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Ahmed Zeghal
Année 2023-24
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Ahmed Zeghal Université Abdelmalek Essaadi
Plan du cours.
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
card(P(X)) = 2card(X) .
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
A \ B := A ∩ Bc = {x ∈ X : x ∈ A et x 6∈ B},
A∆B := (A \ B) ∪ (B \ A).
A∆B = (A ∪ B) \ (A ∩ B).
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
v)
\Soient[ I un ensemble non vide et (Ai )i∈I une famille de P(X). On définit
Ai et Ai , respectivement par,
i∈I i∈I
\ [
x∈ Ai ⇐⇒ (∀ i ∈ I) x ∈ Ai , x∈ Ai ⇐⇒ (∃ i0 ∈ I) x ∈ Ai0 .
i∈I i∈I
Exo 3. Soient I un ensemble non vide, (Ai )i∈I une famille de P(X) et
A ⊂ X.
1. Vérifier les lois de Morgan
!c !c
\ [ [ \
c
Ai = Ai et Ai = Aci .
i∈I i∈I i∈I i∈I
2. Vérifier que
! !
\ [ [ \
A\ Ai = (A \ Ai ) et A\ Ai = (A \ Ai ) .
i∈I i∈I i∈I i∈I
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
vi)
a. Un ensemble est dit dénombrable s’il est en bijection avec une partie de
l’ensemble N.
b. Un ensemble infini dénombrable est en bijection avec l’ensemble N.
c. Tout produit fini d’ensembles dénombrables est dénombrable. Pour
montrer que N × N est dénombrable. En effet, l’application
N × N 3 (m, n) 7→ 2n (2m + 1) ∈ N
est injective.
d. L’ensemble Q est dénombrable. Il suffit de remarquer que tout élément
de r ∈ Q s’écrit d’une manière unique de la forme r = pq avec p ∈ Z et
q ∈ N∗ avec p ∧ q = 1 et que l’application
p
Q 3 r = 7→ (p, q) ∈ Z × N∗
q
est injective.
e. Une réunion dénombrable d’ensembles dénombrables est dénombrable.
f. P(N) = 2N n’est pas dénombrable.
g. Si a < b, alors l’intervalle ]a, b[ n’est pas dénombrable.
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
Exo. 4. Soit (An )n∈N une famille (ou suite) de P(X). On pose
n−1
!c
\ [
Bn = An Ak et B0 = A0 .
k=0
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
∞
[ \
lim inf An := sup(inf Ak ) = Ak ,
n n≥0 k≥n n=0 k≥n
∞
\ [
lim sup An := inf (sup Ak ) = Ak .
n n≥0 k≥n
n=0 k≥n
Il est clair que lim inf An ⊂ lim sup An . D’après les lois de Morgan,
n n
c c
lim sup Acn = lim inf An et lim inf Acn = lim sup An .
n n n n
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
∞
\
lim An = An .
n
n=0
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1.1. Rappels élémentaires sur les opérations sur les ensembles.
viii)
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1.2. Tribu-Espace mesurable.
Exemples. 1. T1 = {∅, X} est la plus petite tribu sur X, dite tribu grossière.
2. T2 = P(X) est la plus grande tribu sur X, dite tribu discrète.
3. Si X = {a, b}, alors il n’existe que deux tribus sur X :
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1.2. Tribu-Espace mesurable.
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1.2. Tribu-Espace mesurable.
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1.2. Tribu-Espace mesurable.
Définition 2.2.
Une topologie sur un ensemble X est une famille T ⊂ P(X) de parties de X
telle que :
(i) ∅, X ∈ T ,
n
\
(ii) Si O1 , ..., On ∈ T , alors Oi ∈ T ,
i=1
Si (Oi )i∈I est une famille quelconque d’éléments de T , alors
(iii) [
Oi ∈ T .
i∈I
Les éléments de T s’appellent les ouverts de X, et on dit que (X, T ) est un
espace topologique.
Si O est un ouvert, alors F = Oc est un fermé.
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1.2. Tribu-Espace mesurable.
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1.2. Tribu-Espace mesurable.
Proposition 2.2
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1.3. Mesures Positives.
Définition 3.1.
Soit (X, T ) un espace mesurable. On appelle mesure positive sur (X, T ) une
application
+
µ : T −→ [0, +∞] = R
vérifiant les deux propriétés suivantes :
i) µ(∅) = 0 ,
ii) Si (An )n∈N est une famille dénombrable d’éléments de T qui sont deux
à deux disjoints, alors
! +∞
[ X
µ An = µ(An ) (σ − additivité).
n∈N n=0
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1.3. Mesures Positives.
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1.3. Mesures Positives.
Proposition 3.1.
Soit (X, T , µ) un espace mesuré. Alors la mesure µ vérifie
1. Si A et B sont deux ensembles mesurables, alors
A ⊂ B =⇒ µ(A) ≤ µ(B).
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1.3. Mesures Positives.
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1.3. Mesures Positives.
Remarque.
1. La condition µ(A0 ) < +∞ est nécessaire dans la propriété de la Stabilité
par limite décroissante, 5).
Par exemple, si on considère sur (N, P(N)), la mesure µ de comptage.
On construit les ensembles mesurables An =\ {n, n + 1, n + 2, ...}, n ∈ N.
Il est clair que pour tout n ∈ N, An+1 ⊂ An , An = ∅ et µ(An ) = +∞.
n∈N
!
\
Donc, µ An = µ(∅) = 0 et lim µ(An ) = +∞ .
n∈N
n∈N
\
Pourquoi An = ∅ ?
n∈N
2. Si µ(A) < +∞, alors µ(B \ A) = µ(B) − µ(A). Mais, on n’a pas le droit
d’écrire µ(B \ A) = µ(B) − µ(A), si µ(A) = +∞.
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1.3. Mesures Positives.
Définition 2.5.
Soit (X, T , µ) un espace mesuré.
déf
1. µ une mesure finie sur T ⇐⇒ µ(X) < +∞.
z}|{
déf
2. (X, T , µ) est un espace probabilisé ⇐⇒ µ(X) = 1.
z}|{
déf
3. µ est dite σ-finie ⇐⇒, il existe une suite (An )n∈N ⊂ T telle que :
z}|{
[
X= An et µ(An ) < +∞, pour tout n ∈ N.
n∈N
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1.3. Mesures Positives.
il existe A, B ∈ T avec A ⊂ E ⊂ B et µ (B \ A) = 0.
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1.3. Mesures Positives.
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1.3. Mesures Positives.
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1.3. Mesures Positives.
Alors,
µ1 = µ2 , i.e., pour tout A ∈ T , µ1 (A) = µ2 (A) .
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1.3. Mesures Positives.
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1.3. Mesures Positives.
λ(A + a) = λ(A),
avec A + a = {x + a ; x ∈ A}.
λ(kA) = kλ(A),
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1.4. Fonctions mesurables.
Définition 4.1.
Soient (X, T1 ), (Y, T2 ) deux espaces mesurables et f : X → Y une
application. On dit que f est (T1 − T2 ) mesurable, si pour tout A ∈ T2 ,
f −1 (A) ∈ T1 .
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1.4. Fonctions mesurables.
Proposition 4.1.
Soient (X, T1 ), (Y, T2 ) et (Z, T3 ) trois espaces mesurables, f : X → Y et
g : Y → Z deux applications mesurables. Alors g ◦ f est (T1 − T3 ) mesurable.
Définition 4.2
Soient X, Y deux espaces munis, respectivement, de leurs tribus boréliennes.
Une application f : X → Y mesurable est dite borélienne.
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1.4. Fonctions mesurables.
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1.5. Fonctions mesurables réelles.
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1.5. Fonctions mesurables réelles.
Proposition 5.1
Soient (X, T ) un espace mesurable, f , g : X → R mesurables et λ ∈ R.
Alors, les applications suivantes mesurables
λf , f + g, fg, sup(f , g), inf(f , g),
f + := sup(f , 0), f − := − inf(f , 0), |f | et 1/f .
Proposition 5.2
Soient (X, T ) un espace mesurable et fn : X → R, n ∈ N, une suite de
fonctions mesurables. Alors,
1) sup fn , inf fn , lim sup fn et lim inf fn sont des fonctions mesurables ;
n∈N n∈N n∈N n∈N
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1.6 Théorèmes d’approximation.
Définition 6.1
Soit (X, T ) un espace mesurable. f : X → R est dite étagée, si elle est
mesurable et ne prend qu’un nombre fini de valeurs.
n
X
f = αi χAi .
i=1
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1.6 Théorèmes d’approximation.
Théorème 6.1.
Soit (X, T ) un espace mesurable.
1. Si f : X → R+ est mesurable, alors il existe une suite (fn )n de fonctions
étagées telles que :
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1.6 Théorèmes d’approximation.
Définition 6.2
Une suite de fonctions boréliennes fn : R → R converge presque partout vers
f si,
λ({x ; fn (x) 6→ f (x)}) = 0.
f
On écrit fn −−−−→ λ-p.p. sur R.
n→+∞
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1.6 Théorèmes d’approximation.
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2.1. Intégrale d’une fonction étagée positive.
Définition 2.1.
n
X
Soit f ∈ E + (i.e., f = αi χAi et (Ai )1≤i≤n est une T -partition de X).
i=1
L’intégrale de f sur X par rapport à µ est définie par :
Z n
X
fdµ = αi µ(Ai ) ∈ R+ .
X i=1
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2.1. Intégrale d’une fonction étagée positive.
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2.1. Intégrale d’une fonction étagée positive.
Proposition 2.1.
Soient f , g ∈ E + et α > 0 un réel. Alors,
Z Z
1. (αf )dµ = α fdµ,
ZX ZX Z
2. (f + g)dµ = fdµ + gdµ,
X
Z X Z X
3. si f ≥ g, alors fdµ ≥ gdµ (monotonie).
X X
Définition 2.2 Z Z
On dit que f ∈ E + est intégrable si, fdµ est finie (i.e. fdµ ∈ R+ ).
X X
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2.1. Intégrale d’une fonction étagée positive.
Proposition 2.2
Soient (fn )n∈N une suite croissante de E + et f ∈ E + telles que :
f ≤ lim fn .
n→+∞
Alors,
Z Z
(i) fdµ ≤ lim fn dµ ;
X n→+∞ X
Z Z
(ii) en particulier, si f = lim fn , alors fdµ = lim fn dµ.
n→+∞ X n→+∞ X
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2.2. Intégrale d’une fonction mesurable positive.
+
On note par L0 = {f : (X, T , µ) → R+ mesurable}, l’ensemble des
fonctions mesurables et positives sur (X, T , µ).
Définition 2.3
+
Soit f ∈ L0 . On note par Sf l’ensemble défini par
Sf = {ϕ ∈ E + ; 0 ≤ ϕ ≤ f }.
Z Z
1. On définit l’intégrale de f sur X par : fdµ := sup ϕdµ.
X ϕ∈Sf X
Z
2. On dit que f est µ-intégrable si, fdµ < +∞.
Z Z X
3. Si A ∈ T , on note fdµ = f χA dµ.
A X
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2.2. Intégrale d’une fonction mesurable positive.
Z
+
Remarque 1. Si f ∈ L0 , alors fdµ ∈ R+ , puisque la fonction nulle
X
+
appartient à E , d’intégrale nulle et minore f .
2. Lorsque f ∈ E + , alors la définition de l’intégrale de f coincide avec la
définition de l’intégrale d’une fonction mesurable positive.
Théorème 2.1.
+
Soit f ∈ L0 . Alors, pour toute suite croissante (fn )n∈N de fonctions étagées
positives qui converge vers f , on a
Z Z
fdµ = lim fn dµ.
X n→+∞ X
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2.2. Intégrale d’une fonction mesurable positive.
Proposition 2.3.
+
Soient f , g ∈ L0 et λ ∈ R+ . Alors,
Z Z
(i) (λf )dµ = λ fdµ ;
ZX ZX Z
(ii) (f + g)dµ = fdµ + gdµ ;
X
Z X Z X
(iii) si f ≤ g, alors fdµ ≤ gdµ ;
X X
Z Z Z
(iv) si A, B ∈ T et A ∩ B = ∅, alors fdµ = fdµ + fdµ.
A∪B A B
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2.3. Les premiers grands théorèmes d’intégration.
Lemme de Fatou
Soit (fn )n∈N une suite de fonctions mesurables positives. Alors,
Z Z
lim inf fn dµ ≤ lim inf fn dµ.
X n n X
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2.3. Les premiers grands théorèmes d’intégration.
Corollaire 2.1.
+
Soit (fn )n∈N une suite de L0 . Alors,
Z X XZ
(i) fn dµ = fn dµ .
X n≥0 n≥0 X
+
(ii) Soient (An )n∈N une suite disjointe d’éléments de T et f ∈ L0 . Alors
Z X Z
S
fdµ = fdµ .
n∈N An n≥0 An
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2.3. Les premiers grands théorèmes d’intégration.
Inégalité de Tchebychev.
+
Soient f ∈ L0 et a > 0. Alors
Z
1
µ ({x ∈ X ; f (x) ≥ a}) ≤ fdµ.
a X
Corollaire. Z
+
Soit f ∈ L0 une fonction intégrable (i.e., fdµ < +∞). Alors,
X
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2.3. Les premiers grands théorèmes d’intégration.
Lemme de Borel-Cantelli.
(i) SoitZ(fn )n∈N une suite de fonctions intégrables positives et telles que
X X
fn dµ < +∞. Alors, fn < +∞ µ-p.p.
n≥0 X n≥0
X
(ii) En particulier, si µ(An ) < +∞, où (An )n∈N ⊂ T , alors
n≥0
µ(lim sup An ) = 0.
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3.1. Intégrale d’une fonction numérique.
Définition 3.1.
+ −
On dit que f ∈ L0 est
Z µ-intégrable si, etZ seulement si, f et f sont
µ-intégrables (i.e., f + dµ < +∞ et f − dµ < +∞). On pose
Z Z X Z X
Proposition 3.1.
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3.1. Intégrale d’une fonction numérique.
Définition 3.2.
Soit (X, T , µ) un espace mesuré. On dit qu’une fonction est µ-négligeable,
si elle est mesurable et nulle µ-p.p., i.e.,
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3.2. Quelques Théorèmes de Convergence.
Proposition 3.2.
Z Z
lim fn dµ = lim fn dµ.
n→+∞ X X n→+∞
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3.2. Quelques Théorèmes de Convergence.
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3.2. Quelques Théorèmes de Convergence.
Proposition 3.3
Soient (fn )n∈N une suite de fonctions de L1 et f ∈ L1 . Si (fn )n∈N converge
vers f en moyenne, alors (fn )n∈N converge vers f en mesure.
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3.2. Quelques Théorèmes de Convergence.
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