Romane Letot
Travail de physique sur le GSM et la santé
1.Article de journal non-scientifique
« La 5G ne présente « pas de risques nouveaux » selon l’Anses, qui recommande de
poursuivre les recherches »
https://www.lemonde.fr/economie/article/2021/04/20/5g-pas-de-risques-nouveaux-selon-l-anses-
qui-recommande-de-poursuivre-les-recherches_6077414_3234.html
La nouvelle génération de réseaux mobiles 5G en cours de déploiement ne présente « pas de
risques nouveaux » pour la santé, au vu des données actuellement disponibles, a estimé, mardi
20 avril, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), dans un avis très attendu sur cette
technologie controversée.
Le déploiement de cette cinquième génération du mobile, commencé au début de l’année, a
déclenché des polémiques, alimentées par les propos du président Emmanuel Macron qui avait
comparé les sceptiques aux « Amish » prônant un « retour à la lampe à huile ».
Les appels à un moratoire en attendant l’avis de l’Anses, saisie début 2019 par le gouvernement,
s’étaient pourtant multipliés, certaines municipalités ayant même souhaité, voire voté comme à
Lille, de telles mesures pour leur territoire.
L’avis arrive donc dans un contexte que l’agence qualifie elle-même de « controverse publique »,
d’autant que l’Anses avait déjà relevé dans un pré-rapport en janvier 2020 le manque de données
scientifiques disponibles.
Poursuivre les recherches
Mais en s’appuyant notamment sur des travaux réalisés sur les fréquences utilisées pour les
précédentes générations de téléphonie (700 MHz à 2,5 GHz) et qui servent également pour la 5G,
l’agence estime « peu vraisemblable, à ce stade, que le déploiement de la 5G dans la bande de
fréquence autour de 3,5 GHz constitue un nouveau risque pour la santé ».
Concernant l’exposition à la bande des 26 GHz, également utilisée pour la 5G mais pas encore
attribuée en France, l’Anses estime qu’« à l’heure actuelle les données ne sont pas suffisantes pour
conclure à l’existence ou non d’effets sanitaires ».
L’avis recommande donc de poursuivre les recherches sur l’exposition aux diverses fréquences
d’ondes et leurs éventuelles conséquences sanitaires.
Dans un communiqué conjoint, les ministres concernés (écologie, économie, santé, numérique) ont
estimé que le rapport de l’Anses « conforte les choix du gouvernement sur le lancement de la 5G »
et se sont engagés à « renforcer les efforts de recherche sur (…) d’éventuels effets sanitaires »,
notamment sur la bande des 26 GHz.
Une multitude de possibilités
« Suivre l’exposition est extrêmement important », souligne Olivier Merckel, chef de l’unité
d’évaluation des risques liés aux agents physiques à l’Anses, d’autant que « l’on ne sait pas encore
quels seront les nouveaux usages dont les utilisateurs vont s’emparer ». (...)
1
2.résultat d’une étude scientifique
Titre :« Études épidémiologiques de la relation entre l’utilisation de téléphones cellulaires
et les tumeurs cérébrales : examen des données probantes »
CONCLUSION : Dans l’ensemble, les études épidémiologiques réalisées jusqu’ici ne
fournissent pas de preuves incontestables d’une association entre le risque de cancer de
l’encéphale et l’utilisation de téléphones cellulaires. Les quelques associations positives
signalées sont sujettes à certaines limitations méthodologiques. En conséquence, il faut mener
des recherches épidémiologiques plus poussées pour mettre en évidence le risque de tumeurs
cérébrales cancéreuses éventuellement associé à l’utilisation de téléphones cellulaires
16 juin 2008
Rédigé pour
le Centre de collaboration nationale en santé environnementale, Centre de contrôle des
maladies de la Colombie-Britannique, Vancouver (Colombie-Britannique)
par
Michelle C. Turner, M.Sc.
Brian Habbick, MB ChB, FRCPC, FRCP(Glas), MRCP(Lond)
Daniel Krewski, Ph. D., M.G.S.S.
Risk Sciences International Inc.
Pour renseignements : Greg Paoli
1, rue Stewart, pièce 318B, Ottawa (Ontario) Canada K1N 6N5
Téléphone : 613-260-1424, courriel : [email protected]
Ce document a été réalisé grâce à l’apport financier de l’Agence de la santé publique du Canada par
l’intermédiaire du Centre de
collaboration nationale en santé environnementale. Les opinions qui y sont exprimées ne
représentent pas nécessairement celles de
l’Agence de la santé publique du Canada ou du Centre de collaboration nationale en santé
environnementale
2
3.WalOnMap
3
4.Réponse aux questions
Q1 : Les nouvelles bandes qui seront utilisées pour la 5G :3,5 GHz
Q2 : four micro-ondes entre 800 et 1000W > antenne relaie de 20 W > puissances GSM 2W
Q3 : Ce sont les effets thermiques et les effets athermique
Q4 : La 5G c’est bien parce que c’est plus rapide que la 4G et elle a plus de capacité de transfert de
données et la latence du téléphone est moindre.
Q5 :La 5G c’est mal parce qu’on a déjà la 4G et on vit bien avec alors pourquoi faire plus ? En plus,
ce n’est absolument pas bien pour l’environnement et on va devoir construire des milliers de
nouvelles antennes pour pouvoir la déployer ce qui rajoute encore plus de pollution visuelle.