VIRTUALISATION ET CLOUD : VIRTUALISATION DE STOCKAGE
VIRTUALISATION ET CLOUD EN ENTREPRISE
Virtualisation de stockage
Ce guide vous assistera tout au long du cycle de réalisation de
votre projet IT : Assistance à maîtrise d’ouvrage, rédaction de cahier
des charges, évaluation des technologies, aide au choix, vérification
des fonctionnalités nécessaires…
CAHIER DES CHARGES
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A PROPOS DE CE GUIDE
Stocker ses données grâce à la virtualisation
1 UTILISER CE GUIDE 2 DROITS D’USAGE 3 COMMUNAUTÉ
La structure et le contenu de guidescomparatifs.com Partagez votre expertise,
ces guides constituent une autorise toute personne échangez autour de vos
excellente base pour préparer physique ou morale à utiliser projets IT et faites-nous part
un cahier des charges ou un et reproduire ce document de vos retours d’expérience
comparatif. pour son propre usage à sur l’utilisation des modèles
condition d’en citer la source. de cahiers des charges.
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4 INFOGRAPHIES 5 INTERVIEWS 6 FORMATIONS
Des statistiques, comptes Les responsables Une gamme de sessions
rendus d’étude, éléments de informatiques s’expriment d’une journée destinées à
réflexion sur une cinquantaine sur la mise en œuvre approfondir un sujet et à
de sujets IT. Téléchargez opérationnelle de leurs matérialiser la démarche de
librement ces infographies sur projets : conseils, anecdotes préparation d’un projet.
guidescomparatifs.com. pratiques, pièges à éviter…
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Le portail collaboratif du cahier des charges
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VIRTUALISATION ET CLOUD : VIRTUALISATION DE STOCKAGE
INTRODUCTION
Contexte technologique, méthodologie et éléments de cadrage
« Virtualiser consiste à permettre, par des mécanismes logiciels
l’agrégation et le partage transparent des ressources physiques d’une
infrastructure.
Les ressources virtualisées s’offrent alors sous forme de services
utilisables de manière concurrente par des clients multiples
totalement isolés entre eux avec des garanties et/ou restrictions de
quotas de ressources et/ou de QOS (qualité de service) ».
Bertrand Quillevéré - Alcane
Les domaines de la virtualisation (Serveurs, stockage, applications,
poste de travail…) différant très significativement l’un de l’autre, le
présent guide porte exclusivement sur la virtualisation du stockage.
Pourquoi mettre en place une infrastructure de stockage
virtualisée ?
La virtualisation du stockage est motivée par un ensemble de ressorts
et bénéfices attendus.
Un bénéfice important est la souplesse apportée par la capacité à
stocker la donnée sur le support le mieux adapté à ses contraintes
d’accès et à la déplacer, sans impact pour l’application, suivant les
évolutions de ces contraintes durant tout son cycle de vie.
La virtualisation du stockage permet aussi de mieux utiliser les
capacités de stockage. On estime que les capacités de stockage
des entreprises sont utilisées à hauteur de 30% et 50%. Un audit
préalable de l’existant est essentiel pour évaluer la situation,
identifier les bénéfices attendus, matérialiser la viabilité économique
du projet et son retour sur investissement.
Certains experts estiment en effet qu’il est réaliste de pouvoir diviser
par 4 les coûts de stockage en combinant deux stratégies :
• « Thin provisionning » : Il s’agit de combiner les supports de
stockage et de placer ces données ou les déplacer au mieux selon les
besoins, sans impacter les applications. On peut ainsi mettre en place
des disques rapides ou du stockage sur mémoire flash en se limitant
aux réelles nécessités (supports coûteux ou très coûteux), et disposer
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par ailleurs de disques plus lents (SATA) mais adaptés aux usages
attendus et considérablement moins chers.
• « Tiers storage » dynamique : on ne réserve plus de l’espace disque
alloué à un utilisateur par défaut et souvent non utilisé, mais on alloue
les ressources en fonction de la nécessité.
D’autres postes de contribution sont possibles, mais les bénéfices
doivent être nuancés selon chaque contexte : augmenter les capacités
de continuité d’activité (PRA par exemple), performance, gain d’espace,
diminution de la puissance électrique, facilité d’administration et
d’exploitation…
La contribution de la virtualisation et la pertinence de chacun des
points ci-dessus dépendent considérablement du contexte et des
objectifs propres à chaque entreprise. Une étude d’opportunité
préalable est recommandée pour éclairer les perspectives
économiques et techniques, et les impacts organisationnels d’un projet
de virtualisation du stockage.
Environnements technologiques
La virtualisation du stockage concerne plusieurs écosystèmes
technologiques se distinguant par des approches différentes :
• Tête de virtualisation (HDS USP-V, HP XP, Datacore SAN Symphony).
Le stockage externe à la tête est géré comme le stockage interne.
• Couche intermédiaire (IBM SVC, Symantec Veritas VxFS).
Cette couche se situe entre le serveur et les baies de stockage.
• Intégration dans le SAN (EMC Invista). Le SAN joue un rôle étendu
avec des fonctions dédiées auparavant aux baies de stockage.
• Intégration dans la baie (IBM XiV, 3PAR). La baie se comporte comme
une « boîte noire » avec une administration du stockage très simplifiée.
Une même solution peut avoir des affinités plus ou moins importantes
avec les différentes approches.
Généralement la virtualisation s’appuie sur des logiciels permettant
d’utiliser les technologies du marché pour les disques (FibreChannel,
SATA, SSD) et les baies.
Cependant, certaines solutions sont totalement logicielles et ce
déploiement sur des matériels banalisés (Datacore SAN Symphony,
Symantec Veritas VxFS). Enfin d’autres solutions requièrent un matériel
plus spécifique.
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Approche stratégique et conduite de projet
Le choix d’une ou de plusieurs solutions de virtualisation du stockage
s’appuie naturellement sur des critères technologiques. Mais ce
choix prend aussi en compte un ensemble d’orientations ou de choix
stratégiques :
• Stratégie multi-vendeurs pour l’acquisition du stockage
• Stratégie de définition des classes de services par rapport aux
besoins « Métiers »
• Stratégie d’intégration du stockage existant
• Stratégie d’intégration de tout ou partie des domaines du stockage
(SAN, NAS, Near-Line, VTL, …)
• Stratégie de reprise du stockage
• Stratégies de systèmes d’exploitation de l’entreprise.
Il est donc relativement fréquent pour les entreprises d’associer
projet de virtualisation et définition de plan stratégique et
technologique (road map).
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Acronyme Terme complet Signification
AFR Annualized Taux de panne
Failure Rate annualisé, découlant du MTBF par
rapport à la durée d’exploitation de
la ressource informatique sur une
année.
CIFS Common Plus généralement appelé SMB,
Internet File protocole de communication ré-
System seau visant à organiser le partage
d’ordinateurs, d’imprimantes ou de
tout dispositif informatique. C’est
notamment le protocole utilisé par
Microsoft Windows.
Déduplica- Technique de sauvegarde qui limite
tion l’espace requis par stockage unique
des redondances de données.
E/S Entrée/Sortie Désigne de façon générique les opé-
rations de lecture et d’écriture sur
un matériel informatique.
Fibre Protocole de connexion à haut débit
Channel généralement exploité sur de la
fibre optique, très utilisé dans les
salles machines pour les connexions
entre des ressources informatiques
nécessitant les plus hautes perfor-
mances (entre serveurs et SAN par
exemple).
Fibre noire Fibre optique non encore activée
ou utilisée, donc dans laquelle la
lumière ne circule pas.
LUN Host Bus Carte d’extension permettant
Adapter d’accéder à un réseau de stockage.
Le cartes HBA sont déclinées par
norme (SCSI, FibreChannel, SATA,
SAS, IDE…)
MTBF Mean Time Temps moyen qui s’écoule entre
Between deux pannes d’un périphérique ou
Failure plus généralement d’un système
informatique.
HBA Host Bus Carte d’extension permettant
Adapter d’accéder à un réseau de stockage.
Le cartes HBA sont déclinées par
norme (SCSI, FibreChannel, SATA,
SAS, IDE…)
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IP Internet Protocole de communication infor-
protocol matique, base d’Internet, notam-
ment associé à TCP (Transmission
Control Protocol) pour former TCP/
IP.
iSCSI Internet Small Adaptation du protocole SCSI pour
Computer un transport par TCP/IP, le protocole
System d’Internet et des réseaux d’entre-
Interface prises, permettant de s’affranchir de
la connectique spécifique de SCSI.
LUN Logical Unit Identifiant d’unité logique, dési-
Number gnant un espace de stockage. Cette
notion est comparable à l’identifica-
tion sur un PC des disques durs, des
clés USB, lecteurs DVD etc… par des
lettres de l’alphabet. Dans un SAN,
les ressources sont distribuées sur
des groupes logiques (LUN) que l’on
affecte aux serveurs utilisateurs du
SAN.
MTBF Mean Time Temps moyen qui s’écoule entre
Between deux pannes d’un périphérique ou
Failure plus généralement d’un système
informatique.
NAS Network Périphérique de stockage indépen-
Attached dant relié au réseau, généralement
Storage point d’entrée d’un SAN (un SAN
peut être composé de plusieurs
NAS).
NFS Network File Protocole d’accès à des fichiers par
System un réseau.
PRA Plan de Reprise Dispositif organisationnel et procé-
d’Activité dural permettant à une entreprise
ou une organisation de se remettre
en un minimum de temps en situa-
tion de production après un sinistre.
Les PRA incluent généralement un
volet informatique conséquent.
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QoS Quality of Qualité de service. Fonctionnalité
Service permettant de définir des niveaux
minimaux de qualité, par exemple
pour limiter une perte de données
transmises sur un réseau, avec des
priorités liées aux types de services
utilisateurs du réseau, ou plus géné-
ralement d’une ressource informa-
tique.
RAID-n Redundant Dispositif de gestion normalisé
Array of d’une grappe de disques durs visant
Independant à sécuriser le stockage grâce à une
Disks tolérance de panne. Le numéro
associé au terme (RAID-1, RAID-5…)
désigne les évolutions successives
de la norme, chacune apportant de
meilleures fonctionnalités que la
précédente.
RPO Recovery Point Perte maximale ou acceptable de
Objective données suite à un incident, expri-
mée en durée (généralement en
heures).
RTO Recovery Time Temps maximal de restauration d’un
Objective système après un incident.
SAN Storage Area Dispositif de stockage informatique
Network composé de plusieurs ressources de
stockage fédérées en réseau et mu-
tualisées entre plusieurs serveurs.
SAS Serial Attached Bus de données de disques durs,
SCSI basé sur SCSI et SATA, apportant de
meilleures performances et moins
de limites (en nombre de disques et
en longueurs maximales de câbles).
SATA Serial-ATA (ATA Bus de données entre ordinateurs
pour « Ad- et disques durs, ou lecteurs de CD/
vanced Tech- DVD. Les disques SATA ont supplan-
nology Attach- té les IDE au cours des années 2000
ment”) sur le marché du matériel informa-
tique.
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SCSI Small Bus de données entre ordinateurs
Computer et périphériques, très souvent des
System disques durs, réputé pour sa fiabili-
Interface té, ses performances et son univer-
salité.
SNMP Simple Protocole de communication gé-
Network néralement utilisé pour supervi-
Management ser les ressources informatiques
Protocol d’un réseau. SNMP peut émettre
des alertes sur le réseau en cas de
panne ou d’événements plus cou-
rants, permettant aux autres res-
sources de réagir. Par exemple, un
onduleur compatible SNMP peut
« prévenir » lorsqu’il prend le relai
en cas de coupure électrique, per-
mettant aux serveurs de s’arrêter
« proprement » avant la perte défi-
nitive du courant.
Les messages SNMP relatifs aux
alertes
SSD Solid State Désigne les périphériques de stoc-
Drive kage à mémoire flash, tels que
clés USB ou certains disques durs
externes amovibles, par opposition
aux supports magnéto-optiques
(disques durs « classiques »).
VTL Virtual Tape Bibliothèque de bandes virtuelles :
Library émulation d’un système de bandes
magnétiques au moyen d’un ser-
veur et d’autres ressources de stoc-
kage. Ce dispositif apporte certains
avantages par rapport à de vraies
bandes magnétiques, notamment la
déduplication.
WORM Write Once Mot à mot « Ecrire une seule fois,
Read Many lire plusieurs fois ». Désigne les
périphériques de stockage non effa-
çables, comme par exemple les CD
et les DVD.
Le principe est repris sur certains
systèmes de stockage, pour in-
terdire la possibilité d’écraser des
données, bien que le support sous-
jacent le permettrait physiquement.
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SOMMAIRE
Virtualisation de stockage
1 CONTEXTE ET PROJET
1.1. Objectifs
1.2. Actifs informatiques et infrastructures
1.3. Eléments économiques
2 ARCHITECTURE
3 DISPONIBILITÉ
4 PERFORMANCE
5 COMPATIBILITÉ
6 ADMINISTRATION / EXPLOITATION
7 FONCTIONNALITÉS AVANCÉES
8 INTÉGRATION NAS
9 MIGRATION
10 DÉVELOPPEMENT DURABLE
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6 NIVEAU DE SERVICES GLOBAUX – DISPONIBILITÉ
ET REPRISES
6.1. Causes d’arrêts de service planifiés du serveur physique
6.2. Causes d’arrêts de service planifiés d’une machine
virtuelle
6.3. Tolérance aux pannes matérielles du serveur physique
6.4. Gestion et reprise suite à des arrêts non planifiés
6.5. Mécanisme de déplacement à chaud des machines
virtuelles
7 GESTION DE LA SÉCURITÉ, DES PRIVILÈGES ET DES
RÔLES
8 FONCTIONNALITÉS D’ADMINISTRATION ET DE
SUPERVISION
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MODELE DE CAHIER DES CHARGES
Sélectionnez et pondérez les critères suivants en fonction de votre
projet pour orienter vos choix technologiques
1. Contexte et projet
1.1. Objectifs
Quels sont les objectifs économiques du projet (plusieurs réponses
possibles) ?
□ Réduction globale des coûts
□ Réduction de la consommation électrique ou allègement
électrique des salles informatiques
□ Réduction des charges de climatisation
□ Réduction d’espace ou désencombrement de la salle machine
□ Réduction des coûts d’hébergement ou d’infogérance externe
□ Réduction des coûts d’exploitation ou d’infogérance externe
□ Autres objectifs, préciser :
Quels sont les objectifs de service associés au projet (plusieurs
réponses possibles) ?
□ Réduction du délai de mise à disposition de ressources de
stockage pour les projets informatiques
□ Refacturation interne ou externe des coûts de stockage
□ Pérennisation d’actifs / Allongement de la durée de vie du
matériel
□ Déménagement de data center
□ Flexibilité d’administration des ressources de stockage
□ Plan de reprise d’activité (PRA)
□ Autres objectifs de service, préciser :
Le projet a-t-il fait l’objet d’une étude d’opportunité préalable ?
□ Non
□ Oui
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1.2. Actifs informatiques et infrastructures
L’entreprise a-t-elle établi de manière détaillée l’inventaire des
éléments suivants ?
□ Baies de stockage
□ Equipements SAN (FibreChannel / iSCSI)
□ Serveurs
□ Systèmes d’exploitation en place sur les différents serveurs
□ Répartition de la volumétrie de stockage sur les serveurs
□ Infrastructure de sauvegarde
1.3. Eléments économiques
Dans le cadre d’un objectif économique, quels sont les postes pour
lesquels l’entreprise dispose des éléments de coûts (plusieurs réponses
possibles) ?
□ Coûts d’acquisition
□ Coûts de maintenance
□ Coûts d’exploitation
□ Plans d’amortissements et/ou mode de financement
2. Architecture
Quel est le principe technique général de virtualisation de stockage
proposé par la solution ?
Quel est l’impact technique de la mise en œuvre de la solution sur
l’infrastructure existante ?
Quel est le mode de définition des classes de stockage ?
□ Par type de matériels (baie, disque, …)
□ Par définition et contrôle du niveau de service
Quels sont les types de disques supportés (plusieurs réponses
possibles) ?
□ FibreChannel
□ SATA
□ SAS
□ SSD
Est-il possible de faire un retour en arrière ?
□ Non
□ Oui
Si Oui, quel est l’impact sur les données virtualisées ?
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La virtualisation est-elle intégrée dans toutes les fonctionnalités de la
solution proposée ?
□ Non
□ Oui
Si Non, quelles sont les limites et les contraintes ?
3. Disponibilité
Quelle est la disponibilité généralement constatée de la solution
proposée (valeur de MTBF, ou valeur d’AFR de la solution) ?
Les opérations de maintenance sont-elles toutes réalisées sans
arrêt de service (par exemple : remplacement d’un disque, d’un
contrôleur, de cache, montée de microcodes…) ?
□ Non
□ Oui
Si Non, quelles sont les contraintes des opérations de maintenance ?
La solution permet-elle de mettre en place des classes de services
orientées disponibilité, en fonction des niveaux de RPO et de RTO
requis ?
□ Non
□ Oui
Quels sont les niveaux de sécurisation des données ?
□ RAID-1
□ RAID-5
□ RAID-6
□ Autre(s), préciser :
De quelle façon la solution gère-t-elle la redondance de chemins
d’accès aux données, depuis le serveur jusqu’au stockage (plusieurs
réponses possibles) ?
□ En équilibrage de charge
□ En bascule
□ Avec des outils natifs
□ Avec des outils spécifiques
□ Autre(s), préciser :
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De quel(s) moyen(s) de réplication de données dispose la solution
(plusieurs réponses possibles) ?
□ Synchrone
□ Semi-synchrone
□ Asynchrone
□ Avec mixité de réplication synchrone/asynchrone
□ Avec une gestion de points de cohérence applicative
□ Avec « resynchronisation » incrémentale
□ Vers combien de sites
□ Avec compression des données sur un lien IP
□ Autre(s), préciser :
Combien de sites de réplication la solution peut-elle gérer ?
4. Performance
La solution permet-elle de mettre en place des classes de services
orientées performance, en fonction des niveaux de services requis ?
□ Non
□ Oui
A quels niveaux la solution propose-t-elle une gestion de la qualité de
service (QoS) (plusieurs réponses possibles) ?
□ Au niveau des contrôleurs
□ Au niveau du cache
□ Au niveau des disques
□ Autre(s), préciser :
Comment est organisée la gestion de la qualité de service ?
□ Par seuil
□ Par quota
□ Par priorité
□ Par profil d’E/S (Entrée/Sortie)
□ Par application
□ Par serveur
□ Autre(s), préciser :
Décrire les moyens de partitionnement des ressources matérielles
(cache, contrôleur, …) ?
Quels sont les moyens de répartition des E/S pour tirer parti de la
performance de chaque élément ?
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La mise en œuvre de ces moyens est-elle transparente ?
□ Non
□ Oui
Quels sont les limites de la solution en termes de :
□ Volumétrie :
□ Performance :
□ Nombre de serveurs :
5. Compatibilité
Lister avec leur version les principaux systèmes d’exploitation
supportés par la solution :
Lister les baies les plus courantes supportées par la solution : Quels
sont les prérequis de la solution sur les serveurs ?
Quels sont les prérequis de la solution sur les cartes HBA ?
Quels sont les prérequis de la solution sur les switches/directeurs
FibreChannel ?
Quels sont les prérequis de la solution sur les switches Ethernet ?
Quels sont les prérequis de la solution sur les équipements de
télécommunication ?
Quels sont les pré-requis de la solution sur la gestion d’une fibre
noire ?
La solution est-elle compatible avec la norme FCoE (« FibreChannel
over Ethernet ») ?
□ Non
□ Oui
6. Administration / Exploitation
La gestion de l’ensemble de la solution (baie / tiroir / disque
/ adaptateur / cache) est-elle assurée via un outil unique
d’administration et/ou une console centralisée ?
□ Non
□ Oui
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Les composants connexes tels que les switches/directeurs du SAN,
les liens inter-sites ou une passerelle NAS sont-ils gérés ?
□ Non
□ Oui
Est-il possible de définir différents profils d’administration
(exploitant, support, expert,…) avec des droits adaptés ?
□ Non
□ Oui
Est-il possible de créer des volumes en s’affranchissant des
éléments physiques (baie, groupe de disques, …) ?
□ Non
□ Oui
Le déplacement des données d’une classe de stockage à une autre
peut-il être automatisé ?
□ Non
□ Oui
Si Oui, sur quels franchissements de seuils peut-il se déclencher
(plusieurs réponses possibles) ?
□ Débit E/S
□ Temps de service
□ Taux d’occupation
□ Autre, préciser :
Si Oui, avec quel niveau de granularité (LUN, Sub-LUN, …) ?
Le stockage peut-il se réorganiser automatiquement (plusieurs
réponses possibles) ?
□ Après la perte d’un disque
□ Après l’ajout de volumétrie
□ Autre(s), préciser :
La solution permet-elle de piloter la mise en cohérence des
données des bases de données ?
□ Non
□ Oui
La solution permet-elle de piloter la mise en cohérence des
machines virtuelles ?
□ Non
□ Oui
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La solution permet-elle d’automatiser la mise à disposition des
ressources de stockage de « bout en bout » (des cartes HBA aux
disques) ?
□ Non
□ Oui
Si Oui, par quels moyens cette automatisation est-elle assurée
(plusieurs réponses possibles) ?
□ Par un script
□ Via une interface graphique
□ Autre(s), préciser :
La solution permet-elle de suivre et de contrôler les performances
de « bout en bout » (des cartes HBA aux disques) ?
□ Non
□ Oui
Si Oui, de quelle façon ce suivi de contrôle est-il disponible
(plusieurs réponses possibles) ?
□ En mode bloc
□ En mode fichier (CIFS/NFS)
□ Avec historisation des données
□ Sans limitation de durée
□ Par composant de la chaîne de liaison
Quels sont les composants connexes dont les performances peuvent
être suivies et contrôlées par la solution (plusieurs réponses
possibles) ?
□ Les switches/directeurs du SAN
□ Une passerelle NAS
□ Les liens intersites
□ Autre(s), préciser :
Vers quelle destination la solution permet-elle de paramétrer la
remontée d’alertes (plusieurs réponses possibles) ?
□ Vers les administrateurs
□ Vers l’outil de supervision (trap SNMP)
□ Vers le centre de support du fournisseur (télémaintenance)
Est-il possible de mettre en œuvre un mécanisme de refacturation ?
□ Non
□ Oui
Si Oui, selon quel(s) critère(s) cette refacturation peut-elle calculée
(plusieurs réponses possibles) ?
□ Au nombre de Go alloués
□ Au débit en E/S ?
□ Autre(s), préciser :
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7. Fonctionnalités avancées
La solution propose-t-elle une gestion par clichés (copie des blocs
modifiés uniquement) ?
□ Non
□ Oui
La solution propose-t-elle une gestion par clones (copie totale) ?
□ Non
□ Oui
La solution dispose-t-elle d’un « provisioning » fin de l’espace
(allocation uniquement des blocs écrits) ?
□ Non
□ Oui
Si Oui, la récupération d’espace sur les volumes existants après
virtualisation est-elle possible ?
□ Non
□ Oui
Si Oui, quelles sont les contraintes et les limites de ce mécanisme de
récupération, notamment en termes de :
□ Compatibilité avec les autres fonctionnalités de la solution :
□ Prise en compte par les outils d’administration et de gestion de la
capacité :
□ Compatibilité avec l’accès en mode fichier (CIFS/NFS) :
□ Compatibilité avec les réplications synchrone/asynchrone :
□ Compatibilité avec les clichés :
□ Compatibilité avec les clones :
□ Compatibilité avec les niveaux de RAID ?:
□ Compatibilité avec les types de disques (FC, SATA, SAS, SSD)
De quelle façon la solution permet-elle la déduplication (plusieurs
réponses possibles) ?
□ En temps réel
□ En temps différé
□ A la demande
□ Avec déclenchement sur événement
□ Autre(s), préciser :
Les volumes (LUN) peuvent-ils être migrés à chaud d’une classe de
stockage à une autre ?
□ Non
□ Oui
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De quelle façon les volumes (LUN) peuvent-ils être étendus ou réduits
(plusieurs réponses possibles) ?
□ A chaud
□ Sur événement
□ Sur dépassement de seuil
□ Autre(s), préciser :
Les composants matériels inutilisés peuvent-ils être arrêtés
électriquement ?
□ Non
□ Oui
8. Intégration NAS
De quelle façon les protocoles CIFS/NFS (accès NAS) sont-ils supportés
par la solution ?
□ En direct
□ Via une passerelle
Quelles sont les fonctionnalités en mode fichier (CIFS/NFS) (plusieurs
réponses possibles) ?
□ Réplication synchrone des données
□ Réplication asynchrone des données
□ Clichés
□ Clones
□ Partitionnement logique multiserveurs de fichiers
□ La fonction WORM en direct
□ La fonction WORM via une passerelle
9. Migration
La migration des données des baies actuelles vers la solution
proposée impose-t-elle un mécanisme matériel/logiciel
complémentaire ?
□ Non
□ Oui
Si Oui, lequel ?
La migration des données peut-elle se faire sans interruption de
service ?
□ Non
□ Oui
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La migration des données permet-elle de récupérer l’espace libre ?
□ Non
□ Oui
10. Développement durable
Quelles sont les caractéristiques environnementales de la solution
proposée, en termes :
□ D’énergie (en kVa) :
□ De climatisation (en BTU/h) :
□ D’espace au sol (en m2) :
□ De poids (en kg) :
Utiliser les guides
Les guides proposés en téléchargement sont des introductions aux
principales fonctionnalités des solutions technologiques. La structure
et le contenu de ces guides constituent une excellente base pour la
prise en main de ce sujet et pour disposer d’une base solide pour
préparer un cahier des charges ou un comparatif.
Ce guide a pour principale vocation de faciliter l’appropriation d’une
telle démarche par les acteurs du projet. Il représente le meilleur
compromis entre une démarche standardisée et une démarche
personnalisée de choix.
Un projet de choix et de mise en œuvre d’une solution s’appuie sur
une démarche d’analyse, de compréhension et de modélisation des
besoins. Chaque critère présenté se doit d’être qualifié, personnalisé
et soumis à une évaluation comparative, au plus près des spécificités
de l’entreprise.
En fonction de ces analyses, il sera possible de sélectionner et
pondérer les critères du guide pour bâtir une grille d’évaluation
personnalisée dont le remplissage et la lecture conduiront aux choix
technologiques.
En résumé, un projet de choix et de mise en œuvre d’une application
de gestion intégrée s’appuie sur une démarche d’analyse, de
compréhension et de modélisation des métiers de l’entreprise et de
leurs interactions : ce guide a pour principale vocation de faciliter
l’appropriation d’une telle démarche.
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Notations et classements d’offres
Les guides n’intègrent pas de notation, classement ou jugement de
valeur sur les offres.
En matière de projet d’entreprise, tout classement universel est
inadapté et faux : une offre est parfois plus adaptée que d’autres
au contexte d’un projet ou d’une entreprise. Cette même offre sera
peut-être moins adaptée que les autres pour un projet différent.
C’est en ce sens que les guides ont été conçus. Sélectionner et
pondérer les critères du guide en fonction de chaque projet permet
de bâtir une grille d’évaluation personnalisée dont le remplissage et
la lecture orienteront les choix technologiques.
Il n’y a donc volontairement aucune note ni classement dans les
documents, comme on peut en trouver dans les comparateurs
d’appareils numériques, caméscopes, matériels électroménagers…
Reprendre les textes des documents
La société guidescomparatifs.com autorise toute personne physique
ou morale, à utiliser et reproduire lesdits documents pour son
propre usage.
Nous vous invitons à citer les sources utilisées en faisant mention du
nom guidescomparatifs.com.
La société guidescomparatifs.com est titulaire de droits d’auteur sur
lesdits documents en application des articles L.111-1 et suivants du
Code la Propriété intellectuelle.
La société guidescomparatifs.com se réserve néanmoins la possibilité
de poursuivre sur le fondement de la contrefaçon de ses droits
d’auteur toute personne physique ou morale utilisant ces documents
dans le cadre de son activité à des fins commerciales (facturation
de prestations de conseil sur la base des documents, vente de
la réalisation d’un cahier des charges reprenant les documents
guidescomparatifs.com...).
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