBM (machine d’emballage) :

 Désignation : empaqueteuse tubulaire horizontale

 Type de machine : HBM

 Année de construction : 2003

 Données techniques :

Dimension de la machine (mm) :

LONGEUR 8258

LARGEUR 2085

HAUTEUR 2140

POIDS (kg) 3100

RACCORDEMENT ELECTRIQUE : 3×380V/50 HZ

RACCORDEMENT PNEUMATIQUE : 4-6 bar

15
Débit PAR MINUTE : MAX 533 pièces

PRODUITS A EMPAQUETER : PRODUITS Enrobés

TYPE D’EMBALLAGE : SACHET TUBULAIRE

 Fonction :

L’empaqueteuse automatique tubulaire horizontale HBM est particulièrement indiquée pour


l’emballage de produits de four secs et frais, d’articles de chocolat, de nombreux autres
produits alimentaires ainsi que de divers produits industriels.

L’empaqueteuse tubulaire HBM se compose de :

- la machine standard

-diverses variantes d’alimentation automatique du produit et du matériau d’habillage


dépendant du programme d’emballage
-diverses variantes d’évacuation de la machine

 Fonctionnent :

Les bobines de matériau d’habillage montées sur les axes porte-bobines sont déroulées par un
système de traction en continu.

Le dispositif de jonction automatique relie, sans interruption de la production, la fin de la


bobine épuisée au début de la nouvelle bobine.

Le dévidoir auxiliaire garantit une tension constamment égale de la feuille d’habillage, il est
entrainé par un moteur séparé.

16
Le guidage automatique de la bande d’habillage veille à la répartition latérale constante de
l’habillage autour de produit.

Dans la station de formation de tube, la bande d’habillage est formée en tube encore ouvert
vers le bas dans lequel le produit alimenté par la chaine d’alimentation est inséré.

Le tube est transporté et scellé longitudinalement en continu par les galets d’avancement et de
scellage de la couture longitudinal.
A la station du scellage transversal, les mâchoires rotatives scellent la couture transversale du
paquet. Les couteaux séparateurs montés dans les mâchoires de scellage séparent les paquets
individuels du tube.

Les paquets individuels quittent l’empaqueteuse tubulaire sur le ruban d’évacuation


ouillassent retenus et amenés à distances régulières par le guidage supérieur.

b) DDH :

 Désignation : système de distribution des produits


 Type de machine : DDH
 Année de constriction : 2003
 Données TECHNIQUES :

Dimension de la machine (mm) :

LONGEUR 8385

LARGEUR 3975

HAUTEUR 2250

POIDS (kg) 3100

RACCORDEMENT ELECTRIQUE 3 ×380V/50 HZ

RACCORDEMENT PNEUMATIQUE 6 bar

Débit PAR MINUTE MAX 433 pièces

PRODUITS A EMPAQUETER : produits recouverts

17
TYPE D’EMBALLAGE : SACHET TUBULAIRE

 Fonction :
LE DDH (système de distribution des produits) est une installation qui peut se charger de
différentes fonctions. Son application principale consiste à alimenter une ou plusieurs
emballeuses en différentes séries de produits à partir de flux produits.

Le système de distribution des produits DDH se compose de :

-Dispositif d’alignement :
Le dispositif d’alignement permet d’ajuster les séries de produits .le dispositif d’alignement
est un clapet amovible que peut ajuster les séries de produits en fonction

du produit. Les produits positionnés trop en avant dans une série de produits
sont freinés par le clapet est alignés. Après un certain temps, le clapet est ouvert
et la série de produits alignés transportés par le ruban de transport.

-Le détecteur de métaux :


Le détecteur de métaux est une unité d’alimentation. Elle comprend une fonction d’inspection
des séries de produits contenant du métal ou mal alignés. Le ruban de transport se charge de la
série de produits .elle traverse un dispositif de contrôle de position a barrage optique et
détecteur de métaux. Les séries de produits dans les tolérances prescrites (distances par
rapport à la série précédente et a la série suivant, longueur de la série de produits) sont
transmises en aval.

Les produits contenant du métal sont transportés sur le ruban de transmission au moyen d’une
aiguille relevée qui transporte les produits contaminés par le métal hors du flux des produits.

Les séries de produits peuvent aussi être séparées par demande manuelle.

-Unité de distribution :

L’unité de distribution est une unité d’alimentation. La série de produits


dans les tolérances prescrites (distance par rapport à la série précédente
et a la série suivante, longueur de la série de produit) est transmise au
ruban de transmission en aval avec aiguille relevée.
18
La série de produits est ensuite transmise du ruban de transmission
continu au ruban fermant les lacunes suivant.

-RUBAN TAMPON :

Les séries de produit hors des tolérances prescrites sont transmises au


ruban tampon avec aiguille abaissée.

19
II. Chapitre 2 : activités dans l’entreprise:

A. La maintenance :

1. Introduction :

L’entreprise SOTUCHOC rencontre plusieurs obstacles au niveau de circulation de


notre produit, parmi les choses qui empêchent ce dernier les pannes des différentes
machines utilisés.

2. . Définition de la maintenance :

La maintenance est définie comme étant « l’ensemble des actions permettant de


maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifié en mesure d’assurer une fonction
requise ».

Maintenir c’est donc effectuer des opérations qui permettent de conserver le potentiel
aux matériels pour assurer la continuité et la qualité de production. La fonction
maintenance comporte essentiellement trois types d’actions : la maintenance
corrective, la maintenance préventive systématique et la maintenance préventive
conditionnelle.

20
maintennance

maintennance maintennance
préventive corrective

maintennance en
maintennance effectuée apreès la
conditionnelle
systématique panne

effetuée à
effectuée en
intervalles reguliers
fonction de l'état
de façon
du matériel
systématique

figure 14 : 
a) La maintenance corrective :

Il s'agit d'une "maintenance effectuée après défaillance".


C'est une politique de maintenance qui correspond à une attitude de réaction à des
évènements plus ou moins aléatoires et qui s'applique après la panne.

b) La maintenance préventive :

C’est une forme de maintenance ayant pour objectif de réduire la probabilité de


Défaillance ou de dégradation d’un bien ou d’un service rendu. Les activités
Correspondantes sont déclenchées selon un planning établi à partir d’un nombre
Prédéterminé d’usage (maintenance systématique) ou des critères prédéterminés
Significatifs de l’état de dégradation du bien (maintenance conditionnelle)
 Maintenance systématique :Maintenance préventive effectuée selonun échéancier
(planning) établi selon le temps ou le nombre d’unités d’usage.

21
 Maintenance conditionnelle : Maintenance préventive liée à un typed’évènement
prédéterminé (information des capteurs, mesure d’une usure, …) révélateur de l’état
de dégradation du bien.
3. But de la maintenance :

-Augmenter la durée de vie des matériels.

-Diminuer le temps d’arrêt en cas de révision ou de panne.

-Prévenir et aussi prévoir les interventions de la maintenance curative coûteuse.

-Permettre de décider la maintenance corrective dans de bonnes conditions.

-Eviter les consommations anormales d’énergie, de lubrifiant, etc.

-Diminuer le budget de la maintenance.

-Supprimer les causes d’accidents graves.

22
4. Exemple
a) Rénovation d'armoires électriques

 Début de mission

figure 15 : 

23
 Fin de mission

figure 16 : 

24
b) Les éléments d’armoire électriques industrielle

 Un disjoncteur moteur :

figure 17 : disjoncteur moteur


Un disjoncteur moteur est un organe de protection dont la fonction est d'interrompre le
courant électrique en cas de surcharge ou de court-circuit, c'est un dispositif
magnétothermique.

 Protection thermique :
Chaque phase du moteur est protégée par un bilame (déclencheur thermique) qui en cas de
surintensité prolongée chauffe par effet Joule et déclenche un mécanisme qui ouvre les
contacts.Le seuil de déclenchement est réglable directement sur le disjoncteur moteur.
 Protection magnétique:
Un déclencheur équipé d'un électroaimant protège chaque phase qui en cas de court-circuit
coupe le courant électrique.
Ce déclencheur est basé sur la création d'un champ magnétique instantané (0,1sec) qui
actionne une partie mobile et commande l'ouverture des contacts.
La partie magnétique du disjoncteur moteur n'est pas réglable ce sont les courbes de
déclenchement qui définissent le seuil de déclenchement qui s'exprime en nombre de fois
l'intensité nominale (3 à 15 In).

25
 Choix de calibrage :
A l’aide de
 L’équation :

p=u∗i∗cos phi∗√ 3
1 cheval=745.699 W
 schema

 Le contacteur

figure 18 : contacteur

26
Le contacteur est un appareil mécanique de connexion ayant une seule position de repos et
une seule position de travail.

II est capable d'établir, de supporter et d'interrompre des courants dans les conditions
normales du circuit, y compris les conditions de surcharges en service

Les contacteurs tripolaires comportent la plupart du temps un contact auxiliaire, tandis que les
contacteurs tétrapolaires n'en ont en général pas.

La différence entre contact de puissance et contact auxiliaire réside dans le fait que le contact
de puissance est prévu pour résister à l'apparition d'un arc électrique issu d'un fort courant, à
l'ouverture ou à la fermeture du circuit ; de ce fait, c'est ce contact qui possède un fort pouvoir
de coupure.
Le contact auxiliaire n'est doté que d'un très faible pouvoir de coupure ; ce dernier fait partie
de la partie commande du montage dont les courants restent faibles face à la partie puissance.

 Variateur électronique de vitesse

figure 19 : variateur
Un variateur électronique de vitesse est un dispositif destiné à régler la vitesse et le couple
d'un moteur électrique à courant alternatif en faisant varier la fréquence et la tension,
respectivement le courant, délivrées à la sortie de celui-ci.

27
 Un Automate Programmable

figure 20 : 
Un automate programmable est un appareil dédié au contrôle d’une machine ou d’un
processus industriel, constitué de composants électroniques, comportant une mémoire
programmable par un utilisateur non informaticien, à l’aide d’un langage adapté. En d’autres
termes, un automate programmable est un calculateur logique, ou ordinateur, au jeu
d’instructions volontairement réduit, destiné à la conduite et la surveillance en temps réel de
processus industriels.
Trois caractérises fondamentales distinguent totalement l’Automate Programmable Industriel
(API) des outils informatiques tels que les ordinateurs (PC industriel ou autres) :

Il peut être directement connecté aux capteurs et pré-actionneurs grâce à ses entrées/sorties
industrielles,

Il est conçu pour fonctionner dans des ambiances industrielles sévères (température,
vibrations, micro-coupures de la tension d’alimentation, parasites, etc.),

28
Et enfin, sa programmation à partir de langages spécialement développés pour le traitement de
fonctions d’automatisme fait en sorte que sa mise en oeuvre et son exploitation ne nécessitent
aucune connaissance en informatique.

 Relais de sécurité / Blocs logiques de sécurité

figure 21 : Relais de sécurité

Les relais de sécurité PNOZ surveillent les fonctions de sécurité telles que les arrêts
d’urgence, les protecteurs mobiles, les barrières immatérielles, les commandes bimanuelles,
les tapis sensibles, la vitesse de rotation, l’arrêt de rotation et bien d’autres fonctions encore.
Utilisés par millions, les blocs logiques de sécurité PNOZ ont aujourd’hui fait leurs preuves
dans le monde entier.

29
c) Autres armoires

figure 22 : 

30
figure 23 : Armoire

31
d) Les capteurs industriels

 Capteur capacitif

figure 24 : Capteur capacitif


 Utilisation
Cette technologie permet la détection de tous les types de matériaux conducteurs et isolants
tels que verre, huile, bois, plastique, etc.
 Principe de fonctionnement
Les détecteurs de proximité capacitifs sont conçus pour fonctionner par création d'un champ
électrostatique et par détection des modifications de ce champ créées par une cible approchant
de la face de détection.
Ce type de détecteur est recommandé quand :
Les distances de détection sont relativement faibles.
Les conditions de montage nécessitent la noyabilité du détecteur.
On doit effectuer la détection d'un matériau non conducteur à travers une paroi elle-même non
conductrice (exemple : détection de verre à travers un emballage en carton).

 Capteur inductif

32
figure 25 : Capteur inductif

 Utilisation
Les détecteurs de proximité inductifs permettent de détecter sans
contact des objets métalliques à une distance de 0 à 60 mm .
 Principe de fonctionnement
Un détecteur inductif détecte exclusivement les objets
métalliques.
Il est essentiellement composé d'un oscillateur dont les bobinages constituent la face sensible.
Les capteurs inductifs produisent à l'extrémité de leur tête de détection un champ magnétique
oscillant. Ce champ est généré par une inductance et un condensateur monté en parallèle.
Lorsqu'un corps conducteur métallique est placé dans ce champ, des courants de Foucault
prennent naissance dans la masse du métal ; il y a perturbation de ce champ qui entraîne une
réduction de l'amplitude des oscillations au fur et à mesure de l'approche de l'objet métallique,
jusqu'à blocage complet.
Cette variation est exploitée par un amplificateur qui délivre un signal de sortie, le capteur
commute.

capteur

33
figure 26 :  capteur

Conclusion :
Durant cette durée, j’ai eu l’occasion d’être associé à son travail et d’acquérir de nouvelles
connaissances et compétences. Celles-ci me seront fort précieuses pour la réalisation de mes

34
projets à venir. Ainsi, le temps, l’attention, l’intérêt que mon encadreur m’a accordé n’ont pas
été perdus.

A la fin, j’exprime toutes mes reconnaissances à tous ceux qui ont contribué directement ou
indirectement à ce travail au personnel de la société et en particulier à l’équipe de service
maintenance pour leur accueil chaleureux et leur disponibilité.

35

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