Alimentation Et Prévention de L'obésité 1
Alimentation Et Prévention de L'obésité 1
Sujet
Alimentation et prévention de l’Obésité
Preparé par:
MOHAMMED YASSINE RIFAI.
El MEHDI ELFALAKI.
IKRAM EL RHOZLANE .
IKRAM LMOU . Encadré par:
Bouchra Nabil
INTRODUCTION ................................................................................................ 1
I .Définition de l’Obésité : ................................................................................ 2
Il. Les causes et les consequences de l obésité ................................................... 3
1. Les causes de l’obésité : ............................................................................... 3
2. Les consequences de l’obesité : .................................................................... 7
III. La prévention et les traitements de l'obésité ............................................. 8
IV. Les types de Régimes Alimentaires pour Éviter l’Obésité ...................... 10
1.Le régime méditerranéen : .......................................................................... 10
2.Le régime paléolithique,............................................................................... 10
3.Le régime cétogène ....................................................................................... 11
4 .La chrononutrition ...................................................................................... 12
5.Le régime Dukan .......................................................................................... 13
V. Analyse statistique de l'obésité au maroc ................................................... 14
VI. Stratégie nationale Pris par le Maroc pour réduire l'obésité ..................... 18
Conclusion .......................................................................................................... 19
Liste des figures
Figure 1 des niveau imc de l obésité .................................................... Error! Bookmark not defined.
Figure 2 : Maladies cardiovasculaires .................................................. Error! Bookmark not defined.
Figure 3 : photo de les chirurgies obstructive et restrictive malabsorptive......... Error! Bookmark not
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Figure 4 : Comparaison entre les hommes et les femmes au niveau de taux d'obeisite et surpoid
.............................................................................................................. Error! Bookmark not defined.
au maroc ............................................................................................... Error! Bookmark not defined.
Figure 5: Comparaison entre les different age au niveau de taux d'obeisité au maroc ................. Error!
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Figure 6: Comparaison entre milieu Rural et urbain au niveau d'obeisité .......... Error! Bookmark not
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Figure 7 : Comparaison entre les enfant et les adulte au niveau d'obeisité ......... Error! Bookmark not
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Liste des tableaux
Tableau 1 : Comparaison entre les hommes et les femmes au niveau de taux d'obeisite et surpoid ...... 14
Tableau 2 : Comparaison entre les different age au niveau de taux d'obeisité ....................................... 15
Tableau 3 : Comparaison entre milieu Rural et urbain au niveau d'obeisité .......................................... 16
Tableau 4 : Comparaison entre les enfant et les adulte au niveau d'obeisité .......................................... 17
INTRODUCTION
Alors, pourquoi devient-on « gros » ? Qu’est-ce qui provoque ces prises de poids, quelles
sont les causes de l’obésité et du surpoids ? À première vue, la question peut paraître triviale : si
l’on grossit, c’est que l’on mange trop, tout simplement, non ? En effet, le surpoids et l’obésité
sont intimement liés à nos comportements alimentaires. Mais les causes de ces pathologies sont
en fait plus complexes : à la fois alimentaires, liées à nos modes de vie, à notre environnement
social et économique, et bien d’autres facteurs
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I .Définition de l’Obésité :
L’obésité est une maladie chronique caractérisée par une accumulation excessive ou anormale de
graisse corporelle, qui peut nuire à la santé. Elle est généralement mesurée par l’Indice de Masse
Corporelle (IMC), une méthode utilisée pour évaluer si une personne a un poids sain par rapport à sa
taille. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), une personne est considérée comme obèse
lorsque son IMC est égal ou supérieur à 30 kg/m².
Les graisses (et autres lipides), tout comme les sucres (glucides), servent à stocker l'énergie dans le
corps. Les sucres fournissent une énergie rapidement utilisable, les graisses permettent de stocker
beaucoup d'énergie dans peu d'espace.
La graisse est stockée dans des cellules appelées lipocytes ou adipocytes. En cas de stock important,
on distingue deux situations :
Les évaluations courantes de l'obésité font intervenir la masse (que l'on appelle souvent le « poids »)
et la taille.
Le principal indicateur de mesure utilisé est l'indice de masse corporelle (IMC). Il tient compte de la
morphologie de l'individu même s'il peut être exceptionnellement biaisé dans le cas de sportifs avec une
masse musculaire très importante.
Pour les adultes, l'indice de masse corporelle est égal à la masse (exprimée en kilogrammes) divisée
par le carré de la taille de la personne (en mètres) :
Cela dit il ne faut pas confondre l'I.M.C avec l'indice de masse graisseuse, qui lui ne prend pas mesure
de la proportionnalité entre taille et poids mais simplement du taux de graisse et de muscle contenu dans
le corps de l'individu.
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Figure 1 des niveau imc de l obésité
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b) la charge glycémique de repas .
La charge glycémique désigne la propension d’un aliment à faire monter rapidement le glucose
sanguin après un repas. Un aliment avec une forte charge glycémique contient généralement
beaucoup de glucides (c’est-à-dire l’ensemble des « sucres », y compris les sucres dits « complexes
») et a un index glycémique élevé, ce qui signifie que ces glucides sont absorbés facilement et
rapidement par l’organisme lors de la digestion. Les aliments à forte charge glycémique regroupent
les aliments sucrés, mais aussi les féculents comme les céréales, les farines, pains, pommes de terre,
notamment lorsqu’ils sont raffinés, c’est-à-dire transformés pour être débarrassés de leurs fibres.
Certaines maladies ou certains médicaments peuvent aussi entraîner des prises de poids, voire
contribuer au surpoids et à l’obésité. Des pathologies comme la Maladie de Cushing, qui augmente
la sécrétion de cortisol, l’hypothyroïdie sévère, ou certaines formes de syndromes des ovaires
polykystiques, qui agissent sur la sensibilité à l’insuline, peuvent ainsi avoir un effet nocif sur le
métabolisme et favoriser la prise de poids. Les maladies ou pathologies qui affectent la mobilité des
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personnes peuvent aussi favoriser l’obésité en entraînant une sédentarité forcée. Ces maladies sont
des facteurs de risques, mais leurs effets peuvent-être modérés grâce à une alimentation adaptée. Et
globalement, ces conditions médicales restent rares, et elles n’expliquent pas la prévalence actuelle
de l’obésité.
L’usage de certains médicaments peut aussi favoriser la prise de poids en modifiant notre
métabolisme. C’est notamment le cas des anti-dépresseurs, de certains stéroïdes ou de corticoïdes. Là
encore, il s’agit de causes secondaires, pour lesquelles la prise de poids peut être évitée grâce à une
prise en charge adaptée et à une modification de l’alimentation et des modes de vie.
f) La génétique
Enfin, la génétique peut aussi jouer un rôle en matière de prise de poids et de risques de surpoids
ou d’obésité. Pour être précis, certaines variantes génétiques favorisent la prise de poids. Mais
contrairement à une idée de plus en plus répandue dans l’espace public, l’obésité n’est une pathologie
transmise génétiquement, dans le sens il n’existe pas un ou des gènes qui donnent l’obésité comme
des gènes donneraient les yeux bleus.
À l’heure actuelle, les chercheurs qui étudient ce sujet ont identifié deux grands types de liens
entre gènes et obésité. On parle d’un côté d’obésité monogénique, et de l’autre, d’obésité
polygénique. L’obésité monogénique désigne des formes très rares d’obésité (moins de 3 à 5% des
personnes obèses), associées à des mutations sur des gènes uniques, qui prédisposent à l’obésité.
Ainsi, on sait que des mutations sur certaines gènes qui codent les hormones de la faim et de la satiété
prédisposent fortement à l’obésité, en favorisant les troubles du comportements alimentaires. Mais
ces mutations sont rares, et participent le plus souvent à des formes extrêmes et très précoces d’obésité
: obésité avant 10 ans, Indice de Masse Corporelle (IMC) supérieurs à 35.
L’obésité polygénique, elle, désigne des formes plus communes d’obésité, en partie liées à des
mutations sur une série de gènes qui provoquent un métabolisme favorable à la prise de poids. En
gros, on retrouve chez les personnes obèses ou en fort surpoids certaines mutations génétiques, qui
affectent par exemple la régulation du glucose, la sensibilité à l’insuline, le stockage graisseux,
l’appétit… Près d’une centaine de mutations génétiques ont été identifiées par la littérature récente
comme des mutations augmentant le risque de développer une forme de surpoids ou d’obésité.
De nombreuses études montrent aussi que le manque de sommeil est un facteur de risque de prise
de poids. L’association entre une durée de sommeil faible et une masse corporelle supérieure ou un
risqu d’obésité accru est bien identifié chez les personnes âgées, ainsi que chez les enfants. Les
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résultats des études menées sur les adultes d’âge moyen sont plus mitigés, probablement à cause d’un
manque de données de qualité.
Il existe de nombreuses données montrant que le manque de sommeil favorise les modes de vie
et les comportements à risque du point de vue de la prise de poids. Par exemple, les individus qui
dorment le moins tendent aussi à être les plus sédentaires et les moins actifs physiquement. Un temps
de sommeil court engendre de la fatigue physique et mentale qui pourrait inciter à être moins actif en
journée.
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2. Les consequences de l’obesité :
a. Maladies cardiovasculaires
Risque accru d'hypertension artérielle : L'excès de graisse surcharge le cœur, augmentant la pression
dans les artères.
Athérosclérose et insuffisance cardiaque : Les dépôts graisseux dans les vaisseaux sanguins
réduisent le flux sanguin, augmentant le risque de crises cardiaques ou d'accidents vasculaires
cérébraux (AVC).
b. Diabète de type 2
L'obésité perturbe la régulation de l'insuline, provoquant une résistance à cette hormone. Cela conduit
à une hyperglycémie chronique, une caractéristique clé du diabète de type 2.
Certaines formes de cancers sont directement liées au surpoids, comme les cancers du sein (post-
ménopause), du côlon, du pancréas et du foie.
d. Troubles digestifs
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Maladies hépatiques : L'obésité est une cause principale de la stéatose hépatique non alcoolique, qui
peut évoluer en cirrhose ou cancer du foie.
e. Problèmes neurologiques
Risque accru d’AVC : L'obésité favorise les facteurs de risque comme l’hypertension et
l’athérosclérose.
Démence et troubles cognitifs : Les recherches indiquent une association entre l'obésité et un déclin
cognitif accéléré.
Les obèses risquent davantage de souffrir d'apnée du sommeil, d'asthme et d'insuffisance respiratoire
liée à une surcharge pondérale sur le diaphragme
La perte de poids doit s'effectuer de manière raisonnée ; une alimentation équilibrée et une pratique
sportive régulière permettent de maigrir de façon progressive sans mettre en danger physique et
psychique la personne concernée.
Le traitement de l'obésité par la chirurgie (ou chirurgie "bariatrique") s'adresse aux personnes adultes
souffrant d'une obésité dite "massive" ou "morbide" (IMC supérieur ou égal à 40) ou "sévère" (IMC
supérieur ou égal à 35), combinée à une maladie
Ces personnes doivent justifier de plusieurs tentatives infructueuses de perte de poids et ne doivent
pas présenter de contre-indications médicales et avoir un accompagnement psychologique.
Les chirurgies restrictives qui réduisent la taille de l'estomac (anneau gastrique, gastrectomie
en manchon, gastroplastie verticale calibrée) ;
Les chirurgies restrictives et “malabsorbatives” qui réduisent la taille de l'estomac et
diminuent l'assimilation des aliments par l'organisme ("bypass", dérivation bilio-
pancréatique).
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Figure 3 : photo de les chirurgies obstructive et restrictive malabsorptive
La chirurgie de l'estomac n'est pas sans risques et le patient doit avoir un suivi post opératoire
régulier. La chirurgie ne sera efficace que si la personne opérée adopte de bonnes habitudes
alimentaires et modifie son hygiène de vie. Il est important d'effectuer un travail psychologique
sur soi afin d'apprendre à vivre avec une nouvelle image.
3) Le traitement de l'obésité grâce aux médicaments
À ce jour, il n'existe pas de traitements médicamenteux miracles contre l'obésité.
Certains médicaments permettent cependant d'aider à la perte de poids et de limiter l'absorption des
graisses alimentaires par l'organisme. Ils doivent faire l’objet d’une prescription médicale, dans le
cadre d’indications très précises.
De plus, leur prise doit être combinée à une alimentation équilibrée
4) Prévention de l'obésité : les bons réflexes à prendre
La prévention de l'obésité est l'une des priorités de santé publique. Un "Plan National Nutrition Santé"
a été mis en place depuis quelques années afin de prévenir l'obésité.
Au quotidien, il est recommandé d'adopter certains gestes:
Pratiquer une activité sportive régulière : 30 minutes de sport par jour permettent de réduire les risques
de maladies cardiovasculaires et de diabète. Une pratique sportive plus soutenue peut-être nécessaire en
cas de surpoids avéré. Pour les enfants, le temps d’activité devrait être d’au moins 1 heure par jour ;
Avoir une alimentation diversifiée et équilibrée ;
Limiter sa consommation de graisses saturées ;
Limiter sa consommation de sucres et de sel ;
Consommer des fruits et des légumes quotidiennement ;
Augmenter la consommation de calcium chez les enfants ;
Suivre régulièrement l'évolution de la courbe de poids des enfants et des adolescents est un moyen de
prévention contre l'obésité.
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IV. Les types de Régimes Alimentaires pour Éviter l’Obésité
1.Le régime méditerranéen :
également appelé diète méditerranéenne, est un modèle alimentaire traditionnel des pays bordant
la mer Méditerranée, notamment la Grèce, l’Italie et l’Espagne. Il est reconnu pour ses bienfaits sur
la santé cardiovasculaire et la longévité.
Caractéristiques principales :
a. Aliments de base :
b. Habitudes alimentaires :
c. Bienfaits :
Caractéristiques principales :
a. Aliments autorisés :
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• Graisses saines, comme celles provenant des avocats, des noix, et de l’huile de coco.
b. Aliments exclus :
c. Objectif :
d. Critiques :
• Certains experts estiment qu’il est difficile à suivre sur le long terme et qu’il exclut des
groupes alimentaires importants, comme les céréales complètes et les légumineuses, qui ont des
bénéfices prouvés.
est un modèle alimentaire très faible en glucides, modéré en protéines et riche en lipides. Il vise à
induire un état métabolique appelé cétose, dans lequel le corps utilise les graisses comme
principale source d’énergie au lieu des glucides.
Caractéristiques principales :
• Lipides : 70-80 % des calories totales (huile d’olive, avocat, beurre, noix).
b. Aliments autorisés :
c. Aliments exclus :
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• Sucreries, sodas, fruits riches en sucres (comme les bananes).
d. Bienfaits potentiels :
e. Risques et précautions :
• Déconseillé sans suivi médical, notamment pour les personnes ayant des problèmes
rénaux ou hépatiques.
4 .La chrononutrition
est une approche alimentaire basée sur l’idée que la répartition des aliments dans la journée doit
respecter le rythme biologique et métabolique du corps. Ce concept repose sur le fonctionnement
de l’horloge interne et sur les variations hormonales au fil de la journée.
Principes de la chrononutrition
• Petit-déjeuner (gras) : Riche en lipides pour répondre aux besoins énergétiques matinaux
(fromage, beurre, pain complet).
• Goûter (sucré) : Apport en glucides rapides et gras végétaux pour combler une baisse
d’énergie (fruits, chocolat noir, oléagineux).
• Dîner (léger) : Repas pauvre en calories pour faciliter la digestion et le sommeil (poisson,
légumes légers).
b. Fondement scientifique :
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c. Objectifs :
a. Phase d’attaque :
b. Phase de croisière :
c. Phase de consolidation :
• Réintroduction contrôlée des glucides complexes (pain complet, fruits) et des repas de
“fête” occasionnels.
d. Phase de stabilisation :
• Reprise d’une alimentation normale avec quelques règles permanentes (un jour par
semaine de protéines pures, consommation régulière de son d’avoine).
Avantages :
Inconvénients :
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• Déséquilibres nutritionnels possibles (manque de fibres, vitamines et minéraux).
Prévalence nationale:
- 53 % présentent un surpoids, avec une proportion plus élevée chez les femmes.
- Évolution dans le temps : Le taux d’obésité est passé de 13,2 % (2000) à 20 % (2017), soit une
augmentation de 7 points.
- Milieu de vie:
Figure 4 : Comparaison entre les hommes et les femmes au niveau de taux d'obeisite et surpoid
au maroc
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Description:
- Les femmes sont près de trois fois plus touchées par l’obésité que les hommes.
Figure 5: Comparaison entre les different age au niveau de taux d'obeisité au maroc
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Description:
- La diminution après 70 ans peut être due à des maladies chroniques ou des régimes spécifiques.
Description:
- En milieu urbain, le taux d'obésité est plus élevé en raison des modes de vie plus sédentaires et
des habitudes alimentaires moins saines.
- En milieu rural, bien que les taux soient plus bas, une augmentation rapide de l'obésité est
observée due à l'adoption de nouveaux comportements alimentaires.
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Comparaison Enfants vs Adultes
Description :
- Les enfants montrent une tendance croissante vers l’obésité, influencée par les habitudes
alimentaires et le manque d’activité physique.
- Les adultes, en particulier ceux entre 30-59 ans, sont plus affectés en raison de la sédentarité et
des habitudes alimentaires accumulées sur plusieurs décennies.
Ces descriptions offrent une vue détaillée des différentes dimensions de l'obésité au Maroc
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VI. Stratégie nationale Pris par le Maroc pour réduire l'obésité
le Maroc a mis en place plusieurs précautions et plans dans le cadre de sa Stratégie Nationale
Multisectorielle de Nutrition 2024-2030, comme suit :
Élimination des acides gras trans industriels des produits alimentaires, en suivant les
recommandations de l'OMS.
Formation de professionnels pour mieux informer sur les risques liés au surpoids.
5. Surveillance et suivi :
Mise en place d’un système national de surveillance pour suivre l’évolution de la prévalence de
l’obésité et ajuster les interventions.
Objectifs spécifiques :
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Conclusion
L'obésité, en constante augmentation à travers le monde, est bien plus qu'une simple question
de surpoids ; elle reflète des déséquilibres profonds dans nos modes de vie, nos systèmes
alimentaires et nos environnements sociaux. Ses impacts sur la santé, l'économie et la qualité de
vie en font une priorité de santé publique urgente.
En définitive, relever ce défi demande une approche proactive et concertée, car c'est en
investissant aujourd'hui dans la prévention que nous pourrons bâtir un avenir en meilleure santé
pour tous
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Reference
https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Obesite.html
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/obesity-and-overweight
1.La diète méditerranéenne a été inscrite en 2010 sur la liste du patrimoine culturel immatériel
de l’humanité de l’UNESCO, en reconnaissance de son rôle dans la promotion de la santé et du
bien-être.
2.Le régime paléo a été popularisé par des chercheurs comme le Dr. Loren Cordain dans son
livre The Paleo Diet (2002), basé sur des études anthropologiques et nutritionnelles.
3.Freeman et al., 2006. The efficacy of the ketogenic diet in refractory epilepsy. Lancet
Neurology.
Paoli et al., 2013. Beyond weight loss: a review of the therapeutic uses of very-low-carbohydrate
(ketogenic) diets. European Journal of Clinical Nutrition.
4.Concept développé par le Dr. Alain Delabos dans les années 1990.
Étude scientifique : Garaulet M. et al., Timing of food intake predicts weight loss effectiveness,
International Journal of Obesity, 2013.
5.Pierre Dukan, Je ne sais pas maigrir, 2000.
.Critique scientifique : Thomas D., “High-protein diets and potential health risks,” Nutrition &
Metabolism, 2006.
Études sur les régimes hyperprotéinés : Wycherley TP et al., “Effects of energy-restricted high-
protein, low-fat diets,” American Journal of Clinical Nutrition, 2012.
Les données et analyses présentées proviennent de sources fiables et reconnues, telles que les études
du *Ministère de la Santé, de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS)*, et d'autres
organismes internationaux.
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