~i~

ÉPIGRAPHE

« Les employés satisfaits signifient clients satisfaits, ce qui conduit à

la rentabilité »
(Anne Mulcahy)
 ~ ii ~

Dédicace
À mes parents OTEPA EMUNGU Alexis et KUMAKANA LUNDULA
Henriette, j'ai la joie de vous offrir le présent travail, fruit de votre labeur et le
couronnement des inoubliable sacrifices consentis, pour que je deviens un
produit fini et bien cultivé.

Votre apport dans ma vie est inestimable, trouvez ici une profonde satisfaction à
travers ces lignes, car c'est le résultat de votre investissement.

OSANDJA OTEPA Jeef

 ~ iii ~

REMERCIEMENTS
La vie est une pièce de théâtre où chacun vient pour jouer son rôle et
disparaître. Il est cependant souhaitable que chacun le joue positivement en
laissant des traces utiles pour les générations futures.

Ce rôle ne peut ainsi être valablement joué qu'à l'issu d'un parcours édifiant
et permettant d'acquérir des connaissances nouvelles, ce qui justifie d'ailleurs
notre passage à l'Université Pédagogique Nationale « UPN » en sigle.

Au seuil de ce mémoire qui couronne la fin de notre deuxième cycle à

l'Université Pédagogique Nationale (option : Système d'Information et Base de
données), qu'il me soit permis d'exprimer ma reconnaissance à tous ceux qui ont
contribué d'une manière ou d'autre.

Le présent mémoire constitue, en lui-même l'émanation de tant d'efforts et

sacrifices consentis et se veut être l'un des tremplins pour un troisième cycle
prometteur au sein de cette même Alma mater.

À l'Éternel Dieu tout puissant source de toute œuvre splendide et voluptueuse

pour ton infini assistance sur tous les plans.

Nous nous faisons aussi l'obligation de remercier avec sincérité les Autorités
Académiques et Scientifiques de l'Université Pédagogique Nationale pour nous
avoir donné cette formation, qui nous permet de concilier les notions théoriques
aux réalités de la vie professionnelle.

Eu égard à l'aboutissement de ce mémoire, ne serait pas ce qu'il est sans

l'implication de mon Directeur le Professeur Emmanuel TSHIBAKA, avec ses
orientations, sa rigueur scientifique, sa disponibilité, en dépit de ses multiples
occupations ainsi que ces conseils qui nous ont permis d'arriver au bout, qu'il
trouve ici, l'expression de mes vibrants hommages.

Nos vifs remerciements s'adressent aussi à l’Ingénieur Sylvain-Mozart

NGANDU KANUMAYI, pour son encadrement, conseils, orientation, remarques
pour la réalisation de ce mémoire
 ~ iv ~

Nous tenons également à exprimer notre gratitude à l'égard de nos très chers
sœurs et frères de la famille OTEPA : Claris OMBA, Merlin LUNDULA.

À mes oncles et Tantes : David KEKOMBA, Papy LUNDULA, Augus

LUNDULA, Benjamin OKUDI ;
À mes cousins et cousines : Dieudonné NGELESA, Rosy IAM, Jonathan
KALENGA, Dodea TANAKAWO, Viviana WALO, Merveille KUMAKANA,
Verney LUNDULA, Lucie OWANGA, Glory OKUDI, Grace OKUDI ;

À ma future femme ; mes futurs enfants, qui seront mon espoir et ma

couronne ;

Ceci est le signe de reconnaissance de tout ce que vous avez eu à manifester

pour nous.

Nous ne pouvons clore notre séance de remerciements sans penser à nos

compagnons de lutte qui ont été à la hauteur d'une digne collaboration
scientifique, il s'agit de : Sylvain-Mozart NGANDU, Ephraim MAGANA, Glody
DIANZENZA, Ruth BOYONGO, Emmanuel OKAMBA, Espoir BUAMUTALA
et d'autre pour l'amour qu'ils ont éprouvé envers notre personne nous leur disons
grand merci.

À nos amis et connaissances : Lady DIANZENZA, Prince KAHAMBO,

Deborah LUFIA, Lionnel MITE, Dorcas LUNGE, Ruth OTSHUMBA ; Mony
MUDIMBI, Jovanie MONA, Peter WEMBI, Pistis PREMIER, Roland Guelord,
Jonathan BETU, Jacque TOURE, Nicole, Joy KUSIAMA, Esthy MUDIMBI,
Getou KALENGA, Valérie EPENGE, Christine NJE, Ruth KOHO, Jd NGOY ;

Par ailleurs, nous ne saurons citer nominalement toutes les personnes qui
nous ont assistés d'une manière ou d'une autre au cours de la rédaction de ce
travail. N'empêche que nous leur adressions de tout cœur notre remerciement.

OSANDJA OTEPA Jeef

 ~v~

LISTE DES FIGURES ET TABLEAUX

Figure 1: Architecteur site web dynamique ................................................... - 10 -
Figure 2: client-serveur 2-tiers ....................................................................... - 18 -
Figure 3: client-serveur .................................................................................. - 19 -
Figure 4: Client-serveur n-tiers ...................................................................... - 20 -
Figure 5 : relatifs aux transaction au moyen d’ un serveur sécurise .............. - 28 -
Figure 6 : organigramme de SHALINA ......................................................... - 38 -
Figure 7 diagramme de cas d'utilisation ......................................................... - 55 -
Figure 8 fournisseur........................................................................................ - 57 -
Figure 9 agent vérification de produit ............................................................ - 57 -
Figure 10 agent valide bon de commande...................................................... - 58 -
Figure 11 agent imprime rapport .................................................................... - 58 -
Figure 12 administrateur ................................................................................ - 59 -
Figure 13 Diagramme de classe ..................................................................... - 61 -
Figure 14: Acceuil .......................................................................................... - 65 -
Figure 15: Nouveau Produit ........................................................................... - 65 -
Figure 16 authentication ................................................................................. - 66 -
Figure 17 commander produits ...................................................................... - 66 -
Figure 18panier............................................................................................... - 67 -
Figure 19: Paiement Mobile ........................................................................... - 67 -
Figure 20 confirme payement ........................................................................ - 68 -
Figure 21renvoi de message ........................................................................... - 68 -
Figure 22 menu générale ................................................................................ - 69 -
Figure 23 administrateur ................................................................................ - 70 -
Figure 24 Base de données ............................................................................. - 70 -
 ~ vi ~

LISTE DES ABREVIATIONS

AJAX : JAVA Script asynchrone

CSS : Les feuilles de style cascade
FTP : File Transfert Protocole
HTML : Hypertext Markup ET UN Language
HTTP : Hypertext Transfer Protocol
HTTPS : Hypertext Transfer Protocol Security
LAN : Réseau Local
MAN : Réseau Métropolitain
MVC : Modèle vie Controller
NNTP : Network News Transfer Protocol
PHP : Hypertexte Préprocesseur est l’un de langes de script
RDC : République Démocratique du Congo
TIC : technologies de l’information de la communication
UML : Unified Modeling Language
UP : Processes Unified
URI : Uniform Resource Identifier
URL : Uniform Resource Locator
URN : Uniform Resource Name
WAN : Réseau étendu
 ~-1-~

0. INTRODUTION

1. CONTEXTE DU TRAVAIL

Grâce aux avancées technologiques réalisées dans le domaine de la science,

l’informatique s’impose à l’heure actuelle dans la plupart des domaines de la vie
tant professionnelle que privée ; car elle a résolu le problème des systèmes de
gestion manuelle des données qui, jadis était difficile pour les gestionnaires.

Les NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de Communication)

regroupent l'ensemble des outils mis en place pour manipuler, produire, faire
circuler et permettre une meilleure diffusion de l'information. Les secteurs des
TIC englobent l’ensemble des entreprises qui exercent leurs activités dans les
domaines de l'électronique, des télécommunications ou d'Internet…

Pour l'entreprise le but est de s'adapter à ces évolutions, de mettre en place

un management adapté, pour une meilleure communication autant interne
(circulation de l'information via intranet, vidéo conférence etc.) qu'externe en
diffusant l'information au public par le biais de nouveaux moyens de
communication.
Ce réseau, qui voit le jour vers les années soixante aux Etats-Unis
d'Amérique, permet aujourd'hui un rapprochement des communautés, pourtant
situées à des milliers de kilomètres les unes des autres. L’impact du réseau internet
se fait ressentir notamment avec le développement croissant des Technologies de
l'Information et de la Communication (T.I.C). Andrew VALUMS dans son article
du 10 février 2010, constate par exemple que le monde a connu un développement
accru des applications web et l'intégration de ces dernières dans presque toutes les
activités humaines dans les cinq dernières années. Des applications optimisant
l'enseignement en ligne, la vente et achat en ligne, des réseaux sociaux, de la
publicité en ligne, etc.
Les entreprises parviennent ainsi à conquérir, suivre, fidéliser et faciliter
l'échange non seulement avec leurs clients mais aussi les clients entre eux. Certes,
pour conquérir de nouveaux marchés, la publicité, le marketing, le suivi des
clients doivent être menés à une large échelle. Avec la croissance d'une
organisation, la tendance est de déléguer la plupart de ces activités à des sociétés
spécialisées.
 ~-2-~

Il s'agit de déléguer les activités de diffusion et de fidélisation à des

diffuseurs professionnels pour appuyer les opérations de marketing. La meilleure
solution proposée aujourd'hui par le web se nomme l’application web. Le concept
« application web », pourtant peu connu des nombreux utilisateurs du web, existe
depuis l'avènement du web. Il se définie comme étant « un site web qui offre une
porte d'entrée unique sur un large éventail de ressources et de services centrés sur
un domaine ou une communauté particulière ».

2. PROBLEMATIQUE

En ce qui concerne le travail scientifique, il est recommandé à tout chercheur

qu’avant d’entrer dans le vif du sujet, de définir le contexte de la
« Problématique » de son travail en vue d’éviter toutes les éventuelles difficultés
sémantiques mais aussi de cerner le contour du problème qui se pose dans sa
gestion.

Pour KIYUNSA G. et SHOMBA Kinyamba S., la problématique désigne

l’ensemble de questions posées dans un domaine de la science, en vue d’une
recherche de solutions1.

À la recherche d'une bonne stratégie de développement d’un site web

dynamique pour la vente des produits, la gestion et suivi de stock du dépôt
pharmaceutique, et pour mieux circonscrire le contour du problème qui se pose
dans notre gestion de file d’attente quelques questions ont suscité notre attention
:

• Comment faire pour faciliter la vente des produits, la gestion et le suivi de

stock dans un dépôt pharmaceutique ?
• Quelle technologie faut-il utiliser pour aboutir à une meilleure solution
numérique en temps réel ?
• Comment faire pour pallier au problème de file d’attente dans un dépôt
pharmaceutique ?

1 KIYUNSA Bidum G. et SHOMBA Kinyamba S., Initiation de recherche en Sciences Sociales, éd. PUZ, Kinshasa, 1995, p.41
 ~-3-~

• Quel sera l’apport du nouveau système dans le fonctionnement du dépôt

pharmaceutique SHALINA ?

Des réponses anticipatives valent la peine d'être suggérées face à la

persistance des questions ci-haut énumérées.

3. HYPOTHESE
Par l’hypothèse, il faut entendre une proposition résultant d’une observation
que l’on vérifie par déduction ou encore une réponse anticipée fondée sur une
expérience et sur une connaissance théorique de notre part.
Selon Pinto, « L’hypothèse est la proposition aux questions que l’on se pose
à propos de l’observation et de l’analyse afin qu’elles puissent fournir une
réponse »2
Elle se définit aussi comme étant un ensemble de réponses provisoires aux
questions posées dans la problématique pouvant être confirmée ou infirmée par la
suite.
Face à la problématique citée ci–haut, nous proposons de développer d’un
site web dynamique pour la vente des produits, la gestion et suivi de stock du
dépôt pharmaceutique « Cas de SHALINA ».

Pour répondre de manière efficace tous les problèmes soulevés dans notre
problématique, nous proposons des solutions suivantes :

 Mettre en place une application web pour résoudre problème que connait
SHALINA
 Effectuer de commerce virtuel.
 L’automatisation d’un système de paiement.

Une fois un client passe sa commande en ligne, l’entreprise va contacter le

client, et lui propose la livraison à domicile, ainsi c’est au client de décider si
l’entreprise peut effectuer la livraison comme ça le client paie la livraison ou le
client pourra lui-même passer pour le récupérer au dépôt pharmaceutique.

2 Pinto, et M. Grawitz, Méthodes en sciences sociales, éd. Dalloz, Paris, 1971, pp. 20, 288, 423
 ~-4-~

4. ETAT DE LA QUESTION
Il est défini comme étant un état des lieux décrivant les travaux effectués sur
un sujet donné pendant une période déterminée et pouvant de présenter sous forme
orale ou écrite3.

Son but est de ne pas tomber dans « le plagiat » ; il s’agit de s’informer si la

problématique élaborée par nous l’a déjà été faite par d’autres chercheurs, dans
d’autres circonstances et dans d’autres champs d’investigation. Ce qui amène à
circonscrire le sujet dans le temps et dans l’espace par rapport aux travaux
similaires antérieurs.

❖ Conception Et Réalisation D'une Application De Gestion Des Stocks Des

Produits Pharmaceutiques.
Projet de fin d'études pour l'obtention du diplôme de Licence Professionnel en Informatique
par Halima, Lina Ikram Lemoudda,
❖ Conception Et Réalisation D’une Application Web De Gestion Des Ventes
Des Produits Pharmaceutiques « CAS DE NEW SIDIPHAR »
Par Joëlle-Fidès GAKUBA & Olivier DUSABIMANA
❖ Réalisation d’une application web pour la gestion d’un système de
traçabilité d’une chaine d’approvisionnement pharmaceutique
Présenté par :
ALLAL Lilia Ghizlene

Dans cette optique, nous allons consacrer toute notre énergie à aborder la
question avec beaucoup de minutie dans le but d’aboutir à une solution qui
répondrait véritablement aux besoins du dépôt pharmaceutique SHALINA.

5. OBJECTIF

L’objectif du projet consiste à développer un site web dynamique de vente

produit et la gestion et suivi de stock du dépôt pharmaceutique. Ce site permettra
de réaliser les opérations suivantes :
➢ Gérer les relations avec les clients,
➢ Gérer les relations avec les fournisseurs,
➢ Gérer les commandes,

3 www.Larousse.fr/Dictionnaire, consulté Jeudi, 1er Mars 2023

 ~-5-~

➢ Mettre en place des promotions,

➢ Gérer les produits (ajouter, modifier ou supprimer des produits).

En effet, ce site donne aux internautes la possibilité de s’inscrire, effectuer

leurs commandes en ligne, et de recevoir une confirmation immédiate. En plus,
les internautes peuvent consulter en ligne le catalogue et toutes ses nouveautés,
même le vendeur n’a aucun moyen pour mettre à disposition ses annonces de
vente et services, à l’exception des supports traditionnels tels que les journaux ou
les petites affiches. Ainsi, un moyen fiable et automatisé permettant d’informer
un grand nombre de clients des offres de vente et des services nécessaires. Divers
autres traitements sont, d’ailleurs, sources de problèmes, adoptant les méthodes
traditionnelles de travail :

➢ Le règlement des factures se fait en espèce ou par chèque, sur place.

➢ L’enregistrement des clients se fait manuellement sur papier.
➢ Les produits sont classés par catégorie (médicaments en comprime,
médicaments en sirop, produit cosmétiques) et par sous-catégorie non liées
et non hiérarchisées, ce qui rend la recherche plus pénible.
➢ Les documents sont nombreux et mal organisés. Vu l'accroissement de la
technologie Internet, l'achat en ligne est devenu une nécessité
incontournable pour les commerçants.

6. CHOIX ET INTÉRÊT DU SUJET

6.1. CHOIX DU SUJET
Le choix de notre sujet est motivé
➢ Notre souci est d’améliorer les sources d’information de SHALINA pour
évaluer l’entreprise mettre en place un application Web susceptible de
résoudre problèmes évoqués dans notre problématique ;

➢ Ce sujet est relatif à notre domaine de recherche, sa rédaction nous a permis

de mettre en pratique toutes les connaissances acquises tout au long du
cycle.
 ~-6-~

6.2. Intérêt du sujet

L’intérêt de ce sujet se situe à deux niveaux, à savoir :

➢ Au niveau de la science : comme tout et travail scientifique, ce mémoire

servira de document de référence et de consultation à d’autres chercher dans
le domaine application Web.
➢ Au niveau de SHALINA : ce projet, une fois accepté par ses autorités, lui
permettra de faciliter à la gestion vers les clients est la digital marketing de
vente commerce électronique.

7. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES

a. Méthodes
Une méthode est un ensemble d'opérations intellectuelles par lesquelles une
discipline cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les démontre et les
vérifies4.
Nous avons, dans le cadre de ce travail, utilisé les méthodes suivantes :
❖ UP : veut dire Unified Process ou Processus Unifié. C’est un processus de
développement logiciel construit sur UML. Ses caractéristiques essentielles
suivantes peuvent être mises en avant.

Elle reste l'une des méthodes les plus employées en entreprise. C'est ainsi que
nous l’avons choisie pour la modélisation et la marche à suivre lors de la
conception. Cette méthode nous a permis de nous imprégner de la réalité du
système d'information existant afin de proposer une solution de modélisation
appropriée et relative à notre sujet.

❖ Méthode Structuro-fonctionnaliste : Elle nous a permis d’étudier la

structure et le fonctionnement du dépôt pharmaceutique SHALINA afin de
saisir la partie faiblissante ;

❖ Méthode Analytique : cette méthode consiste à analyser les procédures de

traitement de l’information dans un système d’information ; elle nous a permis
d’analyser et de découper notre système en plusieurs domaines en vue de
proposer un modèle de traitement de données adéquat.

4 Pinto et M. Grawitz, Op. Cit, p. 51

 ~-7-~

❖ La méthode PERT : signifie Program Evaluation Review and Technique.

Elle nous a permis de faire le planning prévisionnel en vue de déterminer le
coût et la durée totale de notre projet.

b. Techniques
Les techniques sont des outils mis à la disposition de la recherche et organisées
par la méthode dans ce but. Ce sont des moyens utilisés pour la collecte des
données sur le terrain5.

Quant en ce qui nous concerne, nous avons recouru à :

- La Technique Documentaire : qui a consisté à l'exploitation des documents

mis à notre disposition par la bibliothèque et certains ouvrages qui cadrent avec
notre sujet.
- La Technique d'interview libre : qui consiste à la descente sur terrain et à
interroger les agents de SHALINA. Elle nous a permis de récolter les
informations sur les problèmes et de relever les objectifs du système futur.

8. DELIMITATION DU SUJET
- Sur le plan spatial, ce travail se focalise le développement d’un site web
dynamique pour la vente des produits, gestion et suivi de stock du dépôt
pharmaceutique. « Cas de SHALINA »

- Par ailleurs sur le plan temporel, la période d’étude prise en compte dans notre
travail pour notre étude s’étend du 05 Mars 2023 au 22 Aout 2023, soit 5 mois.

5 M. BOKONGO, Notes du cours d’initiation à la recherche scientifique, inédites, UPN, G1GI, 2015-2016
 ~-8-~

9. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis l’introduction générale et la conclusion générale, ce mémoire est

subdivisé en quatre chapitres suivants :

➢ Le premier chapitre parle de concept théorique ;

➢ Le deuxième chapitre parle d’étude d’opportunités entreprise ;
➢ Le troisième chapitre conception nouveau système ;
➢ En fin, le quatrième chapitre implémentation d’un application web.
 ~-9-~

CHAPITRE I : CONCEPTS THEORIQUES

Ce chapitre porte sur les définitions des concepts clés de notre
étude et d’expliquer notre approche théorique. Ce chapitre est divisé en trois
sections, la première porte sur l’application web et deuxième partie architecture
client-serveur et le troisième sur e-commerce.

SECTION.1 Application web

1.1. Introduction
En informatique, une application web (aussi appelée web application, de l'anglais
et français) est une application manipulable directement en ligne grâce à
un navigateur web et qui ne nécessite donc pas d’installation sur les
machines clientes, contrairement aux applications mobiles. De la même manière
que les sites web, une application web est généralement installée sur un serveur et
se manipule en actionnant des widgets à l'aide d'un navigateur web, via un réseau
informatique (Internet, intranet, réseau local, etc.).
➢ Des messageries web, les systèmes de gestion de contenu, les wikis et
les blogs sont des applications web 6 ;
➢ Les moteurs de recherches, les logiciels de commerce, les jeux en ligne, les
logiciels de forum, les agrégateurs peuvent être sous forme d'application
web ;
➢ Des appareils réseau tels que les routeurs sont parfois équipés d'une
application web dans leur micro logiciel.

Les applications web font partie de l'évolution des usages et de la technologie

du Web appelée web.

1.2. Définition
En informatique, une application Web (aussi appelée site Web
dynamique ou Web App) est un logiciel applicatif manipulable grâce à un
navigateur Web. De la même manière que les sites Web, une application Web est
généralement placée sur un serveur et se manipule en actionnant des widgets à

6
https://fr.wikipedia.org/wiki/Application_web consulté le 13 mars 2023 à 14 h 25
 ~ - 10 - ~

l'aide d'un navigateur Web, via un réseau informatique (Internet, intranet, réseau
local, etc.).7

1.3. Fonctionnement d’une application web

Etape 1
L’utilisateur accède à une application Web via un navigateur Web ou
une application mobile, déclenchant une requête au serveur Web via
Internet.
Il peut y avoir des mesures de sécurité (par exemple, des pares-feux ou
des courtiers de sécurité d’accès au cloud) et des équilibreurs de charge
dans

Étape 2
Le serveur Web transmet la demande au serveur d’applications Web. Le
serveur d’applications Web exécute la tâche demandée, telle que l’interrogation
de la base de données ou le traitement des données, puis génère les résultats des
données demandées.
Étape 3
Le serveur d’applications Web renvoie les résultats au serveur Web.
Étape 4
Le serveur Web délivre les informations demandées au client (ordinateur de
bureau, appareil mobile, tablette, etc.) et les informations apparaissent sur l’écran
de l’utilisateur.
1.4. Architecture
Un site web dynamique est composé de 3 parties essentielles :

Figure 1: Architecteur site web dynamique

7
https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Application-Web.html consulté le 13 mars 2023 à 14 h 36
 ~ - 11 - ~

❖ Le client
Le client, c’est le navigateur de l’utilisateur de votre site. Vous verrez que
pour que votre site web fonctionne, il faut utiliser plusieurs langages du côté du
client : HTML, CSS et JavaScript, PHP.

❖ Le navigateur web
Les navigateurs web sont très nombreux et parmi les plus utilisés, on peut
nommer :
▪ Edge de Microsoft ;
▪ Chrome de Google ;
▪ Et Firefox de Mozilla.

❖ Le serveur web

➢ Le serveur web, c’est une machine disponible quelque part sur internet,
qui est spécialement conçue pour répondre aux demandes du navigateur
avec du contenu que celui-ci peut afficher.
➢ Les navigateurs et les serveurs web sont faits pour travailler ensemble.
➢ Pour le serveur web, vous n’avez besoin que d’un seul langage, vous
aurez à choisir entre JavaScript, C#, Java, PHP, Python, Scala, Ruby, et
bien d’autres possibilités…
➢ Les serveurs web sont moins nombreux que les navigateurs web, voici
les plus connus :
▪ Apache ;
▪ NGINX ;
▪ IIS ;
▪ ET MACOS Server.
❖ Le serveur de bases de données
➢ Le serveur de bases de données, c’est l’endroit où sont stockées toutes
les données modifiables de votre site web.

1.5. Caractéristique
Elles nécessitent un développement unique pour tout appareil. Vous n’avez
pas besoin de les télécharger, l’application est hébergée sur un serveur et
accessible à partir d’un navigateur. Cela signifie qu’il vous suffit d’être connecté
à internet pour y accéder.
 ~ - 12 - ~

Elles sont accessibles depuis n’importe quel navigateur. Si un navigateur est

installé sur votre appareil (Google Chrome, Safari, etc.), vous pouvez accéder à
l’application Web.
Vous pourrez même les retrouver sur vos moteurs de recherche favoris.
Vous ne les trouverez pas dans l’App Store car elles n’ont pas besoin d’être
téléchargées. Vous les trouverez dans les pages de résultats des moteurs de
recherche tels que Google ou Bing.8
1.6. Type d’une application web
Nous distinguons 5 types d'applications web et ce sont les suivants :
➢ Application web statique ;
➢ Application web dynamique;
➢ Application web de type e-shop ou e-commerce ;
➢ Application web portail;
➢ Application web avec gestionnaire de contenu.9

1.7. Avantages et désavantages

1.7.1. Avantages
Les applications web proposent de nombreux avantages sur différents
aspects :
❖ L’accessibilité
Une application web est plus rapidement accessible qu’une application
native. L’utilisateur n’a pas besoin de télécharger une application sur son appareil,
il peut l’utiliser instantanément. Lorsqu'il souhaite interagir avec l’application, il
lui suffit d’une connexion internet et de rentrer l’URL de celle-ci dans un
navigateur web, qu’il soit sur son ordinateur, sa tablette ou son smartphone.
❖ La compatibilité
L’application web est conçue de manière à être compatible sur tous les
systèmes d’exploitation et responsives sur tous les appareils. Étant donné que
celle-ci fonctionne grâce à un navigateur, elle ne dépend ni de l’appareil utiliser,
ni du système d’exploitation et elle est faite pour s’adapter à tous les formats
d’écrans.

8
https://groupeshift.ca/fr/blog/qu-est-ce-qu-une-application-web/ consulté le 14 mars 2023 à 19 h 25
9
https://fr.yeeply.com/blog/5-types-developpement-d-applications-web/ consulté le 14 mars 2023 à 19 h 30
 ~ - 13 - ~

1.7.2. Désavantage
Les applications web proposent de nombreux avantages très attrayants mais
elles présentent aussi certains inconvénients que vous devez connaître avant de
vous lancer dans le développement.

❖ Dépendance à internet
Une application web ne fonctionne que si vous avez accès à internet. Sans
connexion, vous ne pourrez pas vous rendre sur votre navigateur et interagir avec
la Web App. Aujourd’hui, rares sont les situations où aucune connexion internet
n’est disponible mais dans ce cas précis, l’application ne vous sera d’aucune
utilité.
❖ La compatibilité
Un des avantages de l’application web est sa compatibilité sous différents
formats. Mais pour cela, il faut développer une application parfaitement
responsive et compatible au niveau technique. C’est une tâche qui peut parfois
compliquer le développement et demander beaucoup de temps.

❖ Moins de visibilité
Une application web ne bénéficie pas de la visibilité des magasins
d’applications. Celle-ci à la même visibilité qu’un site web classique sur lequel il
faut travailler le référencement.

❖ Accès restreint à certaines fonctionnalités

Une application web a un accès restreint aux fonctionnalités de l’appareil
contrairement aux applications natives qui ont accès simplifié aux fonctionnalités
matérielles comme le GPS, la caméra, le micro, etc.10
1.8. Technologique d’une application web

Les technologies Web sont les éléments constitutifs par excellence qui
aideraient les ordinateurs à se connecter les uns aux autres via Internet sur une
variété de réseaux tels que le réseau métropolitain (MAN), le réseau étendu
(WAN) et le réseau local (LAN). C’est grâce à l’aide de ces technologies web que
la communication est rendue possible et c’est à travers elles que nous envoyons
des messages à quelqu’un, récupérons les messages que quelqu’un vous envoie et
ainsi de suite. Les technologies Web agissent ainsi comme une plate-forme grâce

10
https://agence-scroll.com/blog/avantages-et-inconvenients-dune-application-web consulté le 16 mars 2023 à 08 h 10
 ~ - 14 - ~

à laquelle une communication efficace est rendue possible. L’article traite de 10

des technologies Web utilisées actuellement par les développeurs Web. Passons
en revue ces.
❖ PHP
PHP, l’acronyme de PHP : HyperText Préprocesseur est l’un des langages
de script les plus utilisés, les scripts eux-mêmes sont exécutés sur le serveur. Il est
open source et gratuit à télécharger et à utiliser. Avec PHP, les développeurs Web
peuvent créer du contenu de page dynamique, envoyer et recevoir des cookies,
crypter des données, modifier les données de votre base de données, modifier
l’accès au contrôle de l’utilisateur et faire n’importe quoi avec les fichiers sur le
serveur. La beauté de PHP est qu’il ne se limite pas à la sortie HTML, vous pouvez
générer des images, des films Flash, des fichiers PDF et même du texte.
❖ Rubis sur rails
Ruby On Rails est un langage de programmation Web qui rend les
développeurs heureux. En tant que Framework modèle-vue-contrôleur (MVC), il
est un peu conventionnel, mais fournit des structures par défaut pour la base de
données, les services Web et les pages Web. Créé par Yukihiro « Matz »
Matsumoto, ce langage de programmation est l’un des dix premiers cars il s’agit
d’un langage de programmation à usage général bien connu pour ses utilisations
dans la programmation Web. Le langage, également connu sous le nom de Rails,
a un logiciel ajouté à sa « bibliothèque ». Il joue un rôle essentiel lors de la création
de sites Web et est facile à entretenir.
❖ ASP.NET
ASP.NET est un Framework d’applications Web côté serveur
open source privilégié par les développeurs Web pour la création de sites Web. Il
est intégré à une infrastructure logicielle complète, mais prend en charge trois
modèles de développement : pages Web, MVC (Modèle View Controller) et Web
Formes. Ces trois sont maintenant fusionnés en un seul Framework appelé MVC
6. Afin d’établir une communication bilatérale dans la relation navigateur-serveur,
les programmeurs utilisent des commandes et des stratégies HTTP, car ASP.NET
fonctionne dessus.
❖ JavaScript
Bien que JavaScript puisse partager plusieurs fonctionnalités et doive sa
structure à Java, il s’agit d’un langage de programmation indépendant. Il a été
initialement développé par Netscape afin que les développeurs Web puissent créer
des sites Web interactifs. Les fonctionnalités de ce langage de programmation
 ~ - 15 - ~

informatique orienté objet sont assez puissantes, complexes et appartiennent à la

même catégorie que C et C++. Une autre caractéristique de JavaScript est qu’il
s’exécute dans le client – le navigateur, vous pouvez donc désactiver le script dans
votre navigateur lorsque vous ne voulez pas qu’il fonctionne. Avec JavaScript,
vous pouvez rendre vos pages Web vraiment réactives.

❖ AJAX
AJAX signifie JavaScript asynchrone, et XML est puissant et certainement
un moyen rapide de développer des applications Web interactives. Cependant,
AJAX utilise CSS pour la présentation, JavaScript pour l’affichage de contenu
dynamique et CSS pour la présentation. Cette technologie de navigateur Web
fonctionne indépendamment du logiciel de serveur Web. Lorsque vous utilisez
AJAX et remplissez un formulaire et cliquez sur Soumettre, c’est JavaScript qui
fait généralement la demande au serveur, interprète les résultats et les affiche à
l’écran.

❖ JQuery
JQuery est petit et riche en fonctionnalités, mais il rend le HTML trivial en
comparaison. Il est facile à manipuler et parfait pour l’animation et la gestion
d’événements. L’API facilite l’accès aux différents navigateurs. Un développeur
qui a des connaissances de base en HTML, CSS et JavaScript peut travailler avec
jQuery. La caractéristique la plus populaire de jQuery est qu’il est assez
extensible.

❖ Tisse-rêve
Dreamweaver est l’outil de développement visuel pour créer et gérer des
sites Web, et même du contenu Web. Il s’agit d’un outil de développement Web
propriétaire développé par Adobe Système. Ce que les développeurs Web aiment
à propos de cet outil, c’est qu’il s’agit principalement d’une interface de type ce
que vous voyez est ce que vous obtenez. La beauté de Dreamweaver est qu’il est
si polyvalent que vous pouvez créer des sites à la fois complexes et simples.

❖ HTML
Hyper Texte Mark up Langage ou HTML est un langage de balisage avec un
ensemble de balises de balisage. Chaque balise est utilisée pour décrire un contenu
de document différent. Il dispose d’un ensemble de codes qui seraient insérés dans
un fichier destiné à être affiché sur la page du navigateur. En fait, ces balises
 ~ - 16 - ~

HTML sont des mots-clés cachés et il est de leur devoir de définir comment le
contenu doit être formaté et affiché dans une page Web. Pour que la balise soit
valide, le navigateur doit contenir des balises compréhensibles et reconnaissables.

❖ CSS
Les feuilles de style en cascade ou CSS sont un langage de style qui couvre
à peu près tout – les polices, les couleurs, les marges, les lignes, la hauteur, la
largeur, les images d’arrière-plan, les positions avancées et plus encore. Le
principal avantage de CSS est qu’il contrôle la mise en page de nombreux
documents dans une seule feuille de style. Cela vous permet d’avoir une mise en
page précise. Avec CSS, vous avez accès à plusieurs techniques avancées et
sophistiquées.

❖ Laravel
Framework PHP open source fonctionne sur l'architecture MVC et dispose
d’un éventail de fonctionnalités suffisamment large pour un développement web
rapide (pratique s’il s’agit de créer un site de toute pièce), structuré et en accord
avec vos besoins.

SECTIONS 2 ARCHITETURE CLIENT SERVEURS

2.1. Introduction
L'architecture client-serveur désigne un mode de communication entre
plusieurs ordinateurs d'un réseau qui distingue un ou plusieurs clients du serveur
:
Chaque logiciel client peut envoyer des requêtes à un serveur. Un serveur
peut être spécialisé en serveur d'applications, de fichiers, de terminaux, ou encore
de messagerie électronique.

2.2. Définition
L'architecture client-serveur désigne un mode de communication entre
plusieurs ordinateurs d'un réseau qui distingue un ou plusieurs postes clients du
serveur : chaque logiciel client peut envoyer des requêtes à un serveur. Un serveur
peut être spécialisé en serveur d'applications, de fichiers, de terminaux, ou encore
de messagerie électronique.11

11
https://www.techno-science.net/definition/3743.html consulté le 17 mars 2023 à 15 h 10
 ~ - 17 - ~

2.3. Fonctionnement

Le protocole ou environnement client–serveur désigne un mode de

transaction (souvent à travers un réseau) entre plusieurs programmes ou processus
: l'un, qualifié de client, envoie des requêtes ; l'autre, qualifié de serveur, attend
les requêtes des clients et y répond. Le serveur offre ici un service au client.

2.4. CARACTERISTIQUES
Les caractéristiques d’un client sont les suivantes : il est d’abord actif (ou
maître), il envoie des requêtes au serveur, il attend et reçoit les réponses du
serveur. Un serveur :
Un serveur est initialement passif, il attend, il est à l’écoute, prêt à répondre
aux requêtes envoyées par des clients. Dès qu’une requête lui parvient, il la traite
et envoie une réponse. Le dialogue :
Le client et le serveur doivent bien sûr utiliser le même protocole de
communication. Un serveur est généralement capable de servir plusieurs clients
simultanément. Remarques : Une fois le client traité, le serveur peut en traiter un
autre. Il existe des serveurs multi clients comme les serveurs Web/http qui sont
capables de traiter plusieurs clients en même temps. Il existe aussi des serveurs «
non connectés », dans ce cas il n’y a pas de connexion ou de déconnexion.

2.5. AVANTAGES ET INCONVENIENTS

2.5.1. Avantages
Toutes les données sont centralisées sur un seul serveur, on a donc « un
contrôle de sécurité simplifié ». Les technologies supportant l’architecture
client/serveur sont plus matures que les autres (et plus anciennes).
L’administration se porte au niveau serveur. Toute la complexité/puissance peut
être déportée sur le(s) serveur(s), les utilisateurs utilisant simplement un client
léger. Les serveurs étant centralisés, cette architecture est particulièrement
adaptée et véloce pour retrouver et comparer de vastes quantités d’information
(moteur de recherche sur le web).
2.5.2. Inconvénients
Si trop de client veulent communiquer sur le serveur en même temps, ce
dernier risque de ne pas supporter la charge (alors que les réseaux pairs à pair
fonctionnent mieux en ajoutant de nouveaux participants). Si le serveur n’est plus
disponible, plus aucun des clients ne fonctionne (le réseau pair à pair continue à
 ~ - 18 - ~

fonctionner, même si plusieurs participants quittent le réseau). Les coûts de mise

en place et de maintenance sont élevés. En aucun cas les clients ne peuvent
communiquer entre eux, entraînant une asymétrie de l’information au profit des
serveurs.

2.6. TYPE D’ARCHITECTURE CLIENT SERVEUR

2.6.1 Architecture à 1-Tiers
Dans une approche d’application de type 1-tiers, les trois couches sont
fortement et intimement liées, et s’exécutent sur la même machine. Dans ce cas,
on ne peut pas parler d’architecture client-serveur mais d’informatique
centralisée. Dans un contexte simple utilisateur, la question ne se pose pas, mais
dans un contexte multiutilisateur, on peut voir apparaître deux types
d’architectures mettant en œuvre des applications 1-tiers : des applications sur site
central ; des applications réparties sur des machines indépendantes communiquant
par partage fichiers.

2.6.2 Architecture à 2-Tiers

L’architecture à deux niveaux (aussi appelée architecture 2-tiers, tiers
signifiant tierce partie) caractérise les systèmes clients/serveurs dans lesquels le
client demande une ressource et le serveur la lui fournit directement.12
Cela signifie que le serveur ne fait pas appel à une autre application afin de
fournir le service.

Figure 2: client-serveur 2-tiers

12
https://wikimemoires.net/2019/12/le-systeme-client-serveur-et-types-darchitectures-reseaux/ consulté le 17 mars
2023 à 20 h 10
 ~ - 19 - ~

2.6.3 Architecture à 3-Tiers

Dans l’architecture à trois niveaux (appelée architecture 3-tiers), il existe un

niveau intermédiaire, c’est-à-dire que l’on a généralement une architecture
partagée entre :
❖ Un client, c’est-à-dire l’ordinateur demandeur de ressources, équipée d’une
interface utilisateur (généralement un navigateur web) chargée de la
présentation ;
❖ Le serveur d’application (appelé également middleware), chargé de fournir
la ressource mais faisant appel à un autre serveur
❖ Le serveur de données, fournissant au serveur d’application les données
dont il a besoin.

Figure 3: client-serveur

Source : https://librecours.net/module/culture/langages-du-
web/pres/co/architecture.html

2.6.4. ARCHITECTURE N-TIER

Le concept d'architecture n-tiers est apparu quand les progrès technologiques
ont permis de séparer logiquement et physiquement les programmes et les bases
de données.
L’architecture N-tiers (anglais tiers : étage, niveau), ou encore appelée multi-
tiers, est une architecture client-serveur dans laquelle une application est exécutée
par plusieurs composants logiciels distincts.
Le client gère la présentation et la logique applicative.
Le serveur stocke les données et peut également gérer une partie de la
logique applicative.
 ~ - 20 - ~

Figure 4: Client-serveur n-tiers

2.7. PROTOCOL
2.7.1. HTTP (HyperText Transfer Protocol)
La consultation des pages sur un site web a un fonctionnement basé sur une
architecture client/serveur. Un internaute connecté au réseau via son ordinateur et
un navigateur web est le client, le serveur est constitué par le ou les ordinateurs
contenant les applications qui délivrent les pages demandées. Dans ce cas, c’est
le protocole de communication HTTP (HyperText Transfer Protocol) qui est
utilisé. Les navigateurs sont les clients (Firefox, Internet Explorer, …). Ces clients
se connectent à des serveurs http tels qu’Apache http Server ou IIS (Internet
Information Services).
Remarque : HTTPS (avec S pour Secure ou Sécurisé) est la variante de http
sécurisée par l’usage des protocoles SSL (Secure Sockets Layer) ou nouvellement
nommé TLS (Transport Layer Security) qui est un protocole de sécurisation des
échanges sur internet.
2.7.2. HTTPS
HTTPS (HyperText Transfer Protocol Secure ou protocole de transfert
hypertexte sécurisé) est un protocole de communication Internet qui protège
l'intégrité et la confidentialité des données de vos visiteurs lors du transfert
d'informations entre l'ordinateur de l'internaute et le site.
Lorsqu'un internaute saisit des informations dans un formulaire en ligne
afin de recevoir des notifications ou d'acheter un produit, le protocole HTTPS
protège les informations personnelles de cet internaute lors du transfert
d'informations entre l'internaute et le site. Les données envoyées à l'aide du
 ~ - 21 - ~

protocole HTTPS sont sécurisées via le protocole Transport Layer Security (TLS),
qui offre trois niveaux clés de protection :
1. Le chiffrement : consiste à coder les données échangées pour les protéger
des interceptions illicites. Cela signifie que lorsqu'un internaute navigue sur
un site Web, personne ne peut "écouter" ses conversations, suivre ses
activités sur diverses pages ni voler ses informations.
2. L'intégrité des données : les informations ne peuvent être ni modifiées, ni
corrompues durant leur transfert, que ce soit délibérément ou autrement,
sans être détectées.
3. L'authentification : prouve que les internautes communiquent avec le bon
site Web. L'authentification protège contre les attaques des intercepteurs et
instaure un climat de confiance pour l'internaute qui se traduit par d'autres
retombées pour votre activité.
2.7.3. URL
Une chaîne de caractères alphanumériques représentant l’emplacement ou
l’adresse d’une ressource sur Internet et la manière d’accéder à cette ressource.
Les URL (Uniform Resource Locator) définissent de façon unique
l’emplacement de documents (ou, d’une façon générale, des ressources) sur
Internet. Nous rencontrons aussi d’autres termes apparentés, les URI et les URN.
Les URI (Uniform Resource Identifier) sont les ensembles génériques de tous les
noms et adresses qui font référence aux ressources de l’Internet. Les URN
(Uniform Resource Name) désignent aussi des ressources sur Internet, mais le
font par un nom persistant, indépendant de l’emplacement. Les URN sont très
généraux; ils reposent sur des services de recherche et dépendent donc de services
complémentaires qui ne sont pas universellement disponibles (SOLLINS ET
MASINTER, 1994). Par contre, les URL identifient une ressource sur Internet à
l’aide d’un schéma fondé sur l’emplacement de la ressource. Les URL constituent
le schéma d’identification le plus usuel, sur lequel s’édifient le HTTP et le Web.
2.8. Les méthodes
Dans le protocole http, une méthode est une commande spécifiant un type de
requête, c’est-à-dire qu’elle demande au serveur d’effectuer une action. En
général, l’action concerne une ressource identifiée par l’URL qui suit le nom de
la méthode. Les méthodes les plus utilisées sont GET et POST. GET : c’est la
méthode la plus courante pour demander une ressource. Une requête GET est sans
effet sur la ressource. POST : cette méthode doit être utilisée pour ajouter une
nouvelle ressource, comme un message sur un forum, un article dans un site ou
encore un login et un mot de passe. Les autres méthodes sont : HEAD, OPTIONS,
 ~ - 22 - ~

CONNECT, TRACE, PUT, DELETE. Certains serveurs autorisent des méthodes

supplémentaires permettant la gestion des ressources du serveur (par exemple
Web DAV ou CALDAV).

SECTIONS 3 E-COMMERCE
3.1. Introduction
Un débat considérable fait actuellement rage à propos des opportunités que
l’Internet offre au commerce électronique (e-Commerce) et aux entreprises
électroniques (e-Business). Comme c’est souvent le cas pour des développements
émergeants de cette nature, des discussions ont lieu concernant les véritables
définitions de ces deux termes. Une des plus grandes entreprises actuelles, Cisco
System, a dégagé cinq étapes progressives qui décrivent l’évolution d’une
entreprise sur l’Internet et incluent des définitions de ces termes.

Étape 1 : courrier électronique En plus de communiquer et d’échanger des

fichiers sur un réseau interne, la compagnie parvenue à ce stade commence à
communiquer avec ses clients et ses fournisseurs en utilisant l’Internet comme
moyen de communication externe. Ceci apporte une efficacité explosive à
l’entreprise et simplifie la communication dans sa globalité.

Étape 2 : site Web L’entreprise arrivée à ce stade développe un site Web, qui
constitue une vitrine d’exposition pour ses produits commerciaux. Le site Web
permet aussi aux clients de communiquer à tout moment avec la société et de
n’importe où, ce qui assure, même à la plus petite entreprise, une présence globale.

Étape 3 : commerce électronique (e-Commerce)

Commerce électronique (e-Commerce) Les clients déposent et règlent des
commandes par le biais du site Web de l’entreprise.
La compagnie arrivée à ce stade tire non seulement parti de son site Web
comme d’une brochure dynamique, mais permet aussi aux clients d’acquérir des
biens et des services par le biais du site Web. Les entreprises les plus « pointues
» proposent également des services en ligne, par exemple du service après-vente.
Cette étape implique la mise en place d’une certaine forme de sécurisation des
transactions à l’aide d’une des technologies.
Dans ce cas, la compagnie est assurée d’une présence commerciale à toute
heure du jour et tous les jours de l’année, ce qui augmente la probabilité
 ~ - 23 - ~

d’opportunités de vente, tout en réduisant les coûts des ventes et des services et
en augmentant la satisfaction de la clientèle.

Étape 4 : entreprise électronique (e-Business)

Entreprise électronique (e-Business) L’intégration est complète entre les
technologies de l’Internet et l’infrastructure économique de l’entreprise.
Arrivée à ce stade, la compagnie a assimilé la technologie d’Internet dans de
nombreuses parties de son infrastructure d’affaires. Elle gère des processus
internes et externes par le biais d’intranets et d’extranets ; les ventes, les services
et la promotion sont tous échafaudés autour du Web. Parmi les avantages
potentiels, la compagnie atteint une grande vitesse de communication, gère plus
efficacement, plus naturellement ses processus et augmente sa productivité.

Étape 5 : écosystème
À ce stade, tout le processus de gestion de l’entreprise est
automatisé grâce à l’Internet. Les clients, les fournisseurs, les partenaires
stratégiques et l’infrastructure d’entreprise s’intègrent dans un système homogène
qui semble couler de source.
D’aucuns clament que cette étape garantit les plus faibles coûts, la plus
grande productivité et un avantage significatif de compétitivité. Le groupe de
recherche Forester a prédit que le volume des transactions d’entreprise à
entreprise (ou B2B, business-to-business) atteindra en 2006 les 2,1 trillions de
dollars américains en Europe et 7 trillions de dollars aux États-Unis. Il s’attend en
outre à ce que le commerce électronique compte pour 12,8 trillions de dollars dans
le produit net mondial des entreprises en 2006 et qu’il pourrait représenter 18 %
des ventes au sein de l’économie globale.

3.2. Historique sue le E-Commerce

Le commerce électronique s’entend du processus d’achat ou de vente de
produits ou de services sur Internet. Le magasinage en ligne gagne de plus en plus
en popularité en raison de la rapidité et de la facilité d’utilisation qu’il offre aux
clients. Les activités de commerce électronique, telles que la vente en ligne,
peuvent viser les consommateurs ou d’autres entreprises. Le commerce
électronique de détail (ou commerce électronique B2C – sigle de Business to
Consumer) désigne la vente en ligne de biens et de services, de même que la
présentation directe de renseignements aux consommateurs. Le commerce
électronique interentreprises (ou commerce électronique B2B – sigle de business
 ~ - 24 - ~

to business) se rapporte à la vente en ligne de produits, de services ou de

renseignements d’une entreprise à une autre.

3.3. Définition
Le commerce électronique ou e-Commerce est généralement définit comme
l’ensemble des méthodes d’achat, de vente, ou d’échange de biens ou de services
entre deux entités sur réseau informatique notamment Internet »13
3.4. Fonctionnement
Le e-commerce est un processus de vente en ligne. Dans ce
contexte, de nombreuses personnes physiques et morales ont recours aux
différents schémas de vente en ligne pour satisfaire leurs divers besoins. En la
matière, le fonctionnement du commerce électronique repose sur un processus
standard.

3.5. Caractéristiques
Caractéristique E-commerce. Au moment où le commerce en ligne est un
secteur en plein essor, chaque entreprise cherche à augmenter sa présence sur le
web. En effet, avec plus de 58 milliards de chiffre d'affaires sur le net, il est
évident que la France fait partie des pionniers européens en matière de vente en
ligne. Cependant, il ne suffit pas d’avoir une présence sur le web pour pouvoir
vendre un produit ou service aux internautes. Il faut que le site internet e-
commerce soit optimisé pour inciter les clients à l’achat et surtout les fidéliser.
Pour cela, cet article vous détaille les 5 caractéristiques essentielles que devrait
avoir un site e-commerce.14

3.6. Avantages et Inconvénients

3.6.1. Avantages
 Réduire les coûts et maximiser les marges commerciales
 Facilité l’échange d’information
 Accroître la productivité et les vente
 Développer les nouveaux marché et nouveaux horizons
 Promouvoir les nouveaux services et produit à l’export

13
Note cour par professeur KABEYA L2 2021-2022
14
https://www.webcorporate.fr/5-caracteristiques-essentielles-a-un-e-commerce/54 consulté le 17 avril 2023 à 15h10
 ~ - 25 - ~

Les nouvelles technologies de l'information et de la communication font partie

intégrante du monde des affaires. Actuellement, la majorité des commerçants
distribuent leurs produits au moyen du commerce électronique. Parmi ces a
avantages, nous citons :

➢ Les clients sont en mesure de consacrer moins de temps à leurs achats. Ils
peuvent donc facilement parcourir de nombreux éléments en une seule fois
et acheter ce qu'ils aiment. Une fois en ligne, les consommateurs peuvent
choisir des articles proposés dans des magasins situés loin d'eux ou qui ne
sont pas dans leur collectivité.
➢ La création d’une boutique en ligne avec des listes de produits est un
avantage considérable du commerce électronique. En effet, le client peut
parcourir la liste des produits facilement et découvrir la description ainsi
que les prix de chaque article.

3.6.2. Inconvénients
➢ Contraint par l’absence physique d’un interlocuteur ou d’un
représentant réel.
➢ Les paiements ne sont parfois pas sécurisés : propagation
d’informations confidentielles.
➢ Des problèmes de livraison et de l’absence de service après-vente.

3.7. Type e-commerce

Outre le commerce électronique, il existe plusieurs types de commerce en général,

à savoir le commerce intégré, le commerce indépendant organisé (franchise,
commerce associé) et le commerce indépendant isolé.

3.7.1. Le commerce indépendant organisé

Ce type de commerce permet aux dirigeants d’avoir une forme de travail libre et
d’une structure indépendante. En effet, les professionnels peuvent gérer leur
propre activité avec leur propre entreprise. D’ailleurs, il existe deux grandes
formes de commerce indépendant organisé :
➢ La franchise : cette forme consiste à associer une entreprise propriétaire
d’une marque (le franchiseur) à un ou plusieurs commerçants indépendants.
 ~ - 26 - ~

Autrement dit, la franchise permet de reprendre l’activité d’une entreprise

déjà existante.
➢ Le commerce associé : cette forme de commerce consiste à rassembler des
entrepreneurs d’un même secteur en vue de coopérer ensemble.

3.7.2. Le commerce intégré

Également appelé succursaliste, le commerce intégré est constitué de plusieurs

points de vente, tous détenus par un groupe financier ou par une personne. Il s'agit
souvent d'un réseau contrôlé par des investisseurs ou un groupe familial.

3.7.3. Le commerce indépendant isolé

Ce type de commerce réfère à une personne (détaillant ou grossiste) qui détient
un point de vente indépendant. En effet, ce point de vente n’est rattaché à aucun
réseau et les magasins ne portent pas des enseignes.

3.8. Vendre sur l’application web– mise sur pied d’un magasin virtuel

La présente explique en quoi consiste la vente en ligne sur votre application web.
Trois éléments sont indispensables au traitement d’une opération de vente en ligne
1. Le panier d’achat
2. Un serveur sécurisé
3. Le traitement des paiements
Ces trois éléments essentiels sont exposés plus amplement ci-dessous.

3.8.1. Paniers d’achat

Les logiciels « panier d’achat » retiennent les articles que l’utilisateur

choisit d’acheter sur le site Web avant de passer à la « caisse ». Le panier d’achat
virtuel comporte trois parties :

➢ Le catalogue de produits
➢ La liste des achats
➢ Le système de caisse de sortie Le catalogue de produits contient tous les
renseignements nécessaires pour présenter au client chaque produit offert
et compléter une opération de vente en ligne.
 ~ - 27 - ~

Les renseignements inclus dans la base de données de produits comprennent, en

règle générale, le prix, le numéro du produit (UGS), une image ou autre
représentation multimédia, les options ou choix concernant le produit. La liste des
achats (c.-à-d. la liste des produits sélectionnés) permet aux utilisateurs de retracer
les articles qu’ils souhaitent acheter. On utilise habituellement une image de
panier d’achat pour indiquer les articles sélectionnés par le visiteur. Pour que le
panier d’achat fonctionne correctement, l’ordinateur de l’utilisateur doit être réglé
pour accepter les témoins (cookies).

Le système de caisse de sortie permet aux clients de sélectionner des produits en

cliquant sur un bouton « ajouter des articles dans le panier », puis de payer les
produits sélectionnés.15

1. Serveur sécurisé

Le serveur sécurisé contribue à assurer une protection contre la perte ou la

modification des renseignements personnels. Le protocole SSL est la technologie
la plus couramment utilisée aux fins des transactions sécurisées en ligne. Le
protocole SSL procède au cryptage (codage) de toutes les données échangées
entre le serveur de la boutique et l’ordinateur du client. Ces renseignements, par
exemple les numéros de carte de crédit, deviennent ainsi très difficiles à décoder
pour des tiers. Le schéma qui suit illustre la façon dont un serveur sécurisé est en
mesure de protéger les renseignements qui circulent entre le consommateur et le
client.
La protection des renseignements relatifs aux transactions au moyen d’un serveur
sécurisé

15
Note de cours professeur KABEA L1 et L2
 ~ - 28 - ~

Figure 5 : relatifs aux transaction au moyen d’un serveur sécurise

Les paniers d’achat n’ont un rôle à jouer que dans une partie de la transaction.
Ils transmettent des renseignements (c.-à-d. les articles commandés par
l’utilisateur) à une passerelle de paiement. Une passerelle de paiement est un
service distinct qui relie le panier d’achat aux réseaux financiers intervenant dans
la transaction.

Lorsque vous choisissez un forfait de panier d’achat, assurez-vous de la

compatibilité entre celui-ci et le service de passerelle de paiement. Renseignez-
vous auprès du fournisseur du service de passerelle afin de connaître les forfaits
de panier d’achat que celui-ci prend en charge. Les passerelles de paiement
associent les transactions à des certificats d’identification commerciale et les
marchands n’ont ainsi par besoin de connaître le numéro de carte de crédit de leurs
clients. Les témoins sont de petits fragments logiciels qui les sites Web stockent
dans l’ordinateur des utilisateurs. Ils ont de très multiples usages, dont un
important consiste à savoir comment les visiteurs arrivent dans le site et comment
ils utilisent celui-ci. Si votre site Web fait usage de témoins, vous devriez
expliquer aux visiteurs l’usage que vous faites de ces renseignements et les raisons
pour lesquelles vous les utilisez. Les serveurs constituent l’épine dorsale
d’Internet-il s’agit d’ordinateurs reliés par des lignes de communication qui
distribuent les renseignements sous forme textuelle, graphique et multimédia à
des ordinateurs en ligne qui demandent des données.
 ~ - 29 - ~

2. Options relatives au traitement des paiements

En matière de traitement des paiements, cinq options s’offrent à vous :

A. Le traitement des paiements par un tiers

B. Le compte commercial Internet
C. Le traitement des paiements manuel (hors ligne)
D. Les passerelles de PPEF et de paiement sur demande
E. Le commerce électronique mobile avec identification par
radiofréquence et communication Les facteurs à prendre en considération
au moment de choisir une option de traitement des paiements.

➢ Les coûts associés à l’option de paiement (frais de transaction, frais

d’ouverture de compte, frais mensuels).

➢ Prenez le temps de comprendre les caractéristiques qu’offre chaque option

ainsi que le modèle de tarification.
➢ Tenez compte du fait qu’il existe différents frais et différentes
caractéristiques associés aux comptes commerciaux. – Tenez également
compte des frais de rétro facturation.
➢ Prenez aussi en compte les frais associés aux transactions frauduleuses.
➢ La confidentialité des données relatives à la transaction – Si vous
examinez la possibilité de louer un logiciel par l’intermédiaire d’un
fournisseur de services, prenez connaissance de la politique de celui-ci en
ce qui concerne la divulgation et le partage des renseignements.
➢ La protection contre la fraude
➢ Examinez les outils de protection contre la fraude.
➢ Les comptes commerciaux sont habituellement dotés de filtres antifraude
qui repèrent et retracent les transactions suspectes. Ces transactions
peuvent être mises en attente pendant que la banque informe l’entreprise
de l’activité suspecte.
➢ La crédibilité générale du fournisseur de services
➢ La crédibilité des comptes commerciaux Internet est plus grande.

A. Le traitement des paiements par un tiers

Ces services constituent une solution de rechange à l’obtention d’un compte
commercial Internet. Cette solution présente l’avantage de vous permettre de
 ~ - 30 - ~

commencer à vendre en ligne plus rapidement et plus facilement. Elle s’assortit

de frais d’inscription, de frais de transaction et de frais mensuels.
La période de retenue avant le versement au marchand du solde des ventes
peut également être plus longue.
Selon Wikipédia Les fournisseurs de services de paiement à des tiers
perçoivent des frais de transaction, y compris un pourcentage de la vente et
un montant fixe par transaction. Les frais établis selon le nombre de
transactions peuvent convenir aux microentreprises ou lorsque le nombre de
transactions est limité.
B. Comment fonctionne ce type de traitement
L’argent issu de la transaction est déposé dans un compte spécial
géré par le fournisseur de services. Pour obtenir son argent, le commerçant doit
habituellement entreprendre le transfert. En cas de différend au sujet de la
transaction, le fournisseur de services peut retenir les fonds pendant de plus
longues périodes.
C. Le compte commercial Internet
Un compte commercial Internet est accordé par une institution
financière et permet à l’entreprise qui en est titulaire d’accepter les paiements en
ligne effectués par carte de crédit. Les entreprises doivent obtenir un compte
commercial Internet distinct pour chaque type de carte de crédit qu’elles
souhaitent accepter (p. ex. Visa, Mastercard, American Express, M-pesa, orange
money).
Portefeuille en ligne : PayPal
➢ Ouverture d’un compte
➢ Le crédit est débité sur le compte PayPal
➢ Si la somme sur le compte est insuffisante, le crédit est débité sur le compte
bancaire
➢ Risque de phishing : envois de mail frauduleux

D. Comment obtenir un compte commercial Internet

Vous devez établir un compte commercial auprès d’une banque.
La banque procédera à une évaluation du risque de crédit. Il peut être utile de
préparer un plan d’affaires. Vous pourriez être tenu de verser à la banque un dépôt
de garantie substantiel. Avec ce type de compte, le processus de transfert de
l’argent dans le compte approprié est automatique et rapide.
Les barèmes tarifaires des comptes commerciaux comprennent des frais uniques,
des frais mensuels et des frais de transaction.
 ~ - 31 - ~

Le fournisseur du compte commercial doit indiquer clairement le barème

tarifaire. Examinez attentivement tous les autres frais et, lorsque vous établissez
des comparaisons entre diverses possibilités, assurez-vous de tenir compte de tous
les frais initiaux. Certaines sociétés sont autorisées par les banques à délivrer des
certificats d’identification commerciale. Internet Secure
(www.internetsecure.com) et Psi Gâte (www.psigate.com) sont deux exemples de
fournisseurs de comptes commerciaux canadiens qui sont autorisés pas les
banques canadiennes à délivrer des certificats d’identification commerciale
Internet et à traiter les ventes pour le compte des marchands avec leur propre
certificat d’identification Internet (comme mentionné dans www.about.com –
rubrique Small Business Information).

E. Le traitement manuel (hors ligne)

Des paiements Vous pouvez mettre sur pied un site Web de commerce
électronique dans lequel les utilisateurs peuvent passer des commandes en ligne,
mais vous traitez les cartes de crédit manuellement plutôt que de recourir aux
options de traitement des paiements en ligne. Avec cette option, les
renseignements relatifs aux cartes de crédit peuvent être obtenus par
l’intermédiaire d’un serveur sécurisé et la transaction peut être traitée
manuellement. Cette option est envisageable lorsque le nombre de commandes en
ligne est limité.

F. La PPEF et les passerelles de paiement sur demande

La présentation et le paiement électroniques de factures (PPEF) est un

processus permettant la livraison et le paiement des factures par Internet. La PPEF
est pratique pour les clients et leur permet de gagner du temps, tandis que pour le
propriétaire de l’entreprise, il se traduit par des capacités de paiement accélérées.
Les petites entreprises peuvent utiliser la PPEF de trois façons :
Le service de consolidation est la possibilité offerte par de grandes
organisations, telles que les banques ou le bureau de poste, de payer divers types
de factures par le biais de leur site Web. Pour la petite entreprise moyenne, il s’agit
davantage d’une commodité en tant qu’utilisateur du service que d’une façon
d’implanter un service de PPEF pour les clients.
Biller Direct est un service permettant aux petites entreprises d’offrir à leurs
clients la possibilité de visiter son site pour payer leurs factures par voie
électronique.
 ~ - 32 - ~

Le paiement direct par courriel permet aux petites entreprises d’offrir à leurs
clients la possibilité de régler de façon pratique et rapide leurs factures par
courriel.

G. Le commerce électronique mobile avec identification par radiofréquence

et communication NFC

La communication en champ proche (NFC) est une technologie sans fil

recourant à l’identification par radiofréquence et permettant à des appareils de
transmettre des données entre eux à des fins de commerce et de paiement mobiles.
À titre d’exemple, vous pouvez maintenant payer votre produit en agitant
simplement votre téléphone intelligent devant un lecteur de carte sans fil au dépôt
pharmaceutique. On prévoit que les paiements mobiles recourant à la
communication NFC s’élèveront, d’ici 2014, à 50 milliards $. Les leaders de
marché tels que Google et Apple s’emploient à améliorer les capacités du
commerce mobile au moyen de téléphones intelligents équipés de la technologie
NFC. Pour la plupart des détaillants, l’obstacle le plus important réside dans le
passage des terminaux de point de vente à cette nouvelle technologie. Il y a aussi
la courbe d’apprentissage du personnel dont il faut tenir compte. Mais de plus en
plus de consommateurs recherchent des options d’achat et de paiement pratiques
qui correspondent à leur mode de vie de plus en plus mobile.
 ~ - 33 - ~

CHAPITRE II : ETUDE D’OPPORTUNITE

ENTREPRISE
Ce chapitre présente la société SHALINA, nous allons évoquer
dans cette partie son objet social, sa perspective d’avenir et son organisation.16

II.1. Objet social

SHALINA est une société internationale ayant comme activité
principale : l’industrie pharmaceutique. Elle fabrique des suppléments
nutritionnels et des produits cosmétiques à des prix abordables (en Inde).
Tandis qu’en Afrique, en général, et en République Démocratique
du Congo, en particulier, elle joue le rôle dans le développement économique du
pays.17
Elle a pour objet essentiel l’importation des produits
pharmaceutiques et cosmétiques de qualité qui sont destinés à la distribution sur
le territoire national. Ainsi, elle se définit comme une société commerciale. Son
caractère commercial se justifie par l’effet qu’elle importe et vend à l’état. Du
point de vue social, il faut noter que les produits pharmaceutiques importés par
SHALINA assurent le bien être, la santé et le bonheur de la population. En dépit
de l’objet ci-haut, l’entreprise SHALINA a le souci d’aider la population en
général et en particulier le peuple congolais par des œuvres sociales, à savoir :
L’assistance des veuves, des orphelins, les enfants d’habitation
pour ses travailleurs à Kinshasa dans la commune de NSELE au quartier BIBUA
et trois cents maisons à Lubumbashi.

II.2. HISTOIRE DE SHALINA

L'histoire de SHALINA a commencé en Afrique, à Kinshasa, en
RDC. Lorsque SHALINA a commencé, un énorme vide existait où même les
médicaments essentiels n'étaient pas disponibles à n'importe quel prix. Voyant
cette lacune flagrante sur le marché, SHALINA a travaillé dur pour développer sa
gamme de produits qui couvre aujourd'hui plus de 250 produits sur ordonnance et
en vente libre, dans un certain nombre de catégories thérapeutiques.
SHALINA est la première société pharmaceutique en RDC et nous
avons maintenant neuf points de distribution à travers la RDC.SHALINA DRC

16
Dépliant, présentation SHALINA, Kinshasa, 2018, p.3
17
Dépliant, op cit, p.
 ~ - 34 - ~

est gérée par une équipe de professionnels hautement qualifiés et hautement

dévoués et est fière d'être la société pharmaceutique éthique leader et la plus
progressiste. Le nom SHALINA inspire confiance et est très respecté par la
fraternité médicale. Nos délégués médicaux suivent des formations régulières et
nous menons des programmes de formation continue auprès des communautés
médicales que nous desservons.

II.3. Perspective d’avenir

SHALINA a pour perspective d’avenir de : Diversifier les raisons
de vente à travers l’Afrique en général et en R.D.C. en particulier ; Accroître la
production afin de pouvoir couvrir les besoins de la population en produits
pharmaceutiques de premier nécessité ; Maintenir la bonne qualité de ses produits
et les offrir à un prix accessible à tout le monde, pour la satisfaction générale des
consommateurs ; Installer un laboratoire pharmaceutique à Kinshasa (R.D.C)
pour la production locale des produits pharmaceutiques.18
II.4. Objectif de l’entreprise
L’objectif de toute entreprise entant qu’entité et unité économique
est de satisfaire un besoin et partant d’assurer sa survie par la réalisation d’un
profit. L’entreprise est une organisation à laquelle participe différents groupes
d’intérêts poursuivant chacun les objectifs différents parfois contradictoires. Il
existe dans chaque entreprise une stratégie qui est l’ensemble des politiques de
base à long terme de l’entreprise. Par l’objectif, il faut entendre, ce que l’entreprise
peut devenir ou ce qu’elle veut accomplir. L’entreprise SHALINA entant
qu’organisation poursuit plusieurs objectifs qui lui sont propres notamment le
profit, la survie, la puissance, le bien social du personnel, le contrôle d’une part
de marché donné.

II.4. ORGANISATION STRUCTURELLE ET

FONCTIONNELLE I.
II.4.1. Organisation structurelle
➢ Conseil d’Administration ;
➢ Comité de Gestion ;
➢ Direction.

18
CORSO, P., Gestion financière de l’entreprise, Paris, Dunod,1989, P. 127
 ~ - 35 - ~

II.4.2. ORGANISATION FONCTIONNELLE

a. Président Délégué Général C’est l’organe suprême de l’entreprise à qui revient
les dernières décisions en ce qui concerne les grandes orientations de
l’entreprise.19
b. Le Gérant chapote l’Administration, il s’occupe de la gestion quotidienne de
l’entreprise. Après le gérant, il y a 3 fonctions et chaque fonction a ses directions
et services.
b.1 Fonction Financière Cette fonction gère les capitaux et collecte les moyens
de financement de l’entreprise.
Elle a plusieurs directions, à savoir :
➢ Direction Commerciale.
➢ Direction d’Importation.
➢ Direction de Comptabilité.
1) Direction Commerciale Son rôle est :
➢ D’assurer la promotion des ventes des produits SHALINA sur le marché
congolais ;
➢ De découvrir les nouveaux clients et les inciter à entrer en relation avec
l’entreprise ;
➢ De dénoncer l’action des tendances de la concurrence déloyale ;
➢ D’orienter l’action commerciale par une information permanente en fonction
des tendances du marché.
Cette Direction à un seul service qui est le service marketing,
celui-ci comprend 3 sous services, à savoir.
➢ Le Marketing Médical : cette cellule s’occupe de la promotion des produits
pharmaceutiques. Elle en contact avec les médecins, les infirmiers et les
tenants des pharmacies ;
➢ Le Marketing Cosmétique : il s’occupe de la vente des produits
cométiques chez les commerçants, dans des super marchés, magasins,
boutiques, LIGABLOS, alimentations, salons de coiffure ;
➢ Le Service de Statistique : qui sert à évaluer le travail des délégués sur
le terrain, c’est un service informatisé et bien structuré.20
2) Direction d’Importation
Sa tâche consiste à effectuer les démarches nécessaires pour remplir toutes
les formalités afin d’obtenir auprès des services publics concernés les

19
Dépliant, op cit, p.
20
Dépliant, op cit, p.
 ~ - 36 - ~

autorités d’importation, et de mettre sur le marché congolais les produits de

l’entreprise.
Cette tâche est effectuée par Socomex.
Cette Direction est composée d’une équipe de trois personnes :
Un déclarant chargé de coordonner l’importation des marchandises à
Kinshasa.
Deux déclarants chargés d’accomplir les formalités d’usage pour la
déclaration définitive des marchandises et leur dédouanement à partir de
Matadi.
3) Direction financière
Cette Direction a un grand rôle à jouer et une très large responsabilité au
sein de SHALINA.
Elle s’occupe de toutes les situations comptables et fiscales. Elle comprend deux
services, à savoir la caisse et la facturation :
• Service Caisse
C’est le guichet où s’effectuent les opérations de paiement ou de versement,
tenue par deux caissières.
Elles sont chargées de percevoir l’argent auprès des clients sur base des factures.
A la fin de la journée, elles balancent les opérations effectuées en recettes.
• Service de Facturation
La facturation est totalement informatisée grâce à un service informatique
qui travaille en réseau.
L’entreprise a mis à la disposition de ses services les ordinateurs performants
pour assurer un service rapide et faible bénéficiant directement à sa clientèle.
Fonction Administrative Cette fonction remplie le rôle du cerveau de
l’entreprise, elle dirige et coordonne les activités de toutes les autres fonctions.
Elle a comme rôle :

➢ La planification et l’organisation de l’entreprise c’est-adire, elle fixe les

objectifs à atteindre et détermine les moyens ;
➢ L’affectation, c’est-à-dire déterminer les tâches qui reviennent à chaque
fonction et attribuer les responsabilités ;
➢ Le commandement : faire fonctionner le corps social pour un objectif précis
➢ Le contrôle : consiste à vérifier l’exécution des programmes adoptés et des
ordres donnés ;
➢ Définir de la politique sociale.
➢ Cette fonction a plusieurs services, à savoir.
 ~ - 37 - ~

1)Service de Ressources Humaines.

Dirigé par un Chef de personnel ayant pour mission :
➢ Administration du personnel ;
➢ Contrôle de travail ;
➢ Information et communication ;
➢ Préparation et contrôle de salaire ;
➢ Liquidation des salaires ;
➢ Soins médicaux des agents et membres de leurs familles ;
➢ Conservation, contrôle et gestion des dossiers du personnel.
2)Secrétariat Il est chargé des divers travaux de bureau :
➢ La réception et expédition des courriers ;
➢ Classement et conservation des courriers ;
➢ Achat des fournitures du bureau et autres consommations ;
➢ Archivage des certains documents informatiques pour leur intérêt historique ;
➢ Réception des visiteurs.
3)Service Informatique Son rôle est :
➢ De mettre en place un système ou traitement automatique des données à l’aide
des ordinateurs ;
➢ D’assurer le bon fonctionnement du système ;
➢ D’assurer la maintenance du matériel informatique ;
➢ D’améliorer et fiabiliser la qualité de travail fourni en produisant des résultats
attendus.
4)Caisse Principale
Ce service s’occupe de toutes les situations financières liquidées ; elle
effectue les dépenses à l’aide des bons de caisse autorisés par l’administrateur.
 ~ - 38 - ~

Figure 6 : organigramme de SHALINA

 ~ - 39 - ~

II.5. Etude de l’existant :

L'étude de l'existant est la première phase du processus unifié. Elle a pour
but ultime la clarification du champ de notre investigation.
Tout au long de cette phase, nous schématiserons l'expression préliminaire
des besoins et nous présenterons une modélisation par des cas d'utilisation de
fonctionnalités préliminaires de notre application.
Les activités principales qui vont se dérouler au cours de cette phase seront
essentiellement la capture des besoins et l'analyse.

II.6. Critique de l’existant :

Leur système informatique ne répond pas aux critères des clients.
Et ce dernier pénalise les clients, celui-ci est dans l’obligation de passer tous les
temps au dépôt.

II.7. Solutions proposées

Afin de pallier aux défaillances, nous proposons d’informatiser la

commercialisation de nos stock produits par la création d’un dépôt
pharmaceutique virtuelle sur l’Internet.
Il nous est indispensable de préciser à cette étape que notre projet de fin d’étude
prendra en considération toutes ces contraintes en essayant de présenter les
solutions nécessaires tout en respectant les règles des jeux d’un site web tels que
la simplicité de navigation entre les pages, la bonne ergonomie et la sécurité des
données confidentielles des clients.

II.8. Expression et spécification des besoins

Guider par les résultats issus de la critique de l’existant, les besoins des
utilisateurs du système en cours de développement se présentent de la manière
suivante :
❖ Gérer les fournisseurs SHALINA a besoin d’archiver les renseignements
sur ses fournisseurs, c’est ainsi que dans l’a application Web, une interface
est conçue pour la gestion des fournisseurs. Il s’agira d’afficher la liste des
fournisseurs, au besoin d’en ajouter un nouveau, d’en supprimer ou encore
d’en modifier quand il y’a un changement signalé.
❖ Gérer les familles des produits SHALINA-Pharma importe des produits
déjà catégorisés, c’est par exemple nous avons des produits anesthésiques,
 ~ - 40 - ~

cette site web aura la capacité de catégoriser tous les produits en famille
pour pouvoir identifier à quelle famille appartient un produit par exemple.
❖ La gestion de stock SHALINA a besoin de gérer ses produits en stock, cette
application présentera aux utilisateurs une interface pouvant afficher la
situation du stock.
❖ La production d’un rapport de ventes journalier, mensuel ou même annuel
Les actionnaires de SHALINA ont besoin de suivre régulièrement les
ventes de l’entreprise, application web offrira la possibilité de créer et
d’imprimer un rapport afin de le présenter aux actionnaires de SHALINA-
Pharma.
a. L’exposition des stocks produits :
Notre site doit disposer d’une vitrine virtuelle à travers laquelle le
client peut consulter une grande variété des produits, il sera donc indispensable
d’y présenter les prix et les caractéristiques techniques de chaque produit pour
faciliter la sélection du produit à acheter.
b. L’inscription du client :
Jusqu’à ce stade, le client est toujours anonyme mais pour pouvoir
passer à un stade plus rigoureux, il faut qu’il s’inscrive, cela se fait uniquement
pour la première commande mais après, notre client peut s’authentifier avec son
E-mail et son mot de passe ou numéro de téléphone pour passer d’autres
commandes.
Ajout des stocks produits au panier : Après le choix d’un produit le
client doit mentionner la quantité qui s’ajoute automatiquement à son panier avec
le prix unitaire et le prix total.

c. Mode de livraison :
Un client qui a déjà confirmé sa commande il est libre de choisir le mode de
livraison de sa marchandise soit à domicile ou chez une boutique selon une liste
de choix mentionnée sur notre site web.

d. Dépôt de livraison :
Si le mode de livraison choisi est le dépôt pharmaceutique il faut
que le client indique cette pharmacie avec une précision qui permet aux livreurs
d’être sûrs que la marchandise sera livrée dans le lieu indiqué, ayant une panoplie
de pharmacie réelles, le client pourra choisir la plus proche.
 ~ - 41 - ~

e. La livraison à domicile :
En choisissant cette option comme mode de livraison, le client
devrait remplir
Soigneusement un formulaire contenant les informations nécessaires telles que :
➢ Le nom du destinataire qui peut être le client même ou une autre
personne ;
➢ L’adresse précise de livraison. - Le numéro de la pièce d’identité du
destinataire ;
➢ Le jour et l’heur de la livraison estimée.
g. La confirmation de la commande :
Jusqu’à cette phase on a un client, une commande et une adresse
de livraison le chemin maintenant est plus clair, la commande ne passera qu’après
la validation de toutes les informations qui sont affichées dans une seule interface
avant de passer à la phase de payement.

h. Le payement :
C’est une phase très sensible, pour cela il faut qu’elle soit très
sécurisée, pour terminer la procédure de payement avec succès le client doit
choisir un type de carte dans une liste de choix des cartes proposées sur notre site
web, indiquer le numéro de sa carte et sa valeur de vérification dite CVV.
i. La fin de l’opération d’achat : La page finale représente un petit message de
remerciement à nos clients avec une idée sur l’adresse, la date, le temps de la
livraison en question et bien sur la possibilité d’imprimer la facture du client.
2. Besoins bon fonctionnels : Les besoins non fonctionnels sont importants car
ils agissent de façon indirecte sur le résultat et sur le rendement de l’utilisateur,
ce qui fait qu’ils ne doivent pas être négligés, pour cela il faut répondre aux
exigences suivantes :
a. Fiabilité : L’application doit fonctionner de façon cohérente sans erreurs et
doit être satisfaisante.
b. Les erreurs : Les ambigüités doivent être signalées par des messages
d’erreurs bien organisés pour bien guider l’utilisateur et le familiariser avec
notre site web.
c. Ergonomie et bonne Interface : L’application doit être adaptée à l’utilisateur
sans qu’il ne fournisse aucun effort (utilisation claire et facile) de point de vue
navigation entre les différentes pages, couleurs et mise en textes utilisés d.
Sécurité : Notre solution doit respecter surtout la confidentialité des données
 ~ - 42 - ~

personnelles des clients qui reste l’une des contraintes les plus importantes dans
les sites web.
e. Aptitude à la maintenance et la réutilisation : Le système doit être
conforme à une architecture standard et claire permettant sa maintenance et sa
réutilisation.
f. Compatibilité et portabilité : Un site web quel que soit son domaine, son
éditeur et son langage de programmation ne peut être fiable qu’avec une
compatibilité avec tous les navigateurs web et tous les moyens que ce soit PC,
IPAD ou Mobiles.
 ~ - 43 - ~

CHAPITRE III : CONCEPTION DU NOUVEAU

SYSTÈME

III.1. INTRODUCTION
Ce chapitre est le plus important de notre travail, Il consiste à la
modélisation et la conception du nouveau système ou du système informatique,
pour répondre aux problèmes que rencontre dépôt pharmaceutique SHALINA
dans le processus gestion et suivi stock dépôt pharmaceutique.

III.2. NARRATION

Lors de l’arrivée des médicaments au niveau du dépôt de la SHALINA,

provenant du laboratoire fournisseur, un contrôle est effectué par le magasinier
afin de vérifier la conformité du bon d’achat, c’est-à-dire l’adéquation entre les
produits commandés et les produits livré par le laboratoire (N° de lot, quantité,
date de péremption, prix, etc.). Il notifié alors la conformité au nom de la
commandé sur la facture. Il est à noter qu’il existe quatre catégories de
magasiniers : Ceux qui s’occupent des médicaments en comprimés, ceux qui ont
la charge des médicaments en sirop, ceux qui s’occupent des médicaments chers
et enfin s’occupent des médicaments sensibles à la chaleur (stockés au niveau des
réfrigérateurs). La facture étant conforme, le magasinier la transmet à l’opératrice.
Celle-ci saisit alors l’entrée des produits au stock. Il lui incombe aussi la gestion
des comptes des pharmacies et des fournisseurs soit par ajout, par modification
ou encore par suppressions de ceux qui ne font plus client de la société.

Lors de la vente des médicaments aux clients (pharmacien), le client passe

la commande à l’opératrice par téléphone. Si la quantité des produits commandé
est suffisante, elle lui édite une facture de sortie qu’elle transmet au magasinier
pour la préparer au client. Le magasinier enregistre en suite la sortie de chaque
produit sur un registre qui lui est propre. Il est à signaler qu’aussi bien le
magasinier, l’opératrice que le gestionnaire peut, chacun en ce qui le concerne,
consulter les stocks quand il en a besoin.
 ~ - 44 - ~

III.3. OUTILS DE MODELISATION

III.3.1. Langage de modélisation UML
(UNIFIED MODELING LANGUAGE, en français : Langage de
Modélisation Unifié)
III.3.2. Historique UML
Par rapport à la cinquantaine de méthodes d’analyse et de conception objet
qui exister à l’année 90, seulement trois d’entre elles se sont détachées nettement
au bout de quelques années. En effet, la volonté de converger vers une méthode
unifiée était déjà bien réelle et c’est pour cette raison que OMT, BOOCH ET
OOSE se sont démarquées des autres.
OMT (objet mode Ling technique) de James RUMBAUGHT et BOOCH
de GRADY BOOCH ont été les deux méthodes le plus diffusées en France et
partout dans ailleurs durant les années 90. Par ailleurs, OOSE de Ivar Jacobson
s’est aussi imposée dans le monde objet pour la partie formalisation des besoins.
Pour aller plus loin dans le rapprochement, James RUMBAUGHT et
GRADY BOOCH se sont retrouvés au sein de la société rational software et ont
été rejoint par Ivar Jacobson en se donnant comme objectif de fusionner leurs
méthodes et crées UML (UNIFIED MODELING LANGUAGE).
Il est important de noter que contrairement à ce qui avait été envisagé du
départ, le processus de développement a été sorti du champ couvert par le projet
de norme. UML est donc une norme du langage de modélisation objet qui a été
publiée, dans sa première version, en novembre 1997 par l’OMG (Object
Management group), instance de normalisation internationale du domaine de
l’objet.
En quelques années, UML s’est imposée comme standard à utiliser entant
que langage de modélisation objet. Aujourd’hui, au milieu de la deuxième
décennie des années 2000, nous avons déjà une vingtaine d’années de recul sur
l’enseignement et la pratique d’UML en entreprise.
III.3.3. Type de relation en UML
Nous avons trois types de relation en UML :
❖ Include (inclusion) : c’est une relation qui oblige à l’utilisateur de se
connecter avant toutes opérations.
❖ Exclude (exclusion) : c’est une relation facultative qui ne demande pas à
l’utilisateur de s’authentifier.
❖ Généralisation : est représenté par une flèche montante
 ~ - 45 - ~

III.3.4. DETAIL SUR L’UML

Pour assurer un bon niveau de cohérence et d’homogénéité sur l’ensemble
des modèles, ULM propose d’un certain nombre de règles d’écriture ou de
représentation graphique normalisées et d’autre par des mécanismes et des
concepts communs applicables à l’ensemble ces diagrammes. Certains éléments
comme les stéréotypes sont spécialement prévus pour assurer une réelle capacité
d’adaptation et d’évolution de la notation notamment pour prendre en compte les
particularités des différentes situations à modéliser.
Les principaux éléments généraux d’UML que nous présentons sont : le
stéréotype, la valeur marquée, la note, la contrainte, et la relation de dépendance.
En outre UML propose un Meta-Modèle de tous les concepts et notations
associées utilisés dans treize diagrammes de ce langage de modélisation.
Méta-modèle : le langage de modélisation UML respecte un certain nombre des
règles sur les concepts manipulés (classe, attribut, opération, paquetages, etc.)
ainsi que sur la syntaxe d’écriture et le formalisme de représentation
graphique21. L’ensemble de ces règles constitue en soi un langage de
modélisation qui a fait l’objet d’un méta-modèle UML. L’intérêt de disposé un
méta-modèle UML permet de bien maitriser la structure d’UML et de facilité
son évolution.
Stéréotype : un stéréotype constitue un moyen de classer les éléments de la
modélisation. Un certain nombre stéréotype sont déjà définis dans l’UML,
mais d’autres valeurs de stéréotype peuvent être ajoutées si cela est nécessaire
soit à l’évolution générale d’UML, soit à la prise en compte de situations
particulières propres aux entreprises. Les stéréotypes peuvent s’applique à
n’importe quel type concept d’UML.
La valeur marquée : UML permet d’indiquer des valeurs particulières au niveau
des éléments de modélisations et en particulier pour les attributs de classe.
Une valeur marquée se définit méta-attribut.
Contrainte : Une contrainte est une note ayant une valeur sémantique particulière
pour un élément de la modélisation. Une contrainte s’écrit entre accolade {}
▪ Outil logiciel de modélisation utilisé (ex : MAGICDRAW)

21 Grady booch, James Rumbaught, Ivar Jacobson, le guide de l’utilisateur UML, 2000
 ~ - 46 - ~

III.4. Modélisation proprement dite

III.4.1. Qu’est-ce qu’un modèle
Un modèle est une abstraction de la réalité22. L'abstraction est un des piliers
de l'approche objet : il s'agit d'un processus qui consiste à identifier les
caractéristiques intéressantes d'une entité, en vue d'une utilisation précise.
L'abstraction désigne aussi le résultat de ce processus, c'est-à-dire l'ensemble des
caractéristiques essentielles d'une entité, retenues par un observateur. Un modèle
est une vue subjective mais pertinente de la réalité. Un modèle définit une
frontière entre la réalité et la perspective de l'observateur. Ce n'est pas "la réalité",
mais une vue très subjective de la réalité. Bien qu'un modèle ne représente pas
une réalité absolue, un modèle reflète des aspects importants de la réalité, il en
donne donc une vue juste et pertinente
III.4.2. CARACTERISTIQUE FONDAMENTALES DES MODELES
Le caractère abstrait d'un modèle doit notamment permettre :
✓ De faciliter la compréhension du système étudié : un modèle réduit la
complexité du système étudié ;
✓ De simuler le système étudié : un modèle représente le système étudié et
reproduit ses comportements.
III.5. COMMENT MODELISER AVEC UML
III.5.1. PROPOSITION DE MODELISER AVEC UML
UML est un langage qui permet de représenter des modèles, mais il ne
définit pas le processus d'élaboration des modèles : UML n’est donc pas une
méthode de modélisation. Cependant, dans le cadre de la modélisation d'une
application informatique, les auteurs d'UML préconisent d'utiliser une démarche
:
✓ Itérative et incrémentale,
✓ Guidée par les besoins des utilisateurs du système,
✓ Centrée sur l'architecture logicielle.
D'après les auteurs d'UML, un processus de développement qui possède ces
qualités devrait favoriser la réussite d'un projet.

22 Soutou, christian.2007, UML2 pour la base de donnees.2e. Paris : Eyrolles, p.316

 ~ - 47 - ~

III.5.2. UNE DEMARCHE ITERATIVE ET INCREMENTALE

Pour modéliser (comprendre et représenter) un système complexe, il vaut
mieux s'y prendre en plusieurs fois, en affinant son analyse par étapes. Cette
démarche doit aussi s'appliquer au cycle de développement dans son ensemble,
en favorisant le prototypage. Le but est de mieux maîtriser la part d'inconnu et
d'incertitudes qui caractérisent les systèmes complexes.
III.5.2.1. UNE DEMARCHE GUIDEE PAR LES BESOINS DES
UTILISATEURS
Ce sont les utilisateurs qui guident la définition des modèles : Le
périmètre du système à modéliser est défini par les besoins des utilisateurs (les
utilisateurs définissent ce que doit être le système). Le but du système à modéliser
est de répondre aux besoins de ses utilisateurs (les utilisateurs sont les clients du
système). Les besoins des utilisateurs servent aussi de fil rouge, tout au long du
cycle de développement (itératif et incrémental) :
✓ A chaque itération de la phase d'analyse, on clarifie, affine et valide les
besoins des utilisateurs.
✓ A chaque itération de la phase de conception et de réalisation, on veille à la
prise en compte des besoins des utilisateurs.
✓ A chaque itération de la phase de test, on vérifie que les besoins des
utilisateurs sont satisfaits.

III.5.2.2. UNE DEMARCHE CENTREE SUR L'ARCHITECTURE

Une architecture adaptée est la clé de voûte du succès d'un développement.

Elle décrit des choix stratégiques qui déterminent en grande partie les qualités du
logiciel (adaptabilité, performances, fiabilité...). Ph. KRUCHTEN propose
différentes perspectives, indépendantes et complémentaires, qui permettent de
définir un modèle d'architecture (publication IEEE, 1995). Ph. KRUCHTEN
défend l’idée que l’architecture logicielle doit être une discipline à part entière. Il
propose que plusieurs perspectives concourent à l’expression de l’architecture
d’un système et il explique qu’il est nécessaire de garantir la séparation et
l’indépendance de ces différentes perspectives. L’évolution de l’une des
perspectives ne doit pas avoir d’impact (sinon limité) sur les autres.
 ~ - 48 - ~

III.6. Utilisation de diagrammes UML

Permet de définir et de visualiser un modèle à l'aide de diagrammes23.

III.6.1. Définition d’un diagramme
Un diagramme UML est une représentation graphique, qui s'intéresse
à un aspect précis du modèle. C'est une perspective du modèle, pas "le modèle".
Chaque type de diagramme UML possède une structure (les types des éléments
de modélisation qui le composent sont prédéfinis).
Un type de diagramme UML véhicule une sémantique précise (un type
de diagramme offre toujours la même vue d'un système). Combinés, les différents
types de diagrammes UML offrent une vue complète des aspects statiques et
dynamiques d'un système. Par extension et abus de langage, un diagramme UML
est aussi un modèle (un diagramme modélise un aspect du modèle global).

III.6.2. Caractéristiques des diagrammes

UML Les diagrammes UML supportent l'abstraction. Leur niveau de
détail caractérise le niveau d'abstraction du modèle. La structure des diagrammes
UML et la notation graphique des éléments de modélisation est normalisée
(document "UML notation guide"). Rappel : la sémantique des éléments de
modélisation et de leur utilisation est définie par le méta modèle UML (document
"UML sémantiques").
III.6.3. Les différents types de diagrammes UML
Il existe 2 types de vues du système qui comportent chacune leurs propres
diagrammes :
✓ Les vues statiques
✓ Les vues dynamiques

Richard KITONDUA, conception et système information, 1e Licence de gestion informatique,

23

UPN, 2021
 ~ - 49 - ~

III.7. Conception du Système D’information Statique

1. Diagramme de Classe
Le diagramme de classes exprime la structure statique du système en termes
de classes et de relations entre ces classes24. L’intérêt du diagramme de classe est
de modéliser les entités du système d’information.
2. Diagramme Contexte
Est un diagramme qui permet de représenter les différents acteurs25.
3. Diagramme de Paquetage
Les diagrammes de paquetage sont utilisés pour refléter l’organisation de
paquetages et de leurs éléments. Lorsqu’il est utilisé pour représenter des
éléments de classe, diagrammes de paquetages permettent de visualiser les
espaces de noms. L’utilisation la plus courante pour les diagrammes de cas
d’utilisation et des Diagramme de classes.
4. Diagramme d’objets

Les diagrammes d’objets présentent des exemples de structures de

données à un moment spécifique. Vous pouvez utiliser un diagramme de classes
pour représenter une structure, puis des diagrammes d’objets comme scénarios de
test pour vérifier que votre diagramme de classes est bien exhaustif. Vous pouvez
également créer un diagramme d’objets pour recueillir des informations sur les
éléments de modèle et leurs liens26

5. Diagramme de composants

Un diagramme de composants est en réalité une version plus

spécifique du diagramme de classes, et les mêmes règles de notation s’appliquent
aux deux. Ce type de visuel découpe un système complexe en composants de taille
réduite et représente les interactions entre ces derniers.

24 Richard KITONDUA, Notes de cours, conception et système d’information, 1e Licence de

gestion Informatique, UPN, 2020
25 Roy Gilles, conception d’une base de données avec UML, 2009.p.530

26Richard KITONDUA, Notes de cours, conception et système d’information, 1e Licence informatique de

gestion, UPN, 2020
 ~ - 50 - ~

6. Diagramme de déploiement

Les diagrammes de déploiement indiquent la manière dont les

logiciels sont déployés sur les composants matériels d’un système 27. Ces visuels
sont particulièrement utiles pour les ingénieurs système et ils illustrent
généralement les performances, l’évolutivité, la maintenabilité et la portabilité.
Lorsque les composants matériels sont représentés les uns par rapport aux autres,
il est plus facile de suivre l’ensemble de votre infrastructure informatique et de
s’assurer que tous les éléments sont pris en compte lors d’un déploiement.

7. Diagramme de structure composite

Ces diagrammes sont en vérité des plans de la structure interne d’un

classifier28. Ils peuvent également être utilisés pour illustrer le comportement
d’une collaboration ou les interactions du classifier avec son environnement par
le biais des ports. Ils permettent de représenter facilement les composants internes
de tout type d’équipement pour mieux en comprendre le fonctionnement.

III.8. Conception d’un système d’information dynamique

1. Diagramme de cas d’utilisation
Le diagramme de cas d’utilisation permet à l’utilisateur de déterminer
ces besoins dans un système29.
Il existe 4 catégories d’acteurs :
✓ Les acteurs principaux : les personnes qui utilisent les fonctions principales
du système
✓ Les acteurs secondaires : les personnes qui effectuent des tâches
administratives ou de maintenance.
✓ Le matériel externe : les dispositifs matériels incontournables qui font partie
du domaine de l’application et qui doivent être utilisés.
✓ Les autres systèmes : les systèmes avec lesquels le système doit interagir.
Il existe 3 types de relations entre cas d’utilisation :
✓ La relation de généralisation
Dans une relation de généralisation entre 2 cas d’utilisation, le cas
d’utilisation enfant est une spécialisation du cas d’utilisation parent.

27 Soutou Christian, De l’UML à SQL Conception de base de données avec UML.PARIS ; Eyrolles,
2002.p.385
S Soutou, olivier teste et christian.2007. UML2 pour la base de données. Paris ; Eyrolles, 2002.p.579

29 Richard KITONDUA, Notes de cours, conception et système d’information, 1e Licence informatique de

gestion, UPN, 2020

 ~ - 51 - ~

Elle est représentée par une flèche montante

✓ La relation d’extension
C’est une relation facultative qui ne demande pas à l’utilisateur de
s’authentifier.
Elle est représentée par :

✓ La relation d’inclusion
C’est une relation qui oblige à l’utilisateur de s’authentifier avant
toutes opérations.
Elle est représentée par : ----------→
2. Diagramme de séquence

Est une variante du diagramme de collaboration. Par opposition aux

diagrammes de collaboration, les diagrammes de séquence possèdent
intrinsèquement une dimension temporelle mais ne représente pas explicitement
les liens entre les objets30.

a. Les interactions
L’interaction se traduit par l’envoi d’un message entre objets.
Le diagramme de séquence insiste sur la chronologie des objets en utilisant la
ligne de vie des objets.

3. Diagramme de temps

Souvent décrit comme un diagramme de séquence inversé, un diagramme

de temps montre comment les objets interagissent entre eux dans un laps de temps
donné31. Utilisez ces diagrammes pour déterminer la durée de chaque étape d’un
processus et identifier les améliorations à apporter.

4. Diagrammed apercu des interactions

Ce diagramme donne un aperçu du flux de contrôle entre des nœuds en

interaction. Ceux-ci incluent les nœuds initiaux, les nœuds finaux de flux, les

30Roques, Franck vallée et Pascal.2005. UML2 en action d’analyse des besoins à la conception.4 e Paris :
Eyrolles, 2005.p.125
31Richard KITONDUA, Notes de cours, conception et système d’information, 1e Licence informatique de

gestion, UPN, 2020

 ~ - 52 - ~

nœuds finaux d’activité, les nœuds de décision, les nœuds de fusion, les nœuds de
bifurcation et les nœuds de jonction.

5. Diagramme de communication

Autrefois appelés diagrammes de collaboration, illustrent les liens

entre les objets. Ils modélisent la manière dont ces derniers s’associent et se
connectent par le biais de messages dans le cadre de la conception architecturale
d’un système32. Ils peuvent également représenter des scénarios alternatifs dans
des cas d’utilisation ou des opérations qui nécessitent la collaboration de
différents objets et interactions.

6. Diagramme états-transitions

Les diagrammes états-transitions, vous l’aurez deviné, décrivent les

états et les transitions. Un état correspond aux différentes combinaisons
d’informations qu’un objet peut contenir, et ce type de diagramme UML permet
de visualiser tous les états possibles et la manière dont l’objet passe d’un état à
l’autre33.

7. Diagramme d'activités

Les diagrammes d’activités représentent les étapes réalisées dans un

cas d’utilisation. Les activités peuvent être séquentielles, ramifiées ou
simultanées. Ce type de diagramme UML est utilisé pour montrer le
comportement dynamique d’un système, mais il peut également être utile dans
la modélisation des processus métier

III.9. Méthode UP : UNIFIED PROCESS (en français Processus

Unifié)
Le modèle UP a pris une grande ampleur dans notre travail car la
méthode UP nous a permis de modéliser notre base de données.
Il s’agit d’une méthode systémique. La démarche UP, qui utilise la modélisation
UML, est un processus de développement logiciel itératif et incrémental, centré
sur l’architecture, conduit par les cas d’utilisation et piloté par l’étude que nous

32Roy, gilles.2009. Conception de bases de données avec l’UML. Québec: presse universitaire du Québec
2009.p.532
33Richard KITONDUA, Notes de cours, conception et système d’information, 1e Licence informatique de

gestion, UPN, 2021

 ~ - 53 - ~

menons porte pour la Police Nationale Congolaise. Elle couvre le recrutement de

policier.
La réduction de risques.
Sa gestion est organisée suivant quatre phases qui suivent :
✓ Initiation,
✓ Elaboration,
✓ Construction
✓ Transition
Grace à ces quatre phases, ce processus nous permettra d’analyser l’organisation
étudiée et concevoir un nouveau système de gestion.
III.9.1. Présentation d’UP
Est un développement logiciel « itératif et incrémental », centre sur
l’architecture, conduit par les cas d’utilisation et piloté par les risques :
✓ Itératif et incrémental : le projet découpé en itération de courte durée
(environs 1 mois) qui aident à mieux suivre l’avancement global. A la fin
de chaque itération, une partie exécutable du système final est produite, de
façon incrémentale.
Pour plus simplement, un processus doit permettre de répondre à la question
fondamentale :
Qui fait quoi et quand

✓ Centré sur l’architecture

Tout système complexe doit être décomposé en parties modulaires afin de garantir
une maintenance et une évolution facilitées. Cette architecture (fonctionnelle,
logique, matériel, etc.)
Doit être modélisé en UML et pas seulement documentée en texte
✓ Piloté par les risques : les risques majeurs du projet doivent être identifie
au plus tôt, mais surtout levés le plus rapidement possible. Les mesures à
prendre dans ce cadre déterminent l’ordre des itérations.
✓ Conduit par les cas d’utilisation : le projet est mené en tenant compte des
besoins et des exigences des utilisateurs. Les cas d’utilisation du futur
système sont identifiés, décrits avec précision et priorisés.
III.9.2. Les phases et les disciplines d’UP
La gestion d’un processus est organisée suivant les quatre phases
suivantes : initiation, élaboration, construction et transition.
 ~ - 54 - ~

➢ La phase d’initiation
Conduit à définir la « vision » du projet, sa portée, sa faisabilité, son
business case, afin de pouvoir décider au mieux de sa poursuite ou de son arrêt.
➢ La phase d’élaboration
Poursuit trois objectifs principaux en parallèle :
✓ Identifier et décrire la majeure partie de besoins des utilisateurs,
✓ Construire (et pas seulement décrire dans un document !) l’architecture de
base de système.
✓ Lever les risques majeurs du projet.
➢ La phase de construction
Consiste surtout à concevoir et implémenter l’ensemble des éléments
opérationnels (autres que ceux de l’architecture de base). C’est la phase la plus
consommatrice en ressources et en effort.
➢ La phase de transition :
Permet de faire passer le système de mains des développeurs
à celles des utilisateurs finaux. Les mots-clés sont : conversion des données,
formations des utilisateurs, déploiement, bêta-tests.
Chaque phase est elle-même décomposée séquentiellement en itérations limitées
dans le temps (entre 2 et 4 semaines). Le résultat de chacune d’elles est un système
testé, intégré et exécutable. L’approche itératif est fondée sur la croissance et
l’affinement successifs d’un système par le biais d’itération multiples, feedback
et adaptation cycliques étant les moteurs principaux permettant de converger vers
un système satisfaisant. Le système croît avec le temps de façon incrémentale,
itération par itération, et c’est pourquoi cette méthode porte également le nom de
développement itératif et incrémental.
Les activités de développement sont définies par cinq disciplines fondamentales
qui décrivent la capture des exigences, l’analyse et la conception,
implémentation, le test et le déploiement. La modélisation métier est une
discipline optionnelle et transverse aux projets, gestion du changement et de la
configuration, ainsi que la mise à disposition d’un environnement complet de
développement incluant et des guides méthodologiques.
UP doit donc être compris comme une trame commune des meilleures pratiques
de développement logiciel, et non comme l’ultime tentative d’élaborer un
processus universel.
 ~ - 55 - ~

III.9.3. DIAGRAMME DE CAS UTILISATIONS

Figure 7 diagramme de cas d'utilisation

 ~ - 56 - ~

III.9.4. DIAGRAMME DE SEQUENCE

Client pharmacien

Figure 3.2 : client pharmacien

 ~ - 57 - ~

Fournisseur

Figure 8 fournisseur

Agent verfication des produit

Figure 9 agent vérification de produit

 ~ - 58 - ~

Agent valide bon de commande

Figure 10 agent valide bon de commande

Agent imprime rapport

Figure 11 agent imprime rapport

 ~ - 59 - ~

Administrateur

Figure 12 administrateur
 ~ - 60 - ~

III.9.5. DIAGRAMME DE PLOIEMENT

 ~ - 61 - ~

III.9.6. DIAGRAMME DE CLASSE

Figure 13 Diagramme de classe

 ~ - 62 - ~

CHAPITRE IV : IMPLÉMENTATION D’UN PORTAIL

WEB

Ⅳ.1 INTRODUCTION
L’étape de l’implémentation fait partie de la phase de construction du
processus unifié de développement. Cette étape consiste à matérialiser le résultat
issu de l’analyse et de la conception du système sous forme d’une application
informatique. Elle implique le choix des outils pour la conception et la réalisation
du système informatique. C’est ainsi que dans ce chapitre nous allons présenter
les outils qui nous ont permis la conception et la réalisation de l’application
informatique suivi de la présentation des quelques interfaces et quelques lignes de
codes.
Ⅳ.2 CHOIX DES OUTILS DE DEVELOPPEMENT
Nous allons donner les outils de développement qui nous ont permis la
conception et la matérialisation du système informatique.
Environnement matériel Tout au long de la réalisation de notre travail nous
avons utilisé un ordinateur portable ayant les caractéristiques suivantes :
➢ Processeur Intel® CORE™ i5-34450M CPU @ 2.60Ghz.
➢ 7,82 GB de mémoire vive.
➢ 500GB de disque dur.
➢ Windows10 comme système d’exploitation.
Environnement logiciel Pour la conception et la réalisation du système
informatique nous avons utilisé certains logiciels qui sont :
➢ ASTAH COMMUNITY ET VISUAL PARADIGME comme AGL.
➢ VISUAL STUDIO CODE 2020comme environnement de développement
texte.
ASTAH COMMUNITY
C’est un AGL (Atelier de génie logiciel) développer par Microsoft
et mis sur le marché en Décembre 2017. Ce logiciel nous a été d’une grande utilité
dans la production de différents diagrammes permettant ainsi la modélisation et
la conception du système informatique.

VISUAL CODE
C’est un environnement de développement intégré (IDE) conçu par
la société Microsoft. Il comporte en son sein plusieurs langages de programmation
parmi lesquels nous pouvons citer :
 ~ - 63 - ~

PHP
JAVASCRIPT
CSS
HTML
MYSQL
Il comprend toutes les caractéristiques d’un Visual code moderne
(éditeur de texte, projet multi langage, éditeur graphique d’interface et des pages
Web, factoring etc…), Ce logiciel nous a permis la réalisation de l’application.
Ⅳ.3 Choix du langage de programmation
Pour la matérialisation du système informatique, nous avons fait
appel au langage PHP. Est un langage de programmation libre, principalement
utilisé pour produire des pages web dynamique via un serveur http, mais prouvent
également fonctionner comme n’importe quel langage.
PHP, (PHP HYPERTEXT PREPROCESSOR), dispose de toutes les qualités
nécessaires. PHP est à l’origine un langage de scripte Html exécuté du côté du
serveur, mais c’est aussi un langage complet disposant des nombreuses
fonctionnalités lui permettant de faire fonctionner des programmes depuis la ligne
des commandes.
❖ AJAX
AJAX signifie JavaScript asynchrone, et XML est puissant et
certainement un moyen rapide de développer des applications Web interactives.
Cependant, AJAX utilise CSS pour la présentation, JavaScript pour l’affichage de
contenu dynamique et CSS pour la présentation. Cette technologie de navigateur
Web fonctionne indépendamment du logiciel de serveur Web. Lorsque vous
utilisez AJAX et remplissez un formulaire et cliquez sur Soumettre, c’est
JavaScript qui fait généralement la demande au serveur, interprète les résultats et
les affiche à l’écran.
❖ HTML
Hyper Texte Mark up Langage ou HTML est un langage de balisage
avec un ensemble de balises de balisage. Chaque balise est utilisée pour décrire
un contenu de document différent. Il dispose d’un ensemble de codes qui seraient
insérés dans un fichier destiné à être affiché sur la page du navigateur. En fait, ces
balises HTML sont des mots-clés cachés et il est de leur devoir de définir
comment le contenu doit être formaté et affiché dans une page Web. Pour que la
balise soit valide, le navigateur doit contenir des balises compréhensibles et
reconnaissables.
 ~ - 64 - ~

❖ CSS
Les feuilles de style en cascade ou CSS sont un langage de style qui
couvre à peu près tout – les polices, les couleurs, les marges, les lignes, la hauteur,
la largeur, les images d’arrière-plan, les positions avancées et plus encore. Le
principal avantage de CSS est qu’il contrôle la mise en page de nombreux
documents dans une seule feuille de style. Cela vous permet d’avoir une mise en
page précise. Avec CSS, vous avez accès à plusieurs techniques avancées et
sophistiquées.

Ⅳ.4 Choix du SGBD

Lors de la phase finale qui celle de la réalisation de l’application,

comme SGBD nous avons jugé bon d’utiliser le MySQL. C’est un système de
gestion de base de données (SGBD) incorporant entre autres un SGBDR (SGBD
relationnel) développé et commercialisé par la société oracle. Il ne fonctionne sur
tout le système d’exploitation. Ce logiciel nous a permis la création de la base de
données, des tables ainsi que les différentes relations entre les tables de la base de
données.

Ⅳ.5 Présentation des interfaces

Pour prouver que notre modélisation a aboutie à la production d’une

application informatique permettant la gestion vente et suivi stock dépôt
pharmaceutiques dans une entreprise commerciale, nous allons présenter
quelques interfaces graphiques qui sont : Interface d’accueil Tout utilisateur doit
s’authentifier avant d’accéder aux différentes fonctionnalités de l’application.
Cette interface permet l’authentification des utilisateurs.
 ~ - 65 - ~

Figure 14: Acceuil

Figure 15: Nouveau Produit

Interface d’authentification
Tout utilisateur doit s’authentifier avant d’accéder aux différentes fonctionnalités
de l’application. Cette interface permet l’authentification des utilisateurs ou créer
un compte.
 ~ - 66 - ~

Figure 16 authentication

Client pharmacien il peut commander plusieurs produits

Figure 17 commander produits

 ~ - 67 - ~

Interface panier

Figure 18panier

Interface moyenne de paiement

Figure 19: Paiement Mobile

 ~ - 68 - ~

Interface confirme votre paiement

Figure 20 confirme payement

Interface renvoi de message

Figure 21renvoi de message

 ~ - 69 - ~

Interface détails produits commander

Figure 22 menu générale

 ~ - 70 - ~

Interface administrateur

Figure 23 administrateur

Interface base données

Figure 24 Base de données

 ~ - 71 - ~

Quelques Codes sources

?php include 'inc/header.php'; ?>

<?php include 'inc/slider.php'; ?>

<div class="main">
<div class="content">
<div class="content_top">
<div class="heading">
<h3>Vente des Produits</h3>
</div>
<div class="clear"></div>
</div>
<div class="section group">
<?php
$getFpd = $pd->getFeaturedProduct();
if ($getFpd) {
while ($result = $getFpd->fetch_assoc()) {
?>
<div class="grid_1_of_4 images_1_of_4">
<a href="details.php?proId=<?php echo $result['productId'];
?>"><img src="admin/<?php echo $result['image']; ?>" alt="" /></a>
<h2><?php echo $result['productName']; ?></h2>
<p><span class="price"><?php echo $result['price'];
?></span></p>
<div class="button"><span><a href="details.php?proId=<?php
echo $result['productId']; ?>" class="détail">Detail</a></span></div>
</div>
<?php
}
} ?>
</div>
<div class="content_bottom">
<div class="heading">
<h3>Nouveau Produit</h3>
</div>
<div class="clear"></div>
</div>
<div class="section group">
<?php
$getNpd = $pd->getNewProduct();
if ($getNpd) {
while ($result = $getNpd->fetch_assoc()) {
?>
<div class="grid_1_of_4 images_1_of_4">
<a href="details.php?proId=<?php echo $result['productId'];
?>"><img src="admin/<?php echo $result['image']; ?>" alt="" /></a>
<h2><?php echo $result['productName']; ?></h2>
<p><span class="price"><?php echo $result['price'];
?></span></p>
<div class="button"><span><a href="details.php?proId=<?php
echo $result['productId']; ?>" class="details">Detail</a></span></div>
</div>

<?php
}
} ?>
 ~ - 72 - ~

</div>
</div>
</div>

<?php include 'inc/footer.php'; ?>

<?php include 'inc/header.php'; ?>

<?php
$login = Session::get("cuslogin");
if ($login == false) {
header("Location:login.php");
}

<?php include 'inc/header.php'; ?>

<?php
$login = Session::get("cuslogin");
if ($login == true) {
header("Location:order.php");
}
?>
<?php

if ($_SERVER['REQUEST_METHOD'] == 'POST' && isset($_POST['login'])) {

$custLogin = $cmr->customerLogin($_POST);
}
?>
<div class="main">
<div class="content">
<div class="login_panel">
<?php
if (isset($custLogin)) {
echo $custLogin;
}
?>
<h3>CLIENT EXISTANT</h3>
<p>Se connecter vous si vous avez un compte</p>
<form action="" method="post">
<input name="email" placeholder="Adresse Email" type="text"/>
<input name="pass" placeholder="Mot de passe" type="password"/>

<p class="note">si vous avez oublier votre mot de passe <a

href="#">cliqué</a></p>
<div class="buttons"><div><button class="grey" name="login">Se
connecter</button></div></div>
</div>
</form>
<?php

if ($_SERVER['REQUEST_METHOD'] == 'POST' && isset($_POST['register'])) {

$customerReg = $cmr->customerRegistration($_POST);
}
?>
<div class="register_account">
<?php
if (isset($customerReg)) {
echo $customerReg;
 ~ - 73 - ~

}
?>
<h3>Créer un Compte</h3>
<form action="" method="post">
<table>
<tbody>
<tr>
<td>

?php include 'inc/header.php'; ?>

<div class="main">
<div class="content">
<div class="content_top">
<div class="heading">
<h3>Latest from Iphone</h3>
</div>
<div class="clear"></div>
</div>
<div class="section group">
<div class="grid_1_of_4 images_1_of_4">
<a href="preview-3.php"><img src="images/feature-pic1.png"
alt="" /></a>
<h2>Lorem Ipsum is simply </h2>
<p>Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit</p>
<p><span class="price">$505.22</span></p>
<div class="button"><span><a href="preview.php"
class="details">Details</a></span></div>
</div>
<div class="grid_1_of_4 images_1_of_4">
<a href="preview-2.php"><img src="images/feature-pic2.jpg"
alt="" /></a>
<h2>Lorem Ipsum is simply </h2>
<p>Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit</p>
<p><span class="price">$620.87</span></p>
 ~ - 74 - ~

CONCLUSION GÉNÉRALE

Le but de notre travail consistait à développer un Site Web

Dynamique pour la vente des produites, Gestion et suivi de stock du dépôt
pharmaceutique. Cette solution devra permettre aux entreprises commerciales
telles que SHALINA, d’avoir une vue cohérente des ventes et des achats de leurs
produits. Pour y parvenir, le processus de développement UP nous a guidé tout au
long de la réalisation de ce travail c’est-à-dire de la capture des besoins jusqu’au
codage. Après avoir présenté les lignes directrices pour l’élaboration de notre
travail, nous avons présenté à la dépôt pharmaceutique SHALINA cette
présentation concernait entre autres son historique et sa structure fonctionnelle.
Ensuite nous avons aboutie à la critique de l’existant.

A cet effet des solutions ont été proposées. Cette étape a préparé celle
de la modélisation du futur système. Sur base des besoins exprimés dans la
critique de l’existant, nous avons formalisé les besoins des utilisateurs et définis
l’architecture de l’application informatique à l’aide des diagrammes UML.

Une solution informatique implique toujours le choix des ressources matérielles

et logicielles. C’est ainsi que nous avons présenté les outils de développement et
le langage de programmation ayant concouru à la réalisation de notre application,
puis s’en est suivi la présentation de quelques interfaces de l’application. En
définitive, nous pouvons dire que les solutions informatiques procurent un gain
en temps et en efficacité considérable.

Mais retenons que l’estime et la réussite totale de la solution proposée dans

ce travail dépendra du bon usage de cette dernière par les bénéficiaires.
 ~ - 75 - ~

BIBLIOGRAPHIE

1. OUVRAGES
CORSO, P., Gestion financière de l’entreprise, Paris, Dunod,1989, P. 127
Dépliant, présentation SHALINA, Kinshasa, 2018, p.3
Grady booch, James Rumbaught, Ivar Jacobson, le guide de l’utilisateur UML,
2000
Roques, Franck vallée et Pascal.2005. UML2 en action d’analyse des besoins
à la conception.4e Paris : Eyrolles, 2005.p.125
Roy, gilles.2009. Conception de bases de données avec l’UML. Québec: presse
universitaire du Québec 2009.p.532
S Soutou, olivier teste et christian.2007. UML2 pour la base de données. Paris;
Eyrolles, 2002.p.579
Soutou Christian, De l’UML à SQL Conception de base de données avec
UML.PARIS ; Eyrolles, 2002.p.385
Soutou, christian.2007, UML2 pour la base de donnees.2e. Paris : Eyrolles,
p.316
2. Articles
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télécommunications (liste de termes, expressions et définitions
adoptés) », Journal officiel de la République française no 0008 du 11
janvier 2018 [ lire en ligne [ archive]].
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le 29 juillet 23)
« téléphone intelligent » [ archive], Le Grand Dictionnaire
terminologique, Office québécois de la langue française.
Helmi GNICHI, Conception et réalisation d'une application de gestion des
marchés par appel d'offres au sein de l'Entreprise Tunisienne d'Activités
Pétrolières
https://www.editionseni.fr/open/mediabook.aspx?idR=64d7c46eeb667a5857c40
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L'empreinte environnementale des smartphones s'alourdit" [ archive], actu-
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 ~ - 76 - ~

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France Seuil, Paris, 1981, page 37.
Vous êtes déjà en 2024 : « Bientôt la 5G ! » [ archive], zdnet.fr, 25 février 2011.
www.agencewebgram.com/2023/09que-signifie-ionic-framwork-
et.html consulté le 15 nov 2023 à 23h25
www.etu.info.unicaen.fr/ cliquet/dess/corba/doc-fr/node3.html, »

3. NOTES DE COURS
Adolphe VUMA VUMA, Notes de Cours de recherche opérationnelle,
L1 BDD, ISIPA/Matadi, inédit, 2012-2013.
Boni KIBAMBE, Méthode de conduite des projets informatiques, éd.
Feu Torrent, Kinshasa, 2021, p.35
Charles KUTU, Support du cours d'évaluation des projets, éd. Feu
Torrent, Kinshasa 2014, p.18
M. BOKONGO, Notes du cours d'initiation à la recherche scientifique,
inédites, UPN, G1GI, 2015-2016
Note cour par professeur KABEYA L2 2021-2022
Professeurs KAPENGA, Notes de cours, rechercher scientifiques, 2e
graduat informatique, UPN,2019
Richard KITONDUA, Notes de cours, conception et système
d’information, 1e Licence informatique de gestion, UPN, 2020
Richard KITONDUA, Notes de cours, conception et système
d’information, 1e Licence informatique de gestion, UPN, 2021
Roy Gilles, conception d’une base de données avec UML, 2009.p.530

4. WEBOGRAPHIE
https://agence-scroll.com/blog/avantages-et-inconvenients-dune-application-
web
https://fr.wikipedia.org/wiki/Application_web
https://fr.yeeply.com/blog/5-types-developpement-d-applications-web
https://groupeshift.ca/fr/blog/qu-est-ce-qu-une-application-web/
https://wikimemoires.net/2019/12/le-systeme-client-serveur-et-types-
darchitectures-reseaux/
https://www.universalis.fr/dictionnaire/developpement/
http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/Solution/fr-fr/
https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/numerique/
 ~ - 77 - ~

https://codingthesmartway.com/ionic-5-project
structure/ https://fr.wikipedia.org/wiki/WordPress le 12 mars 2023 à 16h35'
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/notification/55059
https://www.universalis.fr/dictionnaire/developpement/
http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/Solution/fr-fr/
https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/numerique/
https://codingthesmartway.com/ionic-5-project
structure/ https://fr.wikipedia.org/wiki/WordPress le 12 mars 2023 à 16h35'
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/notification/55059
https://www.techno-science.net/definition/3743.html
https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Application-Web.html

5. Dictionnaires

Le petit Robert Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française

Normandie, Roto Impression, paris, 2012
38 Dictionnaires indispensables
Microsoft Encarta Junior 2009 Collection
Dictionnaire français, le petit Larousse illustré
Précis de grammaire française
Dictionnaire francophone universel
Jargon informatique version 1.3.6, 2006.
http://www.commentcamarche.net, 21/01/2023
http://www.developpez.com, 13/04/2023
http://worldserver2.oleane.com, 14/05/2023
http://www.bestcours.com, 21/05/2023
http://www.uml.org, 02/06/2023
https://openclassrooms.com (consulté 7 Juin 2023 à 20h17)
https://openclassrooms.com, 10/04/2023
www.Larousse.fr/Dictionnaire, consulté Jeudi, 1er/04/2023
 ~ 78 ~

TABLE DES MATIERES

ÉPIGRAPHE .......................................................................................................... i
Dédicace ................................................................................................................ ii
REMERCIEMENTS ............................................................................................ iii
LISTE DES FIGURES ET TABLEAUX ............................................................. v
LISTE DES ABREVIATIONS ............................................................................ vi
0. INTRODUTION .......................................................................................... - 1 -
1. CONTEXTE DU TRAVAIL .................................................................. - 1 -
2. PROBLEMATIQUE ............................................................................... - 2 -
3. HYPOTHESE ......................................................................................... - 3 -
4. ETAT DE LA QUESTION..................................................................... - 4 -
5. OBJECTIF .............................................................................................. - 4 -
6. CHOIX ET INTÉRÊT DU SUJET ......................................................... - 5 -
6.1. CHOIX DU SUJET .......................................................................... - 5 -
6.2. Intérêt du sujet .................................................................................. - 6 -
7. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES ...................................... - 6 -
8. DELIMITATION DU SUJET ................................................................ - 7 -
9. SUBDIVISION DU TRAVAIL.............................................................. - 8 -
CHAPITRE I : CONCEPTS THEORIQUES .................................................. - 9 -
SECTION.1 Application web ....................................................................... - 9 -
1.1. Introduction ...................................................................................... - 9 -
1.2. Définition .......................................................................................... - 9 -
1.3. Fonctionnement d’une application web ......................................... - 10 -
1.4. Architecture .................................................................................... - 10 -
1.5. Caractéristique ................................................................................ - 11 -
1.6. Type d’une application web ............................................................. - 12 -
1.7. Avantages et désavantages ................................................................ - 12 -
1.8. Technologique d’une application web .............................................. - 13 -
SECTIONS 2 ARCHITETURE CLIENT SERVEURS ............................. - 16 -
2.1. Introduction ....................................................................................... - 16 -
 ~ 79 ~

2.2. Définition .......................................................................................... - 16 -

2.3. Fonctionnement ................................................................................. - 17 -
2.4. CARACTERISTIQUES ................................................................... - 17 -
2.5. AVANTAGES ET INCONVENIENTS ........................................... - 17 -
2.6. TYPE D’ARCHITECTURE CLIENT SERVEUR .......................... - 18 -
2.7. PROTOCOL...................................................................................... - 20 -
2.8. Les méthodes..................................................................................... - 21 -
SECTIONS 3 E-COMMERCE ................................................................... - 22 -
3.1. Introduction ....................................................................................... - 22 -
3.2. Historique sue le E-Commerce ......................................................... - 23 -
3.7.1. Le commerce indépendant organisé ........................................... - 25 -
3.7.2. Le commerce intégré.................................................................... - 26 -
3.7.3. Le commerce indépendant isolé.................................................. - 26 -
CHAPITRE II : ETUDE D’OPPORTUNITE ENTREPRISE ....................... - 33 -
II.1. Objet social .......................................................................................... - 33 -
II.2. HISTOIRE DE SHALINA .................................................................. - 33 -
II.3. Perspective d’avenir ............................................................................ - 34 -
II.4. Objectif de l’entreprise ........................................................................ - 34 -
II.4. ORGANISATION STRUCTURELLE ET FONCTIONNELLE I. .... - 34 -
II.4.2. ORGANISATION FONCTIONNELLE .......................................... - 35 -
CHAPITRE III : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTÈME .................... - 43 -
III.1. INTRODUCTION.............................................................................. - 43 -
III.2. NARRATION .................................................................................. - 43 -
III.3. OUTILS DE MODELISATION ........................................................ - 44 -
III.3.1. Langage de modélisation UML ................................................... - 44 -
III.3.2. Historique UML .......................................................................... - 44 -
III.3.3. Type de relation en UML ............................................................ - 44 -
III.3.4. DETAIL SUR L’UML ................................................................. - 45 -
III.4. Modélisation proprement dite ............................................................ - 46 -
 ~ 80 ~

III.4.1. Qu’est-ce qu’un modèle .............................................................. - 46 -

III.4.2. CARACTERISTIQUE FONDAMENTALES DES MODELES - 46 -
III.5. COMMENT MODELISER AVEC UML ....................................... - 46 -
III.5.1. PROPOSITION DE MODELISER AVEC UML ...................... - 46 -
III.5.2. UNE DEMARCHE ITERATIVE ET INCREMENTALE .......... - 47 -
III.6. Utilisation de diagrammes UML...................................................... - 48 -
III.6.1. Définition d’un diagramme ......................................................... - 48 -
III.6.2. Caractéristiques des diagrammes ................................................. - 48 -
III.6.3. Les différents types de diagrammes UML ................................... - 48 -
III.7. Conception du Système D’information Statique .............................. - 49 -
III.8. Conception d’un système d’information dynamique ........................ - 50 -
III.9. Méthode UP : UNIFIED PROCESS (en français Processus Unifié) - 52 -
III.9.1. Présentation d’UP ....................................................................... - 53 -
III.9.2. Les phases et les disciplines d’UP .............................................. - 53 -
III.9.3. DIAGRAMME DE CAS UTILISATIONS ................................. - 55 -
III.9.4. DIAGRAMME DE SEQUENCE ................................................ - 56 -
III.9.5. DIAGRAMME DE PLOIEMENT .............................................. - 60 -
CHAPITRE IV : IMPLÉMENTATION D’UN PORTAIL WEB ................. - 62 -
Ⅳ.1 INTRODUCTION .............................................................................. - 62 -
Ⅳ.2 CHOIX DES OUTILS DE DEVELOPPEMENT .............................. - 62 -
Ⅳ.3 Choix du langage de programmation .................................................. - 63 -
CONCLUSION GÉNÉRALE ........................................................................ - 74 -
BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................... - 75 -