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Cachrouth 2

Le document présente une série de questions de préparation et de contrôle concernant les lois de la cacherout, y compris des concepts tels que téréfa, névéla, et les règles d'absorption des ustensiles. Il aborde également des situations pratiques liées à la cuisine, comme le mélange de viande et de lait, ainsi que les principes de bitoul et de ta’am ke'ikar. Enfin, il fournit des réponses corrigées aux questions posées, illustrant les règles de cacherout en contexte.

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Cachrouth 2

Le document présente une série de questions de préparation et de contrôle concernant les lois de la cacherout, y compris des concepts tels que téréfa, névéla, et les règles d'absorption des ustensiles. Il aborde également des situations pratiques liées à la cuisine, comme le mélange de viande et de lait, ainsi que les principes de bitoul et de ta’am ke'ikar. Enfin, il fournit des réponses corrigées aux questions posées, illustrant les règles de cacherout en contexte.

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Questions de préparation (sans réponses)

1. Expliquer les notions suivantes (réponses sur la feuille où se trouve la liste des
interdits de cachrouth) : téréfa / névéla / nikour / évér mine ha’hay / chératsim /
‘hélév / dam.
2. Expliquer le principe et donner un exemple : « tout ce qui est produit par
l’interdit est interdit ».
3. Il y a trois sortes d’ustensiles à propos de l’absorption du ta’am : détailler (ce
qui absorbe, ce qu’i n’absorbe pas….).
4. Dans l’industrie alimentaire, il faut veiller à plusieurs choses quand on vérifie
une fabrication : donner le détail (les ingrédients, etc…)
5. Peut-on faire un commerce de produit non-cacher ?
6. Le verset dit : tu ne cuiras pas l’agneau dans le lait de sa mère : qu’est-ce qui
n’est pas dit dans cette phrase, mais quand même interdit ?
7. Peut-on faire une salade de fromage saucisse et la vendre ? Même question
pour du poulet cuisiné au beurre. Justifier.
Contrôle

La Le La 1. Tableau ci-contre : on a trempé une louche


marmite pla louche viande (bassari) dans une casserole de lait
t chaud : remplir le tableau suivant en notant sur
Il y a 60 fois Louche ben A E I votre feuille par exemple : A interdit - B permis
dans la yomo etc… et en justifiant vos réponses. /6
marmite le
2. Peut-on offrir à un non-juif de la viande ou du
volume de la Louche non B F J
louche
poulet mélangés à du lait ? /2
ben yomo
Il y n’y a pas Louche ben C G K
3. A quoi doit faire attention une personne qui
60 fois dans yomo travaille dans une cuisine non-juive / 2
la marmite le 4. Expliquer le principe de ‫ – טעם כעיקר‬quelle
volume de la Louche non D H L différence peut-on faire entre un aliment et une
louche ben yomo marmite /2
5. Pourquoi ne peut-on pas cuire du lait dans une
casserole bassari ? /1
6. Dans quelles situations on ne peut pas parler de bitoul ? /1
7. Expliquer le principe de ‫ אין מבטלין איסור לכתחילה‬et donner un exemple /2
8. Donner un cas de ‫ נותן טעם בר נותן טעם‬pour le lait et la viande et expliquer la halakha s’y référant /2
9. Idem pour un cas de 2 / ‫דבר חריף‬

CORRIGE
La marmite Le plat La louche
Il y a 60 fois Louche ben A. Permis car il y a 60 fois E. Permis car il y a 60 fois I. Interdite car elle
dans la yomo plus de volume permis plus de volume permis a absorbé du lait
marmite le Louche non B. Permis car il y a 60 fois F. Permis car il y a 60 fois J. Interdite a priori
volume de la ben yomo plus de volume permis/ ou plus de volume permis/ ou car elle a absorbé
louche parce que la louche n'est parce que la louche n'est du lait
pas ben yomo pas ben yomo
Il y n’y a pas Louche ben C. Interdit car il n’y a pas G. Interdit car il n’y a pas K. Interdite car elle
60 fois dans la yomo de bitoul de bitoul a absorbé du lait
marmite le Louche non D. Permis parce que la H. Permis parce que la L. Interdite a priori
volume de la ben yomo louche n'est pas ben yomo louche n'est pas ben yomo car elle a absorbé
louche du lait
2. Si c’est cuit, viande rouge cuite avec du lait interdite au profit, on ne peut même pas l’offrir (si c’est un
mélange à froid, on peut, par exemple un sandwich viande-fromage, quand le fromage ou la viande n’était
pas n contact à chaud): non ; le reste : oui
3. Ne pas allumer en dessous d’une casserole, ou mélanger le contenu chaud d’une casserole même si elle
est en dehors du feu, si c’est une casserole contenant viande et lait - ou poser à chaud ces deux aliments.
Tout cela même si la viande n’a pas eu la che’hita (tant que c’est de la viande d’espèce cacher, bovine ou
ovine). [A part cela, d’une manière générale il est déconseillé de manipuler du non-cacher]
4. Le goût est équivalent à l’aliment même, c’est le même interdit même si la consistance de l’aliment est
absente, le goût présent est tout aussi interdit – un ustensile qui a absorbé ce goût peut être cachérisé, un
aliment qui en a absorbé ne peut pas être cachérisé, on ne peut pas en extraire le goût.
5. Le goût absorbé par les parois peut sortir et imprégné le lait, et ainsi l’interdire.
6. Si l’interdit est reconnaissable, il n’y a pas d’annulation. Si on peut le retirer du mélange (par exemple on
le reconnait) il faut l’extraire du mélange, jamais il ne s’annulera. Si c’est du goût d’un aliment interdit et on
le ressent, il est reconnaissable et présent, et donc non annulé.
7. On ne peut pas mélanger volontairement un interdit en faible quantité à un aliment permis, de manière
qu’il s’annule. Jeter quelques gouttes de lait dans une casserole d’un grand plat de viande, par exemple.
Celui qui le fait se verra s’interdire se plat, même si cela est permis aux autres.
8. C’est un goût (de lait ou de viande) qui passe deux fois : de l’aliment à un ustensile et de l’ustensile à un
autre aliment. On considère que dans ces conditions, il s’altère. On a cuit du lait dans une casserole et après
cela, un aliment dans la même casserole – le goût est passé deux fois. L’aliment peut être mangé avec de la
viande pour un séfarade lekhate’hila ; pour un achkenaze bediavad, si cela s’est mélangé, c’est
consommable.
9. Si quelqu’un a utilisé un aliment fort avec un ustensile, et cet aliment est interdit, on considère que le goût
de l’aliment pénètre dans l’ustensile dans certaines conditions. Et réciproquement, si l’ustensile a absorbé un
interdit et rentre en contact avec un aliment fort, il peut l’interdire dans certaines conditions. Ainsi, si
quelqu’un a coupé un aliment fort avec un couteau bassari on considère que le goût de la viande a passé dans
l’aliment – il sera interdit de le mettre avec du lait.

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