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INTRODUCTION de La Vache de Dieu

Le conte raconte comment Kacou Ananzé et Hyène commettent l'erreur de manger le cœur de la vache sacrée de Dieu, causant sa mort. Hyène ne respecte pas les avertissements de Kacou et mange le cœur, entraînant la colère des autres animaux contre elle.

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INTRODUCTION de La Vache de Dieu

Le conte raconte comment Kacou Ananzé et Hyène commettent l'erreur de manger le cœur de la vache sacrée de Dieu, causant sa mort. Hyène ne respecte pas les avertissements de Kacou et mange le cœur, entraînant la colère des autres animaux contre elle.

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INTRODUCTION :
"Le Pagne Noir" regroupe seize contes ivoiriens dont le héros est Kacou Ananzé
l'Araignée. Celui-ci est malin et intelligent, mais également cupide et égoïste. Il est
très craint des autres animaux car il peut changer de forme à volonté et prendre
l'aspect de toutes sortes d'animaux, même des humains. Il joue des tours à tous
ceux qui le croisent, mais parfois se fait prendre à son propre piège.
Dans le thème que nous allons aborder Kacou et son ami Hyène vont commettre la
pire erreur de leur vie. Kacou ayant prévenu à Hyène de ne pas toucher au cœur
mais ce dernier se croyait duper par Kacou et songea de manger le cœur de la
‘‘vache de Dieu’’

I. LEÇONS DE MORALES DE LA VACHE DE DIEU :


‘‘La Vache de Dieu’’ est un conte avec beaucoup d’enseignement on a comme
leçon: respecter sa parole, retenir ce que l’on dit et retenir que la confiance
n’exclut pas le contrôle.
Le respect de sa parole : A l’exemple de Kacou, lui qui avait promis d’amener son
ami Hyène pour qu’il puisse avoir quelque chose dans le ventre. Malgré que Hyène
ne le croit mais lui il a il s’est protégé de se qu’il avait dit en amenant son ami vers
son festin.
Retenir les conseils que l’on reçoivent : En regardant le cas de Hyène qui au lieu
d’écouter les conseils qu’on lui donne a cru que son bienfaiteur voulait lui jouer un
tour en s’appopriant le cœur de la vache de Dieu or kacou savait pertinement que si
on le mange la vache mourra mais lui il n’a pas écouté ce que lui disait Kacou.
Manger ce cœur lui a couté cher.
La confiance n’exclut pas le contrôle : Dieu qui voyait Kacou gardé sa forme comme
quelqu’un qui mange normalement au moment où tous les animaux maigrissait. Et
plus frappant il voyait sa vache maigrir de jour en jour alors que ce dernier mangeait
chaque jour. Dieu avait même doubbler sa ration pour qu’elle ne maiigrisse plus mais
en vain. Il n’avait jamais pensé que Kacou se nourrissait à travers sa vache alors les
faits étaient apparent Kacou gossir sa vache maigrir. Mais comme Kacou était son
ami intime il n’y avait jamais pensé.

II. LES PERSONNAGES DE LA VACHE DE DIEU :


Dieu : l’ami intime de Kacou et qui possédait sa vache qu’il nourissait de jour en jour.
Lui qui avait le contrôle sur tout et qui n’a pas su que son ami intime lui jouait des
tours en allant se nourrir sur le chair de sa vache.
Kacou Ananzè :l’Araignée qui au moment d la famine, se sentais à l’aise, mangait
tous les soirs en cachette même son ami intime dieu ne pouvait deviner comment se
fais t-il que Kacou ne maigrit pas au moment où tout le monde mourait de faim. Alors
que dieu nourrissait sa vache avec soin lui il entrait dans son ventre pour manger. Il
le faisait depuis des jours sans que ne sache pourquoi la vache qu’il venait même de
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doubler sa ratio alimentaire ne cessait de maigrir. Cela prouve la malice du


stratageme Kacou
Hyène : un animal sans cervel qui croyait jouer un tour à Kacou alors qu’il ne savait
pas que Kacou lui a tracé un chemin qui mène dans sa tombe lui sans réfléchir a pris
le chemin le chemin qui allait direct vers sa perte en croyant réussir le coup de sa
vie. Elle qui voulait cot que cout manger le cœur de la vache de Dieu en pensant que
Kacou voulait se l’approprier.
Les autre animaux :eux qui mourrait de faim et qui se posaient tous la question à
savoir comment sortir de cette famine. Ils seront ceux qui infligeront à Hyène les
coups qui ne lui quitteront plus.

III. RESUME DE LA VACHE DE DIEU :


—Surtout, Hyène, il ne faudra pas toucher au cœur. Tu m’entends ?
—Pour qui me prends-tu ? Depuis dix jours, ce sont les mêmes propos que tu me
tiens ! Le cœur ! le cœur ! que veux-tu que je fasse d’un cœur de vache ? Si ma
gourmandise est légendaire, j’ai tout de même quelque chose là, dans le crâne.
—Hum ! Surtout, il ne faudra pas toucher au cœur ! Un coup de dent par ici, un coup
de dent par-là… on ne sait jamais…
—Alors tu veux dire que je suis réellement bête ? Nous dont les grands-pères des
grands-pères, des…Donc tu m’emmènes demain avec toi ?
—J’ai promis. Araignée n’a qu’une parole. Et ma foi, l’on fera bombance.
—Je m’en mettrai jusque-là…
—Attention au cœur… De la viande, il y en aura en abondance, il y en aura tellement
que tu…
—Je m’en mettrai jusque-là… Les yeux de Hyène brillèrent. Rien qu’à penser à cette
abondance de viande, elle avalait goulûment la salive et cela dans sa gorge faisait
klouc ! kloucEt elle se murmurait : « Ne pas toucher ! ne pas toucher au cœur ! Une
viande est meilleure faisandée. « Le cœur, ça doit être le meilleur morceau. Et ce
perfide Kacou Ananzè veut se le réserver. Oh ! nous allons voir. Je suis bête ! Nous
allons voir si je suis réellement bête !…
C’est dire que dieu et Kacou Ananzè étaient des intimes. Et tous deux, tout le temps,
allaient voir la vache, la plus belle de la création, la vache luisante de graisse, les
naseaux toujours fumant, et la queue tout le temps en moulinet au-dessus de la
croupe, la vache de dieu. Mais si l’on était heureux chez dieu, sur terre, il y avait
famine. Il n’y avait plus rien à manger. Rien dans les airs ; rien dans la brousse ; rien
dans les eaux. Rien nulle part. Tous les êtres maigrissaient, excepté Kacou Ananzè.
Dieu même parfois, le regardant du coin de l’œil, se devait demander :
— Comment se fait-il que Kacou Ananzè est le seul être à ne pas maigrir ? Kacou
Ananzè, devinant ces questions informulées, hochait la tête et souriait. Hyène n’avait
même plus la force de se tenir debout, plus la force de se traîner. Kacou Ananzè par
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contre avait de ces joues, de ces biceps, de ces cuisses… Oh ! non, ne levez pas la
tête pour regarder au plafond ! Ce n’est pas la même Araignée, ou plutôt cette
araignée n’est plus Kacou Ananzè que dieu regardait en se demandant : « Comment
la faim peut-elle faire grossir ? Un autre fait torturait dieu : sa vache maigrissait, or
elle était bien entretenue. On avait doublé, triplé, quintuplé sa ration. Elle maigrissait.
Dieu, regardant la vache et le confident Kacou Ananzè, disait : « Araignée va-t-elle
changer le cours des choses ? N’ai-je pas laissé échapper quelque secret de vie
qu’emploierait Araignée pour ne point maigrir ? »
Kacou Ananzè ne quittait plus la vache de dieu. Il versait des larmes à la voir maigrir.
Donc chaque nuit, par une fente, Ananzè pénétrait dans le parc, puis par mille
astuces, s’introduisait dans le ventre de la vache de dieu, mangeait à satiété, puis
par le même orifice qu’il lui suffisait de chatouiller un peu, il ressortait. C’était là le
secret. Mais dieu n’y voyait que du feu. Hyène mourait de faim, tellement que Kacou
Ananzè eut pitié d’elle, lorsqu’un matin, celle-là lui dit :
— Ami, sauve-moi, je n’en peux plus.
— Alors, je ne comprends plus. Tout le monde maigrit et toi, tu grossis. — C’est mon
secret.
— Veux-tu me le montrer ?
— Volontiers. Mais il ne faudra pas toucher au cœur.
— Quel cœur ? — Le cœur de la vache de dieu.
— Que veux-tu dire ?
— C’est là mon secret.
La nuit venue, les voilà partis. Hyène qui avait impatiemment attendu ce moment, à
la seule idée qu’elle allait enfin pouvoir faire un bon repas, avait retrouvé des forces.
Arrivée, Ananzè lui chatouilla ce que vous devinez. Elle l’ouvrit grand comme ça et
par cette ouverture, ils entrèrent dans le ventre de la vache de dieu ; et le festin
commença. Ananzè ne cessait de lui dire : « Il ne faudrait pas toucher au cœur. »
— Que fais-tu là, Hyène ?
— Moi ? Je mange.
— Tu touches au cœur.
— Mais non ! À peine avait-elle dit cela que d’un coup de gueule « klac ! » et « hop !
», elle tranche le cœur et l’aval. Et voilà la vache de dieu qui s’affaisse, tombe, meurt.
La nouvelle est aussitôt répandue par le monde. L’occasion était donc bonne pour se
mettre en vedette. Aussi chacun venait-il se lamenter. Tous les êtres étaient venus,
excepté Kacou Ananzè et Hyène. Dieu les attendait, surtout Kacou Ananzè, l’ami et
le confident. Il fallut donner l’ordre de dépecer la vache.
La panse éclatant, pouf ! Kacou Ananzè parut, la menace à la bouche :
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— Quoi ? Vous ne voyez pas clair ? espèces de galopins ! Vous ne voyez pas clair ?
Vous n’avez pas vu que j’étais là, à chercher des simples pour guérir la vache de
dieu ?
— Pardon Papa Kacou… Pardon Papa Ananzè ! Nous n’avons pas fait exprès…
Nous ne t’avons pas vu ! — Ah ! Vous ne m’avez pas vu ! Quoi, suis-je quelqu’un
qu’on ne voit pas ? Eh bien, vous allez voir. Et Kacou Ananzè courut se plaindre à
dieumais il restait là-bas. Hyène qui essaya de se sauver, des enfants lui tombèrent
dessus en criant : « Voici l’assassin, voici l’assassin ! » Chacun prit ce qu’il put
trouver pour l’assommer.Ils lui donnèrent des coups sur la tête,surtout sur les reins.
Ils tombèrent si dru et si fort sur les reins qu’ils les lui brisèrent. Et c’est depuis ce
jour-là que Hyène a l’allure que nous lui connaissons.

CONCLUSION
‘’Le Pagne Noir ‘’ publié en 1955 est un recueil de 16 contes, faisant 159 pages en
tout. Les contes sont indépendants les uns les autres même si dans 11 contes sur
16, l’on retrouve le personnage phare de cette œuvre qui n’est autre que Kacou
Ananzè l’Araignée. Celui-ci est malin et intelligent, mais également cupide et égoïste.
Il est très craint des autres animaux car il peut changer à tout moment.

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