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FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE

Aspect Physique
ème
2 STM
Cours ; Exercices Doc : élève
DYNAMIQUE
I- DÉFINITION :
La dynamique est le chapitre de la mécanique qui étudie les mouvements des solides
en relation avec les forces qui les produisent. L’étude et la compréhension de ce chapitre
suppose l’acquisition des connaissances abordées en statique et en cinématique (1er STM).
Sur un plan historique, les découvertes des principes de la dynamique sont plus récentes que
celles relatives à la statique. Galilée (1564-1642), le premier, effectua une approche scientifique
des phénomènes. Ses travaux, déterminants, sont à l’origine des résultats
de Huygens et Newton. Newton fut le premier à formuler correctement le principe fondamental
de la dynamique et la loi de la gravitation universelle. Par la suite, Euler, d’Alembert, Lagrange,
Laplace, Poinsot, Coriolis, Einstein et d’autres apportèrent une contribution importante
au développement de cette science essentielle.
En ce qui concerne la technologie et ses applications, la dynamique est plus récente et se
développe avec l’ère industrielle et la construction des machines travaillant aux vitesses élevées
avec ou sans chocs.
Remarque :
Il y a trois méthodes possibles pour traiter un même problème de dynamique, chacune ayant
ses avantages et ses inconvénients :
1- par application directe de la loi de Newton ou du principe fondamental ;
2- par utilisation des théorèmes relatifs au travail et à l’énergie (voir le chapitre ‘’énergétique’’) ;
3- à partir des théorèmes portant sur les quantités de mouvement et le moment cinétique.
II- RAPPELS :
Il est indispensable de maitriser la cinématique et la statique afin d’acquérir ce nouvel outil
de la mécanique.
2.1- Action mécanique (Statique):
Torseur statique exprimant le PFS Torseur statique exprimé au même point
 n      n  
  Fi ext  0   Rs / s   Fi ext 
 
 s / s A   n i
1 
  
 
s/s A
 
 n 
i 1
 n   
M 
/ A ( s / s )   M / G Fi ext   AGi  Fi ext
 M F ext  0 
 / A i
A  i 1

 x , y , z  
A i 1 i 1

 x , y , z 
2.2- Cinématique :
Équations du mouvement de translation : Équations du mouvement de rotation autour d’un axe fixe :
rectiligne uniforme uniforme

Accélération : a      0 (m / s 2 ) Accélération :  ''    0 (rad / s 2 )

Vitesse : V  constante (m / s) Vitesse :  '      constante (rad / s)
Déplacement : x  V  t  xi (m) Déplacement :     t  i (rad )
rectiligne uniformément varié uniformément varié
Accélération : a      constante (m / s 2 ) Accélération :

 ''     '  constante (rad / s 2 )

Vitesse : V  a  t V i (m / s )  '       '' t   'i (rad / s)
Vitesse :
1 1
x  a  t 2 V i  t  x i (m ) Déplacement :    '' t   'i  t  i (rad )
2
Déplacement :
2 2
Formule utile : V V i  2a ( x  x i ) Formule utile :   i  2 ' (  i )
2 2 2 2

Remarque : Relation vectorielle entre les vitesses d’un solide en mouvement plan (Translation + Rotation):
   
V A V B  AB  

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DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
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2.3- Relation vectorielle entre les accélérations (tangentielle et normale) d’un solide :
Quelle que soit la nature des mouvements, on a :
  
aA / R0  at  an ;
avec et en cas de :
Translation :
Accélération tangentielle Accélération normale
  dV    V 2 
at  at   A
 an  an  n  A  n
dt R
Rotation :
Accélération tangentielle Accélération normale
   
at  at  an  an  n
 d    a   '2  R  n   2  R  n
at  A
 R    'A  R  n
dt
III- PRINCIPE FONDAMENTAL DE LA DYNAMIQUE :
3.1- Cas d’un solide en translation rectiligne :
a- Énoncé :
L’énoncé proposé s’applique indifféremment à un point matériel de masse ‘’m’’ ou à un solide
en translation rectiligne de masse ‘’m’’ et de centre de gravité G.
1er loi : La première loi correspond au principe fondamental de la statique (voir partie statique).
Elle s’applique aussi bien à un solide en équilibre qu’à un solide évoluant à vitesse
constante.

2ème loi : L’accélération ‘’ aG ’’ du centre de gravité G d’un solide en translation rectiligne

par rapport à un repère (ou solide) absolu est proportionnelle à la résultante ‘’  Fext ’’
des forces ou actions extérieures
agissant sur le solide et a même
direction et même sens que celle-ci.

Le PFD se traduit par les relations : 


 
F ext
: résultante des forces extérieure en (N)

 F
ext  m  aG avec m : Masse du solide en (kg)
  
 MG Fext  0 aG : Accélération du solide en (m/s2)
Remarque :
 Le PFD n’est applicable que dans un repère Galiléen (ex : le mouvement d’une tête
d’usinage sera étudié sur un repère Galiléen, lié au bâti de la machine).
 
 La résultante  Fext  m  aG doit passer par G sinon il y a mouvement plan.
 
 - m  aG : est appelée force d’inertie, cette force est opposée à l’accélération aG .
(Principe de d’Alembert)
3ème loi : En statique et en dynamique, les actions mutuelles entre deux solides sont égales
et opposées.

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b- Repère absolu ou galiléen :

Pour que l’application du principe fondamental soit correcte, l’accélération ‘’ aG ’’ doit être

une accélération absolue. Par commodité, l’accélération ‘’ aG ’’ est généralement repérée ou
déterminée par rapport à un repère lié à la terre prise comme référence absolue.
Cependant, la terre n’est pas un référentiel absolu ou galiléen rigoureux mais approché.
Pour la plupart des problèmes de mécanique usuels, cette approximation suffit et amène
des erreurs négligeables. Pour un certain nombre de problèmes faisant intervenir des avions,
fusées, missiles et autres, il est parfois nécessaire de faire intervenir les accélérations
engendrées par le mouvement de la terre.
Exemple : pour un corps en chute libre, la rotation de la terre engendre une légère accélération
dirigée vers l’est (accélération de Coriolis) créant une perturbation du mouvement de chute libre.
Le solide ne tombe pas exactement verticalement mais subit une légère déviation
2 2h 3 avec : ω = 0,729.10-4 rad/s (vitesse rotation terre)
vers l’est égale à : d  cos  g = 10 m/s2
3 g
h : hauteur de chute en m
θ : latitude nord ou sud
c- Temps relatif et temps absolu :
Dans l’équation de Newton, le temps est considéré comme une grandeur absolue, s’écoulant
inexorablement d’arrière en avant au rythme régulier indiqué par les pendules et les calendriers.
D’après Einstein, le temps n’est pas absolu mais relatif et dépend de la vitesse propre
de l’observateur et de la position finale de celui-ci. Cependant, la notion de temps relatif n’est
vraiment sensible que pour des particules se déplaçant à de très hautes vitesses
(proches de celle de la lumière : 300 000 km/s).
Exemple : Une Sphère de 2,5 kg en chute libre, résistance de l’air négligé.
Calculer la force extérieure. (Avec g = 10 m/s2)
 
 Fext  P vecteur poids
 
aG  g  accélération de la pesanteur
   
PFD :  Fext  m  aG ce qui donne P  m  aG

En projection sur l’axe verticale z P  m  g
donc : P  2,5 10  25 N
3.2- Cas d’un solide en rotation par rapport un axe fixe :
a- Cas où le centre de gravité est situé sur l’axe de rotation :
Le solide de masse ‘’m’’ tourne à la vitesse

angulaire ω autour de l’axe de rotation (A, z ),

le centre de gravité G est sur cet axe et aG
est l’accélération angulaire du mouvement.
 
Ax et A y sont les actions exercées par
la liaison pivot sur le solide. JG est le moment

d’inertie du solide par rapport à l’axe (G, z ) qui est aussi l’axe de rotation.
Le PFD se traduit par les relations : 
  
       M G Fext : Moment résultante par rapport à l’axe G z des Fext (N.m)

 
 

 Fext  Ax  Ay  F1  F2  ...  0
  MG Fext  MG F1  MG F2  ...

 
   
 G ext  A ext Gz
M F  M F  J    J Gz   '' J Gz : Moment d’inertie du solide par rapport à l’axe G z
(kg.m2)
 
   '' : Accélération angulaire du solide autour de l’axe G z (rad/s2)

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3.3- Quelques moments d’inertie usuelle :
Le moment d’inertie est un scalaire qui dépend de la géométrie, de la masse et de l’axe
de rotation autour duquel se fait le mouvement.
Cylindre plein Cylindre creux Sphère

4
Masse m   R2  L   m   (R2  r 2 )  L   m   R3  
3
m  R2 m  (R2  r 2 ) 2
J Gx  m  R 2
JG x  JG x 
2 2 5
m  R 2 m  L2 m  ( R 2  r 2 ) m  L2 2
Moment d’inertie J Gy   J Gy   J Gy  m  R 2
4 12 4 12 5
mR 2
m  L2 m  ( R 2  r 2 ) m  L2 2
J Gz   J Gz   J Gz  m  R 2
4 12 4 12 5
Parallélépipède Cône plein Tore

1
Masse m  a b L  m   R2h   m  2 2 r 2 R  
3
m 3m 2
J Gx   (a 2  b 2 ) JG x  r
12 10
m 3m 2 3m 2 m
Moment d’inertie J Gy   (a 2  L2 ) J Gy  r  h J Gx   (4 R 2  3r 2 )
12 20 5 4
m 2 2 3m 2 3m 2
J Gz   (b  L ) J Gz  r  h
12 20 5
Exemple :
Dans un laboratoire d’essai, pour tester
les accélérations d’un véhicule, on utilise
un dispositif avec tambour. Les roues
motrices sont posées en A sur la partie
haute du tambour (rayon R = 1 m,
longueur 2,5 m, moment d’inertie
JG variable ou ajustable) libre de tourner

autour de son axe de rotation ( G,z ) . A
La masse totale du véhicule en charge
est de 2 000 kg. La charge supportée par les roues avant,
au repos, est de 1 200 daN.
Quelle doit être la valeur du moment d’inertie JG pour que
le tambour se comporte comme le véhicule au démarrage
ou au freinage ?
 
(accélération tangentielle tambour a t = accélération du véhicule aG 3 )

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Rep :
a- Isolons le véhicule :

Supposons que l’automobile démarre sur une route horizontale avec une accélération aG 3 .
  
P3 est le poids du véhicule, A1/2 et B les actions
sur les roues.

( maG 3 ) est la force d’inertie au démarrage.
    
PFD :  Fext  P3  B  A1/2  m3  aG 3

Proj/x : A x  m 3  aG 3
b- Isolons le tambour :
      
 F
ext  P1  O x  O y  A x  A y  0

  
 
 
 

 M G Fext   
M G P1   M G O x   M G O y   M G A x   M G A y
 
  M G Ax  JG  '
  
Proj/z : M G Ax  Ax  R  JG 

 a a A x ω’
or  '    t  G 3  donc : J G  m 3  R 2
R R m3  R

Remarque :
Si, au cours de l’étude, un élève repère ce qui lui semble être une erreur
ou fautes de frappe, il le signale au professeur de la matière !!!
EZZ@HR@OUI

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Exercice type 1 :
 Mouvement de translation rectiligne uniformément varié
Un homme de 80 kg se trouve debout dans une plate-forme en phase de
démarrage (accélération Homme/sol = 3 m/s2). Chaque pied de cet homme repose

sur une balance. La plate-forme accélère jusqu’à la vitesse V Homme / sol  6 m / s ,
puis continue en vitesse uniforme (régime établi), puis décélère.
On prendra g = 10 m/s2 pour l’accélération de la pesanteur.
A. On se place lors de la phase d’accélération.

h
On cherche à connaître les valeurs indiquées par les balances 1 et 2 avec
les hypothèses suivantes :
• les solides sont indéformables et géométriquement parfaits ;
• les liaisons dans l’ascenseur sont sans jeux ni frottements.
1- Isolez l’homme et faites le bilan des actions mécaniques.
2- Appliquez le principe fondamental de la dynamique (appliquer les théorèmes de la
résultante et du moment dynamique en écrivant les moments au point G).
 
3- Déterminez la valeur des actions A Balance 1/ Homme et
B Balance 2/ Homme , c’est-à-dire combien

les balances 1 et 2 indiquent-elles ?


B. On se place lors de la phase d’accélération.
4- Déterminez l’énergie que la plate-forme donne à l’homme pour pouvoir le monter pendant 5
secondes en régime établi.
5- Déterminez le travail que la plate-forme donne à l’homme pour pouvoir le monter sur
sur ℓ = 30 m en régime établi.
6- Qu’en concluez-vous par rapport aux questions 4 et 5 ?
7- Déterminez l’énergie cinétique emmagasinée par l’homme seul lorsque la plate-forme est
en régime établi.
Exercice type 2 :
 Mouvement de rotation uniformément varié
Un touret à meuler sert notamment pour l’affûtage des outils à l’atelier. La meule est entraînée
par un motoréducteur fournissant le couple nécessaire pour le fonctionnement. Une liaison pivot
entre motoréducteur et meule guide l’axe de la meule (figure ci-dessus).
Le système étudié est un touret à meuler en phase de rotation uniformément accélérée
(accélération notée θ’’meule/bâti = 13 rad/s2) puis en régime établi à ω meule/bâti = 56 rad/s.
On cherche à déterminer le couple du moteur sur la meule et les actions dans la liaison pivot.
Les données sont : masse volumique ρ = 7800 kg/m3 ; rayon AB = R = 400 mm ;

épaisseur e = 150 mm ; action de l’outil sur la meule outil / meule   50 N , suivant l’axe (y) ;
F
a = 50 mm ; b = 100 mm
On fait les hypothèses suivantes : • les solides sont indéformables et géométriquement parfaits ;
• les liaisons sont sans jeu ni frottement.

a b
 
BC 0 et BD 0
0 0
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A. On se place dans la phase d’accélération.

Foutil / meule sur le bras de levier R de manière
1- Écrivez le vecteur moment résultant de l’action


graphique (échelle 1 cm = 10 Nm). On le nommera M F(outil / meule ) / B .
2- Isolez la meule et faites le bilan des actions mécaniques pour déterminer le moment
dynamique.
3- Appliquez le théorème du moment dynamique en projection sur l’axe (x) à la meule isolée.

4- Résolvez l’équation en déterminant la valeur de C moteur / meule .
5- Donnez la valeur des caractéristiques que devra posséder l’arbre du motoréducteur.
B. On se place en régime établi, lorsque la meule tourne à vitesse constante.
6- Déterminez l’énergie que le moteur absorbe pendant 5 secondes en régime établi.
7- Déterminez le travail que l’homme fournit pour affûter son outil sur 100 tours de meule.
8- Déterminez l’énergie cinétique emmagasinée par la meule isolée lorsqu’elle tourne à vitesse
constante.
EX 3- Une navette spatiale est supposée à l’arrêt dans l’espace.
Les trois moteurs sont allumés, la poussée de chaque moteur est de 2 300 kN,
les trois poussées

sont parallèles et leur action
résultante  Fext passe par G.
Déterminons l’accélération supportée par les astronautes
si la masse de la navette est de 100 tonnes.

EX 4-
Exprimer T en fonction de m.g et aG
avec: m = 500 kg, g = 10 m/s2,
aG = 0 puis aG = 2 m/s2

EX 5- CABINE D’ASCENSEUR :
Un homme de 80 kg se tient debout sur une balance dans une cabine

d’ascenseur à l’arrêt. Le moteur est mis en marche et la tension T
du câble de levage atteint la valeur de 900 daN pendant les trois
premières secondes. Si l’accélération est supposée constante, quelle
lecture peut-on lire sur la balance ? Les frottements sont négligés,
la masse de l’ensemble (cabine + balance) est de 720 kg. (g = 9,81 m/s2).
EX6-
Un monte-charge de masse m1 = 1500 kg avec son chargement est soulevé par
un câble de diamètre d = 10 mm. Ce câble a une limite élastique Re = 1200 MPa
et une masse volumique v = 7,2 kg/dm3. Pour la position basse du monte-charge,
le câble a une longueur déroulée de L = 30 m (masse non négligeable).
Déterminer :
1- Le coefficient de sécurité du câble lorsqu'il soutient le monte-charge à l'arrêt.
2- À partir de quelle accélération du monte-charge, le câble risque-t-il de
se rompre ?

300
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EX7- ÉQUILIBRE SUR UN TAPIS MOBILE
Un transporteur déplace des pièces cylindriques de diamètre D,
hauteur h, masse M, reposant par leur base sur le tapis mobile.
Exprimer l'accélération maximale pour que :
1- Aucun cylindre ne glisse (facteur de frottement f entre cylindre et tapis).
2- Aucun cylindre ne bascule.
Application numérique : M= 1,2kg, D= 75mm, h = 210mm,
f = 0,5.

EX 8-
A/ Un corps S1 de masse m = 1 kg, glisse sans frottement sur un plan incliné d’un angle α = 30°,
par rapport à l’horizontale. On l’abandonne sans vitesse initiale du point A. Il atteint le point B
avec une vitesse V = 3 m/s.
1- En utilisant le principe fondamental de la dynamique,
établir l’expression de l’accélération ‘’a’’ de S1 sur
le plan incliné. (On donne g = 10 m/s2).
2- Donner l’équation du mouvement de S1 (préciser les origines choisies).
3- Calculer la distance AB.
4- Quel est le temps mis par le corps S1 pour parcourir cette distance.
B/ Le corps S1 aborde un plan horizontal avec la vitesse V = 3 m/s. Il heurte alors un autre corps S2
immobile de même masse que S1, ce qui donne les vitesses V’1 = 0 du corps S1 et V’2 = 3 m/s de S2
après le choc (le choc est supposé parfaitement élastique).
Le deuxième corps S2 est ensuite freiné pour arriver au point C avec une vitesse VC = 2,24 m/s.
Avec cette vitesse il tombe alors sur un deuxième niveau en chute libre.
1- Trouver les équations suivant Ox et Oy du mouvement du corps S2.
2- La hauteur entre les 2 niveaux horizontaux est h = 20 m. Calculer le temps de la chute.
3- Calculer la distance OD, D étant le point de chute du corps S2 sur le deuxième niveau.
EX 9- On considère l’arbre d’un réducteur ci contre. Il est monté en liaison pivot par deux roulements
type BC en A et en B. Données : P = 200N ; Jx = 8.10-3 kg.m2
0 2

 100 0
Action en C de l’engrènement :3 / S C    


0 0 ( x ,y ,z )
But de l’étude : C

On se propose d’étudier le mouvement de rotation de l’ensemble S.


On cherchera à déterminer les actions mécaniques des liaisons et la durée de la phase de démarrage.

a- Écrire les différents torseurs des actions mécaniques extérieures à S. (Bilan des Fext / S )
b- Écrire ces torseurs en A
c- Appliquer le principe fondamental de la dynamique et déterminer les composantes de ces torseurs
d- Déterminer l’accélération angulaire ’’ du mouvement de S et en déduire la nature de ce mouvement
e- On considère que à t = 0 alors ’ = 0.
Déterminer le temps nécessaire pour atteindre la vitesse de N = 1500 tr/mn
EX 10-
Un moteur exerce au démarrage un couple Cm = 5 N. m.
L'ensemble de la chaîne cinématique peut être modélisé par
un volant plein de rayon R = 150 mm et de masse m = 50 kg,
relié directement au moteur.
Calculer la durée de démarrage pour que le moteur atteigne
la fréquence de rotation N = 1500 tr/min :
1- En négligeant les frottements,
2- En considérant que tous les frottements rapportés à l'axe du moteur se réduisent à Cr =0,2 N.m.

301
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
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EX 11-
Sur un tambour plein1 de masse m1 = 60 kg, de rayon R = 200 mm,
s'enroule un câble supposé sans raideur et de masse négligeable.
Le tambour pivote avec frottement (f = 0,2) dans des paliers Ød =20mm.
À l'extrémité du câble, on accroche une charge de masse m2 =30 kg
qu'on abandonne sans vitesse initiale.
Calculer la durée mise par la charge pour descendre h =10m.
EX12-
Cas de deux arbres tournants.
L'arbre1 a une inertie J1 = 0,2 kg.m2 par rapport à son axe.
Il entraîne, par l'intermédiaire d'une courroie, un arbre 2
dont l'inertie par rapport à son axe est J2 = 3 kg.m2.
L'arbre1 est soumis à un couple de démarrage
Cm1 = 12 N.m ; alors que l'arbre 2 supporte un couple
résistant global égal à Cr2 = 20 N.m. Pour un certain
réglage des poulies, le rapport de réduction obtenu
est R = r1 / r2, (r1 =15 mm ; r2 = 60 mm).
1- Exprimer l'accélération angulaire pendant le démarrage
(application numérique).
2- Calculer la durée mise pour que l'arbre1 tourne à1500 tr/min
(Cm1 constant).
3- On supprime Cm1. Calculer la durée de l'arrêt ?
EX13-
Une remorque bagagère de poids P = 300 daN appliqué en G,
centre de gravité, est tractée en A (liaison rotule) par
une automobile. L’ensemble voiture plus remorque atteint
la vitesse de 72 km/h en 100 m, départ arrêté. (g = 10 m/s2)
a- Déterminer l’accélération du mouvement si celle-ci
est constante.
b- Déterminer les actions exercées en A et B.

EX14-
Pour le système bielle manivelle proposé, N1/0 = 2 500 tr/min,
déterminer la force d’inertie sur le piston si sa masse est
de 0,3 kg ; valeur à 5 000 tr/min. (Avec : OA = 41 ; AB = 132)
2
Rep : a = -2 010 m/s ; FI = 603 N ;

302
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
2 STM
Cours ; Exercices Doc : élève
EX 15- 1- Mise en situation :
Un chariot de pont roulant est équipé
d'un moteur-frein électrique qui freine à la mise hors
tension. La chaîne cinématique relative à la fonction
levage de la charga1 est représentée (fig.1).
Le frein permet d'arrêter dans un intervalle de temps
très court le moteur et les éléments mobiles de la chaîne
cinématique relative à la fonction levage de la charge et de Fig.1
les maintenir immobiles.
2- fonctionnement :
Le dispositif de freinage comporte (fig.2) :
- un électro-aimant constitué principalement par une
bobine 22 et un circuit magnétique composé d'une
armature fixe 5 et d'une armature mobile 6 en
liaison encastrement avec le flasque 3 lui-même
en liaison encastrement avec le plateau
presseur 24 ;
- l'ensemble {3, 6, 24} est en liaison glissière
avec trois guides 4 qui sont eux-mêmes en
liaison encastrement avec le carter 2 ;
- deux disques de freinage 1 en liaison glissière
avec le moyeu 7. Le moyeu 7 est en
liaison encastrement avec l'arbre 23 du moteur ;
- trois ressorts 9 qui agissent sur
l'ensemble mobile {3, 6, 24} et permettent
de presser les disques 1 sur le carter 2
et les plateaux 8 et 24 ;
- le plateau 8 est en liaison glissière avec
les trois guides 4.
• Lorsque la bobine 22 est sous tension,
l'armature mobile 6 vient se plaquer sur
l’armature fixe 5 et comprime
les ressorts 9 dont la variation de flèche
est égale à l'entrefer e de l'électro-aimant.
Les disques 1 sont alors desserrés
et libres en rotation.
L'arbre moteur 23 peut tourner.
• Lorsque la bobine 22 est hors tension, Fig.2
les ressorts 9 permettent le serrage des disques 1
entre le carter 2 et les plateaux presseurs 8 et 24.
Les disques 1 sont alors en liaison encastrement
par adhérence avec le carter fixe 2. L'arbre 23 ne peut pas tourner et la charge est immobilisée.
Nous nous proposons d'étudier le freinage de la charge dans le mouvement de descente de celle-ci.
3- Hypothèses et étude :
La descente de la charge se fait (frein desserré) à une vitesse de 0,2 m/s. Si pour une raison quelconque
le moteur cesse d'être alimenté le frein doit être capable d'arrêter une charge de masse M = 2000 kg en 0,1s.
On suppose que dans la phase de freinage le mouvement de la charge est rectiligne et uniformément
décéléré. Dans une première approche on négliger l'inertie des pièces en rotation et le frottement dans les
paliers du tambour 3 du treuil. On prendra g = 10 rn/s2.
1- Dans la phase de freinage. Étudier le mouvement de la charge 1 (fig.1) et déterminer la valeur
du vecteur accélération G de son centre de masse G ainsi que la distance de freinage.
2- On considère la charge pendant la phase de freinage. Déterminer les actions mécaniques extérieures
qui lui sont appliquées.
3- Déterminer la somme algébrique des travaux des actions mécaniques extérieures appliquées à la
charge pendant la phase de freinage.

303
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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Cours ; Exercices Doc : élève
4- Déterminer la variation d’énergie cinématique de la charge pendant la phase de freinage et en déduire
le travail des actions mécaniques extérieures appliquées à la charge pendant la phase de freinage.
5- On considère l’ensemble S = {3,2} constitué par le tambour 3 du treuil et le câble 2 pendant la phase
de freinage. Déterminer l’action mécanique exercée par le réducteur sur le tambour 3 du treuil (fig.1)
6- Dans la phase de freinage déterminer l'angle de rotation 3 du tambour 3 et compte tenu du réducteur
en déduire l'angle de rotation 1 des disques 1 du frein. Le rapport de réduction du train d'engrenage
du réducteur est k = 0,1. Le diamètre du tambour 3 d = 0,2 m
7- Le rendement du réducteur est  = 0,8. Dans la phase de freinage déterminer le moment supposé
constant, exercé par le réducteur sur l'arbre 23 lié aux disques 1 et en déduire le moment du couple
de freinage sur les disques 1.
8- Déterminer l'énergie dissipée dans le frein pendant la phase de freinage.
EX16- ENTRAÎNEMENT D’UN CUBE :
Le référentiel terrestre (R) est supposé galiléen. On considère le système
constitué par un cube de masse M (solide S1) et par un cylindre homogène
de masse m, de centre C et de rayon a (solide S2). Un fil inextensible
et sans masse est attaché à une face du cube et enroulé autour du cylindre.
 
On note T  T  y la force exercée par le fil sur le cylindre en A.
Le cube glisse sans frottement sur le plan incliné et on considère que
la poulie a une masse négligeable et tourne sans frottement autour de son axe de rotation.
Le système est abandonné sans vitesse initial, le fil n’étant ni lâché, ni tendu, le brin entre la poulie
et le cylindre étant parfaitement vertical et celui entre la poulie et le cube parallèle au plan incliné.
  
On note ( S2 / R )    x .
1- Appliquer le théorème de la résultante dynamique au cylindre.
En déduire que le mouvement de C est vertical.
2- Appliquer le théorème du moment dynamique au cylindre par rapport à C.
3- Sachant que la poulie roule sans glisser sur le fil en A, trouver une relation entre l’intensité
du vitesse VC du centre C, l’intensité de la vitesse de translation V2 du cube, a et θ’.
4- Appliquer le théorème de la résultante dynamique au cube.
5- En déduire les accélérations de G et C. Discuter suivant les valeurs de α.
EX17- DÉPLACEMENT D’UN CAMION :
Dans le référentiel terrestre supposé galiléen, le chauffeur d’un camion
(tracteur+ benne) immobile sur une route horizontale a coupé le moteur,
mais oublié de serrer ses feins. Il fait alors basculer la benne d’un angle α
à un angle α0. La masse du tracteur est notée M, celle de la benne est
notée m. On note A le centre de masse du tracteur, B celui de la benne
et G celui du camion. Le camion est posé sur ses 4 roues, chacune
de centre Ck et de masse négligeable, tournant sans frottement autour
   
de leur axe respectif. On note Rk  Nk  y  Tk  x les réactions du sol sur la roue au niveau de chacun des
points de contact camion/sol.
1- Appliquer le théorème du moment dynamique à une roue et en déduire la direction des forces de contact
entre le camion et le sol.
2- Appliquer le théorème de la résultante dynamique au camion entier. Qu’en déduisez vous pour le centre
de masse G du camion.
3- En déduire le déplacement horizontal d du centre de masse A du tracteur.

304
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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Rep Ex1 :
Mouvement de translation rectiligne uniformément varié
1- Voir figures ci-contre.
2- On peut appliquer directement le théorème du moment dynamique :
   
ABalance 1/ Homme  B Balance 2/ Homme  PHomme  R Dynamique
Projection sur l’axe (y) :
 
A Balance 1/ Homme  B Balance 2/ Homme  m  g  m  aHomme /sol
 
A Balance 1/ Homme  B Balance 2/ Homme  80 10  80  3
 
A Balance 1/ Homme  B Balance 2/ Homme  1040 (1)
On peut appliquer directement le théorème du moment dynamique
appliqué à l’homme isolé. Il faut écrire tous les moments résultants au même point.
L’énoncé demande de les écrire au point G.

 
 
 

M /G ABalance 1/ Homme  M /G B Balance 2/ Homme  M /G PHomme  M /G m  aDynamique
       
GA  ABalance 1/ Homme  GB  B Balance 2/ Homme  GG  PHomme  GG  m  aDynamique
 L   0  L   0   0  0   0  0 
                     
 h    A Balance 1/ Homme    h    B Balance 2/ Homme    0     PHomme    0    R Dynamique 
 0     0    0   0  
   0     0     0     0 
    0
 0   0    0
 0  0   0  0
         
 L  A Balance 1/ Homme   L  B Balance 2/ Homme   0   0 
   
 
Projection sur l’axe (z) : L  A Balance 1/ Homme  L  B Balance 2/ Homme  0 (2)
 
3- De l’équation (2), on en déduit que : A Balance 1/ Homme  B Balance 2/ Homme

Et donc en remplaçant dans (1) : 2 A Balance 1/ Homme  1040
   
A
Alors : Balance 1/ Homme  B Balance 2/ Homme  520 N A
; Donc : Balance 1/ Homme  B Balance 2/ Homme  52 kg

4- L’énergie que la plate-forme donne à l’homme pour pouvoir le monter pendant 5


secondes en régime établi :
E  P  t  PHomme V Homme / sol  t  80 10  6  5  24000 J
5- Le travail que la plate-forme donne à l’homme pour pouvoir le monter sur ℓ = 30 m
en régime établi : W  PHomme    80 10  30  24000 J
6- Conclusion : le travail fourni par le plate-forme sur 30 m est égale à l’énergie à fournir pour
déplacer l’homme en 5 secondes.
7- L’énergie cinétique emmagasinée par l’homme seul lorsque la plate-forme est
1
en régime établi : E c  m V Homme / sol  0,5  80  6  1440 J
2 2

2
305
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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Rep Ex2 :
Mouvement de rotation uniformément varié
1- Voir figure ci-dessous.
Le moment résultant de l’action de l’outil sur la meule :

  
M F(outil / meule )  R  Foutil / meule  0, 4  50  20 Nm (positif autour de l’axe (x)) ;
/B

2- En phase de démarrage, la meule est soumise à trois moments sur l’axe (x) :

• le couple du moteur sur la meule : C moteur / meule ;
• le moment résultant de l’action de l’outil sur la meule :

  
M F(outil / meule )  R  Foutil / meule  0, 4  50  20 Nm (positif autour de l’axe (x)) ;
/B

 
• le moment dynamique : M dynamique  J  meule /bâti  J   meule /bâti et avec :
1 1 1
J  m  R 2   v  R 2   7800    0,15  0, 42  0, 42  47, 02kg  m 2
2 2 2

M dynamique  J  meule /bâti  47, 02 13  611, 26 Nm est dirigé dans le sens du couple moteur,
c’est-à-dire sur l’axe (-x). Donc : M dynamique  611, 26 Nm sur l’axe (x).
3- On applique le principe fondamental de la dynamique (théorème du moment dynamique)
 
 
C moteur / meule  M F(outil / meule )  M dynamique
/B

en projection sur l’axe (x) et en un point quelconque puisque nous prenons en compte

uniquement des moments : C moteur / meule  20   611, 26

4- C moteur / meule   631, 26 Nm sur l’axe (x).
5- L’arbre devra résister à une torsion sous un couple de 631,26 Nm. Il devra être capable
de transmettre ≈ 632 Nm à la meule pour pouvoir l’entraîner.
6- L’énergie que le moteur absorbe pendant 5 secondes en régime établi :

E  P  t  C moteur / meule  meule /bâti  t  20  56  5  5600 J
7- Le travail que l’homme fournit pour affûter son outil sur 100 tours de meule :

W  C moteur / meule meule /bâti  20  2 100  12560 J
8- L’énergie cinétique emmagasinée par la meule isolée lorsqu’elle tourne à vitesse constante :
1
E c  J  meule
2
/bâti  0,5  47  56  73696 J
2

2
306
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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Rep Ex3 :
 3  2300 103
 Fext  3  2300 10  m  aG  100 10  aG donc : aG 
3 3
3
 69 m / s 2  6, 7  g
100 10
L’accélération supportée est 7 fois supérieure à l’accélération de la pesanteur g.

Rep Ex4 :
Isoler (S) = {cabine + charge} ; (S) est en équilibre relatif sous :
   
Les charges : T  T  z ; P  P  z
 
L'effet d'inertie: ei  m  g  z ; Les efforts dus à la pression atmosphérique, se compensent
Par conséquent : T - m.g - m .aG = 0 D'où T = m.(g + aG)
Application numérique : si aG = 0 : T = 5000N
si aG = 2 m/s2 : T = 6000 N
Rep Ex5 :
a- Isolons l’ensemble cabine + homme + balance : Afin de simplifier l’étude, supposons
 
que le centre de gravité G de l’ensemble est situé sur la verticale commune à T et P .
L’action des rails, perpendiculaires aux autres forces, n’est pas prise en compte.
   
Le principe de d’Alembert s’écrit T + P - m. aG = 0 .
En projection sur la verticale z : - P +T - m.aG = 0 ;
- (720 + 80) 9,81 + 9 000 - (720 + 80) aG = 0
d’où aG = 1,44 m/s2.

b- Isolons l’homme seul : L’homme est soumis à 3 actions : son poids Ph ,
     
l’action exercée par la balance B et la force d’inertie (mh  aG ) . d’où : Ph + B + (mh  aG ) = 0
en projection sur z, on obtient :  Ph  B  mh  aG  0 B  Ph  mh  aG  mh ( g  aG )  80  (9,81  1, 44)  900 N
;
Masse fictive mesurée par la balance : mh'  900 / 9,81  91, 74 kg
Remarque : pour le mouvement inverse (aG = - 1,44 m/s2),
avec freinage, la masse fictive de l’individu serait : 80 - 11,74 = 68,26 kg.
Rep EX6 :
1- La contrainte maximale dans le câble se situe à sa partie supérieure lorsqu'il
est complètement déroulé.
d 2 3,14  0,012
 Masse du câble déroulé : m2   v   L  7200   30  16,956 kg
4 4
 Masse totale soutenue : mT  m1  m2  1516,956 kg
 Calculer le coefficient de sécurité à l'arrêt :
Il s'agit d'un calcul de résistance des matériaux pour un câble soumis
à la traction simple :
F Re Re S Re S 1200  52
 s    6, 2
S s F ( m1  m2 )g 1516,956 10
2- Calculer l'accélération entraînant le dépassement de la limite élastique
du câble :
Il faut isoler {câble déroulé + monte-charge} (voir ci-contre),

 proj /z Fext  m1  m2  a Soit : T m1  m2   m1  m2 a
T
Alors : T  m1  m2 a  g  il faut que :  Re soit Tmax  S  Re
S
Donc : S  Re  m1  m2 amax  g 
S  Re  52 1200
D’où : amax  g  10  52,098 m / s 2
m1  m2  1516,956

307
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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Rep Ex7-
1- Isoler et choisir un repère : On isole le cylindre et l’on choisit ℛg lié au sol.
Modéliser les actions mécaniques : Condition de non glissement
০ Poids représenté par Principe fondamental Méthode de d’Alembert
     
(G , M g ) . F ext  Ma F  e
 
ext i 0
০ Appui-plan représenté
En projection sur xg et yg
par R, dans le plan
 
(O, xg , yg ) de symétrie
 
inclinée de α de façon à
s’opposer au mouvement R sin   M x (1) R sin   M x  0 (1)
éventuel. à la limite de
glissement α = φ (angle R cos   Mg  0 (2) R cos   Mg  0 (2)
de frottement tel que
f = tg φ)
 Condition de non basculement
x
2- On déduit de (1) et (2) que tg 
g

x 
 d’où la condition de non glissement :  tg soit x  f  g  5 m / s 2
g
 d’où la condition de non basculement (autour de A) si :

x D  D
 soit x  g   3,57 m / s 2
g h h
Rep Ex8-
A/ 1-  Système étudié : le corps S1
 
 Bilan des efforts : R ; P
 
 Théorème utilisé : F ext  m 
 
a

Application du théorème : R + P = m  a
En projetant sur le plan incliné il vient : m  g  sin   0  m  a
Donc : a  g  sin   10  sin 30  5 m / s
2

2- Origine des espaces : A


Origine des temps : départ de S1 (V0 = 0 à t = 0)
1
L’équation du mouvement est : x  a  t 2 V 0  t  x 0 ; x  1 a t 2 ; V  5  t ; V 2  10  x
2 2
2
3- La distance AB est donnée par la troisième équation : x  V 32
  0, 9 m
10 10
4- Le temps mis par S1 pour parcourir AB est : t 
V 3
  0, 6 s
5 5
B/ 1- La relation fondamentale de la dynamique appliquée à S2 sur lequel ne s’exerce qu’une seule force,
 
son poids, permet d’écrire : P  m  a la projection de cette relation donne :
 Sur Ox : 0  m  ax donc ax  0 ; le mouvement est rectiligne est uniforme d’équation :
x V 0 x  t  x 0 or V 0 x V c  2, 24 m / s et x 0  0 ; alors : x  2, 24  t
 Sur Oy : m  g  m  a y donc a y  g ; le mouvement est uniformément accéléré d’équation :
1
y  ay  t 2 V 0 y  t  y 0 or V 0 y  0 et y 0  0 ; alors : y  5  t 2
2
2- Le temps de chute : y  h  20 m ; t  y  20  2 s
5 5
3- Distance OD : t  2 s donc x  2, 24  t  2, 24  2  4, 48 m
308
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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Rep Ex9: 
 X A 0 

 

a- Bilan des actions mécaniques extérieures : 1/ S A  YA 0 
- En A il y a roulement type BC ce qui donne une liaison rotule, 
 

d’où le torseur statique en A est de la forme suivant :  Z
 A
A
0 
( x ,y ,z )


 0 0

 

- En B il y a roulement type RU ce qui donne une liaison linéaire  2 / S B  YB 0

annulaire, d’où le torseur statique en B est de la forme suivant : 
 
   

Z B 0
B ( x ,y ,z )


 0 0 

 

- L’action de pesanteur est modélisable en G par : T / S G  200 0

 
G

 0 0 
( x ,y ,z )

b- L’expression de ces torseurs en A : (c.à.d, appliquer la relation de transport en A)
0 ,32  0   0  0 0 
           
M 2 / S / A  0  AB  F2 / S   0    YB   0,32  Z B  ; donc  2 / S B A  YB 0,32  Z B 
       
 0   Z B   0,32  YB  A
Z B 0 ,32  YB ( x ,y ,z )
       0 0 
    0,15  0   0   
M T / S / A  0  AG  FT / S   0   200   0  ; donc T / S G A 
 
200 0 
       
 0   0  30 A
 0 30( x ,y ,z )
          0 2 
 2   2 0 , 40  0   2   
M 3 / S / A  0  AC  F3 / S  0   0   100   0  ; donc 3 / S C  A  100 0 
           
0 0  0   0  40 A
0 40( x ,y ,z )


 0 
 
c- Appliquer PFD à S : 1/ S A   2 / S B A  T / S G A  3 / S C  A    

    
 J x " 

A ( x,y ,z )

 X A 0
  0
 0 
  0
 
0  0
 2   0 J x " 
 

 
 
 
     
 

 Y
 A 0
   Y
 B  0 , 32  Z    200 0   100 0   0 0 
B      

 
 
 
 
 
 
 
 
 



A
Z A 0
  
 
( x ,y ,z ) A 
 Z B 0 , 32  YB   
  

( x ,y ,z ) A 
 0  30  
  
( x ,y ,z ) A 
 0 40 
  
  
( x ,y ,z ) A 
0 0 
( x ,y ,z )

X A  0;YA  131, 25; Z A  0 et X B  0;YB  31, 25 N ; Z B  0
d- L’accélération angulaire ’’ du mouvement de S et la nature de ce mouvement :
2 2
"   3
 250 rad / s 2 ; Mouvement de rotation uniformément accéléré.
J x 8.10    2N 21500
e- Le temps nécessaire pour atteindre 1500 tr/mn :    t   i Alors : t  
  0,628 s
60  60  250
Rep Ex10 :
Isoler l'ensemble tournant (figure ci-dessous) et écrire le principe
Cm  Cr
fondamental en projection sur l'axe de rotation : Cm  Cr  J G z .ω'  ω' 
J G z
Cm  Cr 50
1- Frottement négligé : ω'  2
  8,88 rad / s
0 ,5  m  R 0,5  50  0,152
ω 21500
et ω  tω' alors : t    17 ,68 s
ω' 60  8,88
2- Cas du frottement : ω'  Cm  Cr 2  5  0, 2
 8,53 rad / s et ω  tω'
0 ,5  m  R 0,5  50  0,152
alors : t  ω  21500  18, 40 s
ω' 60  8,53

309
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
2 STM
Cours ; Exercices Doc : élève
Rep Ex11 :
      
Isolement du tambour :  Fext  0  P  R  T  0
Proj/oy : m1  g  n  T  0

 M F   T  R  n  f  r  J
Gz ext Gz  ω'
   
Isolement de la charge :  F  T  m  g  m  a
ext 2 2

T  m2  g  m2  a
Aspect cinématique : L'accélération de la charge est égale à l'accélération tangentielle du tambour
dV d( ω  R )
a  at    ω'  R
dt dt
Il faut donc résoudre : m1  g  n  T  0  n  T  m1  g
m2  g  T  m2  R  ω'  T  m2  ( g  ω'  R )
1 1
T  R  n  f  r   m1  R 2  ω'  m2  ( g  ω'  R ) R m2  ( g  ω'  R )  m1  g  f  r   m1  R 2  ω'
2 2

g  m2  R  m1  m2  f  r  
Donc : ω' 
R  0,5  m1  R  m2  R  f  r 
g  m2  R m1  m2  f  r  10 30  0, 2 60  30 0, 2  0,01
Alors : a    4,85 m / s 2
0,5  m1  R  m2  R  f  r  0,5  60  0, 2  30 0, 2  0, 2  0,01
1 2 h 2 10
Mouvement de rectiligne uniformément accéléré : V  a  t et h   a  t 2 d’où t    2,03 s
2 a 4,85
Rep Ex12 :
1- Isolons l'arbre 1 : Cm1  F  r1  J11''
J 2 ''2  Cr 2
Isolons l'arbre 2 : F  r2  Cr 2  J 2 ''2  F 
r2
''2 r1 r
Relation cinématique : ''
  ''2  ''1  1
1 r2 r2
  r1   ''
2
  r
Alors :  J1  J 2    1  Cm1  Cr 2  1
  r2   r2

r1 15
Cm1  Cr 2  12  20
Donc : ''  r2 60  18, 06 rad / s
1 2
 2
 r1   15 

J1  J 2   
0 , 2  3 
 r 
2
 60 
2- Duré du démarrage (aspect cinétique) :
'1 21500
'1  ''1  t  t    8,69 s
''1 60 18,06
3- Duré de l’arrêt :
r1 15
Cr 2  20
'' r2 60
 
1 2
 2
 12 ,903 rad / s
 r1   15 

J1  J 2   
0 , 2  3 
 r 
2
 60 

'1 21500
t  ''   12,16 s
1 60 12,903
310
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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Rep Ex13 :
a- L’accélération du mouvement si celle-ci est constante :
V2 202
V 2
V 02  2a (x  x 0 ) avec : V 0  x 0  0;V  20 m / s ; x  100 m ; donc : a    2m / s 2
2x 2 100
b- Les actions exercées en A et B :
    
  ext
F  A  B  P  m  a
En projection sur l’axe (x) : A x  0  0  m  a
3000
Donc : Ax   2  600 N
10
En projection sur l’axe (y) : A y  B y  P  0
A y  B y  3000 N

      
  M /O Fext  M /O A  M /O B  M /O P  0
      
 OA  A  OB  B  OG  P  0
 0   600   1   0   0,91   0   0 
             
  0, 4    A y    0    B y    0, 75    3000    0 
 0   A  0  0   0   0  0
   z           
 0, 4  A z   0   0  0
       
 0  0  0    0
 0, 4  600   B   0,91  3000   0 
   y     
Donc : B y  2970 N et A y  30N , Az  0
Rep Ex 15
1- Le mouvement de la charge étant rectiligneet uniformément 
décéléré on peut, sur la figure
ci-contre, représenter les vecteurs vitesse VG et accélération G du point G.

On choisit (O, x ) orienté dans le sens du mouvement. L'origine O correspond à la position
 
du point G au début du freinage. On note : OG  x.x .
On choisit l'origine des temps t = 0 au début du freinage. 1
Les équations du mouvement du point G s'écrivent : x   t  t  v0  t  x0 (1) ; v   t  t  v0 (2)
2

2
Au début du freinage à t = 0 : x  0 donc v  0, 2 m / s
La relation (1) permet de déterminer : x0  0 et La relation (2) permet de déterminer : v0  0, 2
à la fin du freinage à t = 0,1 : v  0
 
La relation (2) permet de déterminer alors :  t  2 m / s 2 d’où : G  2x ;
la relation (1) s’écrit alors : x  t 2  0, 2.t
La distance de freinage correspond à la valeur de x pour t = 0,1 soit x = 0,01m
2- Les actions mécaniquesextérieurs 
appliquées à la charge 1 sont :

- l’action de la pesanteur : P  M  g d’où P  2 104 x
  
- l’action du câble 2 sur 1. Cette action est modélisable en C par un glisseur : C2/1   C2/1 x
  
l’application du principe fondamental de la dynamique au point G permet d’écrire : P  C2/1  M G
    
En projetion sur (G, x ) on obtient : 2 104  C2/1  2000  (2) C2/1  24000 N d’où C2/1  24000  x

311
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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3- Pour un déplacement élémentaire, le travail élémentaire des actions mécaniques extérieures
     
appliquées à la charge s’écrit : dW  C2/1  dx  P  dx   C2/1  dx  P  dx
AN : dW  (24000  20000)  dx  4000  dx
pour un déplacement x = 0,01 m ; on obtient : W  4000  0,01  40 J
4- La charge et animée d'un mouvement de translation, On peut donc écrire que :
1 2000(0  0, 22 )
Ec 2  Ec1  M (V22  V12 )   40 J .
2 2
En appliquant le théorème sur la variation d'énergie cinétique d'un solide on obtient : W12  Ec 2  Ec1  40 J
5- Les actions mécaniques extérieures appliquées à S sont :
- l’action de 1 sur 2 modélisable en B par le torseur glisseur :
 24 103 0

 B1/2 
  
1/2 B      0 0

B 
0 
 0 0
B  ( x , y , z )
- l’action de liaison pivot sans frottement entre le bâti 0 et le tambour 3.
  X 0/3 L0/3 
 A0/3 
   
 0/3  A      Y0/3 M 0/3 
Cette action est modélisable en A par le torseur : A 
M
 0/3 / A 
 Z 
A  0/3
0 ( x , y , z )
 0 0 

 0    
- l’action du réducteur sur 3 modélisable en A le torseur couple :  r /3  A      0 0 
 M r /3 / A 
A  0 N    
A r /3 ( x , y , z )

L'inertie de S étant négligée. le principe fondamental de la dynamique appliqué en A permet d'écrire que :
      0 
     
M s / s  M1/2/ A  M 0/3/ A  M r /3/ A  0 avec M
/A 1/2/ A  M 1/2/ B  AB B1/2   0 
 24 10  r 
3
0 0 
 
 
proj/z : 24 10  r  0  N r /3  0 ; alors : N r /3  24 10  0,1  2400 Nm ; donc :  r /3  A 
3 3
0 0 
0 2400    
A ( x , y , z )
6- Si x es t le déplacement vertical de la charge lors du freinage et 3 l'angle de rotation du tambour 3
du treuil, on peut écrire que : x  3  d d’où : 3  2 x  2  0, 01  0,1 rad
2 d 0, 2
Si 1 est l'angle de rotation des disques 1 pendant le freinage et si k est le rapport de réduction
du réducteur, on peut écrire que : 3  k1 d’où : 1  3  0,1  1 rad
k 0,1
7- Le rendement du réducteur a pour expression :   énergie fournie à l ' arbre 23 (1)
énergie reçue du tamboure 3
L'énergie fournie à l'arbre 23 a pour expression W23  M 23  23
L'énergie reçue du tambour 3 a pour expression W3  N3/ r 3
La relation (1) s'écrit alors :   M 23   23 d’où M 23    N 3/ r 3 (2)
N 3/ r  3  23
L'arbre 23 et les disques 1 sont liés en rotation, donc :  23  1  1rad (question 6)
La relation (2) permet d'écrire M 23  0,8  2400  0,1  192 N .m
1
Le PFD appliqué à l'ensemble en rotation S lié à l'arbre 23 et aux disques 1 au point D par rapport
à l’axe z, permet d'écrire M s / s  I ( D, z ) 1'' ; Par hypothèse on néglige l'inertie des masses tournantes,
/D

d'où : M s / s  0 . Soit Mf le moment de freinage appliqué sur les disques 1. On néglige le frottement
/D

dans les paliers de guidage de l’ensemble S, il s'ensuit que : M s / s  M 23  M f  0 ;D’où M f   M 23  192 N  m


/D

8- En admettant que Mf est constant pendant le freinage l'énergie dissipée dans le frein a pour expression :
W f  M f  1  192 1  192 J

312
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE
FONCTION TRANSMETTRE L’ÉNERGIE
Aspect Physique
ème
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Rep : Ex16

dVC   
1- m  m  g  T  (T  m  g ) y et le mouvement de C est vertical
dt
dVC
(C est initialement immobile et cette portion de fil verticale) m  T  m  g (1)
dt
       
2- Pour le cylindre, C est son centre de masse :  cyl ,C  1 m  a 2   x  CC  m  g  CA  T  y  a  T  x
2
1 
m  a    T (2)
2
        
3- Il y a roulement sans glissement en A : VA, fil  VA  y  VA,Cyl  VC  AC    x  (VC  a   ) y
   
VA  VC  a  (3) Le fil est inextensible, le cube en translation : si VG  VB  V f  x

alors V f  VA soit VA  V f  VC  a  
dV f
4- Le fil est sans masse, la tension dans le fil est uniforme. Soit M  T  Mg sin  (4)
dt
dV f dVC  M
5- M  T  Mg sin    M  Ma    (3T  mg )
dt dt m
Mm dV f m  3M sin  dVC M sin   2M  m
T g (1  sin  ) soit  g et  g
3M  m dt 3M  m dt 3M  m
L’accélération de C est toujours négative : le mouvement du cylindre est toujours descendant.
Si m > 3M.sinα, le cube remonte, il descend si m < 3M.sinα et immobile si m = 3M.sinα.

Rep Ex17
      
1- Ck  0  Ck Ck  ACk  Ck I k  Rk  RTk z donc Tk  0
   dV

2- M dVA  m dVB  (M  m) dVG  (M  m)   Nk  y alors Gx
4

dt dt dt   dt
 k 1 
Le camion étant initialement immobile, le basculement de la benne ne provoque pas de mouvement
du centre

de masse

G du camion suivant la direction horizontale.
3- M dVAx  m dVBx  0 d’où MVAx  mVBx  Cte  0 alors Md  md Bx  Cte  0
dt dt
d Bx   (cos  0  cos  ) donc : d   m  (cos  0  cos  )
M
Remarque :
Si, au cours de l’étude, un élève repère ce qui lui semble être une erreur
ou fautes de frappe, il le signale au professeur de la matière !!!

313
DYNAMIQUE ASPECT PHYSIQUE

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