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CP - Français - Nous Avons 5 Ans - Syllabaire, 1er Livret - Barcla - 1961

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ae to 4d zed SYLLABAIRE Premier Livret ‘A. DAVESNE — \ M= MEYMI Ins, Youre’ Académie Editions BARCLA TOURS NOUS AVONS CINQ ANS» SYLLABAIRE Premier Livret A. DAVESNE M™ MEYMI Inspecteurd’ Académie Inatitutrce Illustrations de Charles SCHOTT oon ne Editions BARCLA 11, Rue Origet, TOURS 1961 Tous droits réservés AVANT-PROPOS Méthode « globale » ou méthode « syllabique » ? Chacune d’elles a ses partisans, et ses partisans convaincus, voire intransigeants. La querelle qui les divise nous parait assez vaine. Quel que soit, en effet, le systme employé, il faut toujours qu'on en revienne aux deux opérations fondamentales de la lecture : I’analyse (décomposer un mot en ses syllabes), la synthése (grouper les syllabes connues pour composer des mots nouveaux). Peu importe que l'enfant aille de la synthése A I’analyse ou de I’analyse & la synthése. Son esprit n'est pas tel qu’il répugne absolument & l'une de ces démarches et qu'il se rallie 4 l'autre sans difficulté. Au reste, toutes deux peuvent se recommander de principes indiscutables de la bonne pédagogie : «< Je vais du concret a I'abstrait >, proclame la méthode globale. « Et moi, du simple au composé », rétorque la méthode syllabique. Liessentiel est qu’on sache intéresser I’éléve, que la lecture ne soit pas pour lui la prononciation de sons juxtaposés, mais la découverte des réalités vivantes qui se cachent sous les signes de I'écriture. / faut que l'enfant comprenne ce qu'il lit, et que la maniére dont il lit prouve qu'il comprend. Le grand secret de l’apprentissage de la lecture est la. Done, pas de mots étrangers au vocabulaire des petits, pas de phrases complexes, pas de textes trop sévéres. En revanche, ne pas tolérer les lectures hachées en syllabes qui sont, trop souvent encore, traditionnelles dans les petites classes. La méthode syllabique construit toutes ses lecons sur un plan unique : examen d'un < mot-type » (jllustré par un dessin) qui fournit le son étudié; puis, formation de syllabes et, immédiatement, lecture de mots, de phrases, d’historiettes. Cette mono- tonie dans le procédé employé, contrairement & ce qu’on pourrait penser, ne semble & I’éleve ni fastidieuse, ni ennuyeuse. L’enfant — et surtout l'enfant de 5 & 6 ans — est_traditionaliste, routinier méme. Son esprit s’accommode trés volontiers d'une méthode qui, pour toute acquisition nouvelle, propose les mémes étapes au travail de recherche. Cette fixité du plan, cette rigidité dans l’armature de la lecon, lui procurent un sentiment de sécurité : il sait — ou il entrevoit — que lorsqu’il aura découvert la clé d'une page nouvelle, il pourra, par ses propres moyens, explorer la page tout entiére. Lrapprentissage de la lecture par la méthode syllabique ne présente guére qu'une difficulté, et encore cette difficulté est-elle assez rapidement surmontée: c'est la formation d'une syllabe par la liaison d'une consonne et d'une voyelle. Au début de son apprentissage, l'enfant éprouve quelque peine & passer, par exemple, des sons pet ia la liaison pi. On l'aide a se tirer de ce mauvais pas en lui faisant observer et prononcer les syllabes étudiées dans des noms d’objets ou d’animaux ts connus (tel est le but des dessins qui se trouvent & gauche de la premiére page de chaque lecon, en colonne verticale), Exemples : il trouvera to dans moto, té dans paté, tu dans voiture, ta dans table, ete... Lorsqu'il est parvenu a comprendre la liaison des deux sons ef & lire la syllabe ainsi formée (1), le principal est fait; le reste aisément, Nous avons conn nombre d'enfants — et des enfants moyennement dou ‘Qui, apts avoir appris avec Taide du maitre les deux ot trois premiéres consonnes du préent syllabaire, continuaient & ctudier ceuls Ia presque totalité des autres lecons il eur suffiait examiner le mot-type correspondant 3 une letre inconnue pour trouver Ja valeur de cette lettre (Ie son cherché se trouve presque toujours & la fin du mot) ct, partant, pour déchiffrer les syllabes, les mots, les phrases. ‘La méthode syllabique consitue, non seulement pour le maitre qui enseigne. mais encore pout les éleves, un moyen pratique de passer d'une connaissance acquise & une connaissance nouvelle; elle permet de faire une large place au enfant; elle ne nécesite pas une intervention constante du mat ‘ment aux conditions de Ia vie scolaire journalite : elle s'accommode plus que toute ‘autre des rentrées tardives, des fréquentations imvéguliéves si coutumiéres aux petis. Elle parait done devoir conserver sa place dans les classes & plusieurs divisions et notamment dans les écoles & classe unique oi le maitte ne peut guére accorder aux palits tout le temps souhaitable et ol, pour cette raion, l'emploi de la méthode globale ct difficile et décevant. I va de soi, que la méthode syllabique, telle que nous Ia concevons di le présent manuel, ne prétend pas ignorer la méthode globale; lle empruntee catte demiéte bon nombre de procédés dont la valeur a été reconnue : les mots ne sont ‘pas séparés en syllabes, enfant les voit « globalement > : il n'a donc plus tendance & Jes morceler ni dans ses lectures, ni dans ses copies: si, parfois, un maitre éprouve le besoin, pour faite lire un mot difcle, de le partager en syllabes, cette analyse devra dire suvie immédiatement d'une synthése qui rstituera au mot sa veritable physionomie: autre part, Tusage des jeux de lecture, des < lotos littéraires», des ditées, enseigne Te maniement des mots et fixe, dans les mémoires, lear orthograpke (voit les instructions cde la page 15) Le pédagogue doit se garder de lesprit de systime; il emprunte A toutes les rméthodes les commodités qu'elles hu offrent Le présent syllabaire n'est pas le fruit d'une improvisation hative. I] été, & plusieurs reprises, mis & Iessai dans de nombreuses classes, puis amélioré en tenant compte des ‘observations que la pratique avait permis de faire. Siil réussit & rendre quelques services, il le devra, pour une large part, aux Insti teurs et Insttutrices qui nous ont aidés de leur expérience, i M. Schott, qui a mis & notre service son talent d'artste, & la Librairie Barcla qui a édité ce petit manuel avec ‘un goit parfait. Que les uns et les autres trouvent ici expression de notre gratitude. A. Davesne et M™ Meru eee eed Sf Fone eee METHODE A SUIVRE POUR L’ETUDE DES VOYELLES Exewpye. — 1 legon : i 1* Le maitre montte une toupie, une bougie, un fusil, ete. I prononce ces mots cen insstant sur le son i et les fait répéter. 2° Il dessine au tableau une toupie, une bougie, un fusil, ete. Il grit sous chaque dessin, en caractires dimprimerie et en lettres manuscrites, les mots correspondants, en fayant soin de faire apparatre nettement a lette i (emploi de exaie de couleur). 3° Il dessine en gros caractéres la lettre i et la fait lite. 4° Il fait trouver par les éléves des mots renfermant Je son i (notamment des préoome d'enfants, des noms d'animaux et d'abjets ts connus). I éerit ces mots au tableau ety fait rechercher les i. 5° Il découpe dans du papier fort, ou méme dans du carton, la lettre i (caractire imprimerie et letre manuscrite), la montre aux éléves, la fait observer, en fait suivre Tes contours & Taide du doigt. Une lettee ainsi découpée devra ftre remise & chaque Glave; elle servira de gabarit pour tracer une autre leltre qui pourra étre découpée par Te procédé du piguage. Lidtude des voyelles — que nous n’avons pas précipitée pour permettre aux rowveaux éléves Parriver en classe avant que Tenveignement ne soit trés avancé a rentrée 'effectue souvent d'une facon irrégulitre : il faut 8 & 15 jours pour que Treffecif soit au complet) — doit accorder une large place au dessin et au. travail manuel. (Pour Papprentisage de Uéeriture, voir les insiructions, page 13) a 1° LEGON 2 LECON un lit une charrue i al iL 3 ipsa, — eae Bere SEs NN eS Agee eae Sella | une bougie _| . ye fil . Zp «ami, épi, image, fil, souris + nu, vétu, usé, plume Go s riviére, farine, fusil, bruit ‘ . ‘ ‘ j & ‘ Z s minute, fusil, bruit, cuisse 6 ame nage fl d i une plume SNe ee 6 1 elt, cast filtumne correspondante, puis 4 reproduire sur Tardoise les dessins 2) et les mots; un dexitme exercce aura pour but de faite écrite directement les mote sane le secours des étiquettes. 7° Les phrases et histoietes qui accompagnent chaque lecon de lecture ont 3 la fois une application de la legon du jour et une revision ddes lettres Gudiges précédemment. Malgré cela, nous recommandons trés vivement de procéder & de fréquentes revisions. C'est dans Venseignement de Ia Jectute surtout ‘quion ne doit ¢ faire de nouvelles conquétes que si Ton est sir de bien tenir le terrain ‘d&ja conguis » (Instructions offcielles de 1923) y 0) yet 3 Sat anit 4 oni nee de ie fends pr permete et cli me et de foe et (Ve Rg epg 1G) Cot pogo dein shane fpr Teme fae FA % & LECON t 2 .4-\ee . la Lete la_porte apo 2 Bae + toto, tata, tétu ry feshndeos, [2 2 BE peel ee i 2 ae hile ie oo s . a . ee) es la table Sas |: i es tu a |. late ta téte ee Oe ee Ge te tite Ss. th té- tu te té “ta : - toto, tate ta tele une voiture ee | © tu iw wet ‘ ‘ 6 ‘. Pe hs 5 Yb Bieta: Be une auto P wy #% une pipe yo 1 pe pa. po. pi seme fe fe fa fa fc’ ah 1, -pé pu pe pé SS ee A oe Dy iste » pe po pé pa pi pe pu Bi | eaee ieee Ae Ae 27 p & 7 , toto, papa, pépé She papa fife 3 pepe, tu as ta pipe 4 SPE te as ta figfe pépé, tu tapes ta pipe Ce types la fife eee AT KOT | 10" LECON z\[n & 7. oo |: ne fo ni oné une nappe, une natte ee uuagemne Wa’, ee: HO We we » papa, toto, nano, Nint pee ye s na nu née née ds LYLE Cll, wutne, wn i 4 nano a une pipe 6 We We WE WE | i‘ “ une petite pipe s né oni ne no né na nu ie RARO A URE fictele. figfie 6 une téte, une pipe } Wr toto a tapé nini le pire nod |] 7 une patte, une épine enone gn ane cheminée wun pot ae 9 Ole @ ce fe | 8 une ble, une fife, ane fre # | hacienda se : Z 2. Fie hos don dn Sr es lt ln cane un_épi tas aR qs + a 11" LECON une boule @/ L_ézZ une pelle | m4 un lit la locomotive 3 4 5 6 7 le li lu 6 pa Ue. ee Te.a las ele seal i ile SOD ee la pipe, Te pate, Pépi la Ttine, la pelote, Te tit Catan, tel la bile elt-é un-4 = BY teat LE fofa ct fife 4 la petite lili a lu nano n’a pas lu 6 papa a puni nano 7 Ga fdite tila a te EXERCICES PRELIMINAIRES. 22 ia ot os was Ei wt FQUE. — Racor Mise Gig 44.6) «ne dingy. pi DIETEES. — Leow lle, mat Rein des he, ae, a fi ane, un paté, un épi “Qu ok foto et lili, papa et pépé Bi i lili et toto 2 d @ d ? d dédé a un petit ane . de dé do 2 ae de de » di du dé papa a tapé lane az le ke $ Pane a détalé 3 la télte de dédé Vane a été tétu unde Lan | ( if le petit ane dédé a appelé papa ie Cine a ite tite ¢ 6 la pipe de papa it faye @ te Cine Lei la laggeew 7 le dos de toto : eee ee ° et un un soldat 13° LECON V Bd2z | vav la cave un élive 6 rh ya toto a un vélo... 1 VIGE A OV) 3 : : 2 il va a la ville... 2 tue we wu P iis il pédale, il va vite..: A il a vu dédé... une vache 3 : ‘ oe 4 “ la ville oy >, MOX VEL Vie Sexe a il leve la téte et dit: ae as as m3 6 «hé dédé! né dédé! un vélo ‘ * a la ville, vite, vite!» hs ae 5 un éléve, un vélo F bt, peddall, ee ee ‘ alts 6 un pavé, un payor ieee un village |] 7 toto va a la ville ba 8 etn va ta ta ville Se j ) oe el, un, il f J he dédé ERR) , " - ji 14 LECON | — | | une plume | une pomme AY + mé mi mo mé 4 |: émilic, la petite amic de ae 3% doz tec See a 2 mado, est malade. fi 4 3 mémé a donné une > Ma mu me me | on. x. : ‘ pomme a mado. al rests 4 Wit Witt Me Me 8 mado donne la < 5 le domino, la moto 6 pomme a émiliec, la = AN ‘ e + es \ 6 une pomme, une tomate f petite amie. petit rat (eee 7 mimi, nano et mado ; os og Fi eS mime nano e mae St eae re Gy) [2 ete est-: un il a eV" ball/ if ne elena i oo be émilie est malade 0 ¢ cnc, Ga felite aie mile est malade mh Ty |} I@WQQvKa 29 rm ¥° 20rr @ 2 un_ verre : une tirelire 1 Se?” Fak’ “roe er 2 te ca te ae > ré ru ré ré eee A ee) ee un rat la moto 8 rené, rémi et marie ANY 6 une rape, une tirelire Te rideau 7 le pére et la mére de dédé 8 @ frre dla mee de dedé et-: est- un il $s 3 4 petit rat réde. Sia il a vu un pate. pedi = le pate il léve la téte, remue le nez. «hé, pere rat! hé, mére rat! » | a > a pére rat arrive et tire le paté; petit rat mere rat arrive et tire pére rat; et petit rat fire mere rat. fit val lie la mere vail pere rat | Ge ks 16 LECON | Bd we une jambe alton 1 nano est petit, petit ; A une bobine |) » nano est un bébé. ay nano ear 7 : marie a donné a : 9) 2 Z, 2 J ‘ nano du lolo ; & } ee A Ae, Gl ee ; = 5 nano a bu le Iolo ; nano a bu 8 une robe, une bobine Dost velane r ED i 6 il rit, et marie dit: Be i 6 un rabot, une béte fod awe: 7 “« no, dodo, SS un béret us bébé a bu du lolo | Banaue doe nae t 8 petit nano. » ps |' ha eh lb &) » et est un il elle | | |’ ee ey ‘une balance dodo, nano Boatorotal : i 17" LECON: REVISION luoaeééé AMC ACE LE tpnmrvldb Lpnmevtlal © 1 marie, rémi et lane M2 marie a 3 «hue! petit ane, hue!» la voiture 1 Vane est tétu : s il n’obéit pas, il rue. 6 marie a appelé rémi. ic rémi est venu. rs Vane rue sil a battu Pane; ° vile, Pane a détalé wie, Cine a debe th le yélo de rené | 2 le vélo de rené est abimé; 3 rené donne le vélo a papa; 4 papa répare le vélo. 5 le vélo est répareé ; f 6 rené pédale, pédale, \ a il ira vile a la ville. cee papa répare le vélo a ; by fipiaa some 4 vel, > 9 vone’ fuidale, pedal. rené pédale 10 VoL ea reas aes Pm SO FH IB SB aeerscon, (ar i" 37 une carafe =T : fe fa fi fu 7 iis le petit rémi a fumé ‘&, : sie fo fe fe aie la pipe de pépeé. 2: . n . 3 rémi est malade. > fo fé fe fe : cance : : : L s papa retire la pipe; be ee Pe il dit & rémi: 5 la farine, une feye ri. «un petit. bébé ne me 6 la fumée de la pipe r fume pas la pipe > ; Sr Ge fame de la fife 8 fife dit a sine: oR set est un il elle 0 an dihnefamepastajpe. | FO pen age eres | | | RGR Rare ee OCLs Io’ TY 5s J une tasse une brosse S A se Sa so sl 1 rené va a la ville; << 2 a Ia de ae 2 il a vu madame aline. sé 3¢ ph 3 il salue madame aline: Ch > Su Sse ‘se Se madame aline , , ; + il dit: « bonjour” madame! » os = ee ae wc madame aline dit: a 8 un sabot une sayate . 6 « bonjour" petit rené!» 6 une tasse une bassine : A Aes ae 7 rené est poli. sendyaslve, 1 1 ARE ee ; : un soldat 8 vene a salue madame alene, . 8 dn foe wre delle SE 9 tone ost fucle. (> ely est un il elle re) tt cal ee te 1 REAR RIB SSS5SSSS 20 LECON, un sac A 1 od co eu tT l}1 «ho! hisse! ho! hisse! » a ae ysl he 1 2 marie tire; rené tire: 2 . une carafe |] * hes = a «ho! hisse! ho! hisse! » r ; 3 la carafe, la cafetiere S Bs |marie tire, rené tire| : 4 la corde” a cassé... 4 Pécole, une locomotive ‘ couaaill marie a sali sa robe. une _cafetiére HS 8 s a aaa ae ca: Die 6 rené a abimé sa culotte. 6 le petit rémi est lé P x ‘ E 7 marie lavera la robe la eoree sear 2 camarade de rené 8 et réparera la culotte. 8 time va a C teole » et est un il elle marie lavora ta role une culotte eae Z ae - ge 7\ii\g CF ss 1.g4i° go gu ee |, < ey 3 un fagot, une gomme ‘ un Iégume, une gamine une ee : Y 3 anesgomme, un legume Be 6 rémi n’a pas lavé sa un fagot 7 figure ; il est sale. : 2 ae carclle esl un Loume »et est un il elle une gomme ipl 8 tone, 1 «hé! rené!» dit papa. 6 bonne tasse de café rené se léve. il se lave. «il salue papa et maman”. il se régale d'une rené_se_léve et il va a l’école. Seay ii rené se régale oll, ce lame viyate sean rené_va a l'école}| — |S Z6A 2. — ee ee, des jambes a un képi 1 je ja ju ji jo fo fe fo pe 3 une jupe, une ja ‘ jules, julie et jérome, 8 a yilee yixpe de sult 6 je me leve, je mé lave, 7 je salue papa et maman, sje me régale dune bonne | 9 tasse de café et... 10 vite a Vécole. un jardin 1 ké ki ko ka am un hide de frtae jojo a mis le keépi dé papa. kikia mis la jupe de maman. jojo dit a kiki: « je te salue, madame kiki! » et kiki di: a jojo : kiki «je te salue, pére jojo! » oS @ hjfe de pupa : 0 000000} h is A “hithot Re! 6 Ke he un haricot, un-habit) 3 O72 Konune a + le petit thomas a mis un 8 joli habit et\un képi. 6 il dit et redit : 7 «héla! hola! je suis 8 devenu un homme » 0 pe sass desenut an homme Pe un 7 3 la gaze 16r0 Yeiz= yi ye 5 yves et yvonne suzanne poet be yoorite . og tpnmrvldb tpnmrvldl 9 f. Seek h xz FL ACGHNLY 1 une tot 2 uné cocolle, un pot, un domino, un ane, , la lune, une moto, un rat, un rabot, 3 un sabot, un képi, une locomotive. wn ned un ld un de 3 ame fomong ane tichiie une Celine une taste § an faites an we, & ne cofediiie un fagol une jibe une tole 1. Les dives desineoat les objet énumént c-dewes, | ’ EXERCICES | cigar ‘ot corepondan, ‘Méme execie, mas poate Tobjet a Tew de Ye desig i REVISION REVISION ljuoaeééeé : Phe. oe a 1 “a Vécole HALO QA CVE A 2, Le mite tracera aw tableaa ou su ler ards am ou plusieurs de cer devia, Les lives }s a Vécole, mimi a lu et copié ; 2 mimi est allée a Pécole. 3 madame aline a nienée. as et madame aline s elle a mérité une bonne note ; « mimi est une bonne éléve. 7 sa camarade lili n’a pas su lire; 8 lili a été punie. 9 Ch nia pad ve lee, lia ete 49 punie le a de, pune. 4, Procider bd tes nombrewses dite de lees, alles, ots qui ot & udide REVISION REVISION 1 le vélo de toto 2 papa a donné un vélo a toto. 5 toto pédale vite, vite. 4«ne va pas si vite!» dit papa. 5 toto n’obéit pas. 6 chola! ditil, hola! gare! gare!» 7 ai ma tétel... 8 toto a bobo, e, 9 le vélo est cassé, 10 Ta culotte est abimée. = 1 toto, tu obéiras a papa! St tle, te obeivad a fifa aie! ma téte 1. ‘maman lui a donné du lolo Si 9 ta maladie sera vite finie». Mio de, ma frclile mee, = add Zs \ la maladie de mado 2 thado est malade. s @lle n'a pas bonne mine; 4 Sa petite figure est pale. a 5 elle tate sa téte: 6 «ma téte a bobo», dit-elle. mado est malade *;maman lui a donné du Iolo. s «dodo, ma petite mado; \ be maladie teva vite 2 fone. Pour paraitre en Aofit 1961. NOUS LES JOYEUX ENFANTS M™ LESVIGNES Directrice d’Bcole A. DAVESNE Inspectetir d'Académic Faisant suite au syllabaire ‘‘ NOUS AVONS CINQ ANS”, voici un premier livre de lecture courante dont les textes sont des récits qui, ainsi que le promet le titre, s'inspirent de bonne humeur. Chacune des lectures est suivie d’exercices trés simples dont les uns sont destinés a vérifier si les enfants ont bien compris le texte et dont les autres ont pour but d’entrainer les éléves A compléter des phrases au moyen d’emprunts au texte Iu. En outre, a la fin de chaque chapitre, des “ Jeux” trés divers contribuent, sous une forme amusante, a I’acquisition du vocabulaire et de l’orthographe. Le manuscrit a été “essayé” dans des classes avant d’étre proposé & l'édition; il a été remanié et mis au point aprés cette confrontation avec “le réel”, C’est dire que ce livre n’est_pas le fruit d'une improvisation hative. ll semble devoir plaire aux éléves et faciliter la tache des maitres. Jeux de lecture Mis au point avec la collaboration de M™* LESVIGNES Directrice d'Ecole - accompagnant le syllabaire ““ NOUS AVONS CINQ ANS” 0 littératre, tel qu'il a été décrit page 18 du premi¢- ia fois 'apprentissage des élaves et I'enseignemer & plusieurs divisions. 5 Des jeux de lecture sous a forme d livret du Syllabaire, ont 616 édités pour facilite donné par le maitre, notamment dane les clase 1s comprennent : Je 1*tivret, 8 cartons; le 2° livret, 19 cartons (21 x 12,8), comportant chacun \ 8 dessins accompagnés des étiquettes correspondantes, impression 2 couleurs. Editions BARCLA. ~ Dépde légal éditeur 107 Imprimeries Oberehur, Rennes-Paris - Dé lbeal imprimeur S6ED — 4 crimes 1960,

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