COMPORTEMENT ORGANISATIONNEL
CHAPITRE 1 : Comportement organisationnel
Les écoles de commerce se sont focalisées pendant longtemps sur les aspects
techniques de la gestion notamment, l’économie, la comptabilité, la finance, et
les techniques quantitatives. Pourtant les organisations ne sont efficaces que si
les individus qui les composent étant les acteurs clés desdites oraganisation le
sont aussi. Cependant, comprendre les individus sur le lieu de travail, adopter
une communication efficace revêt important.
Comportement organisationnel est l’étude de l’impact des individus, des
groupes sur le comportement des acteurs au sein des organisations. Il permet
de résoudre des défits organisationel tout en maximisant le potentiel humain. Il
s'intéresse à divers aspects tels que la motivation, la communication, la
dynamique de groupe et la culture d'entreprise. il permet d’anticiper les
reactions des individus face à un changement( réorganisation, fusion…) de
motiver et favorise un environnement de travail sain. Cependant il est difficile
d’établir des principes universels pour expliquer le comportement
organisationnel. Car non seulement, il varie d’un individu à un autre mais aussi
en fonction du contexe. Cette variabilité souligne le caractère relatif du CO et sa
dépendance aux conditions situationnelles.
Les fonctions d’un manager :
- La plannification qui consiste à définir les objectifs et élaborer les
stratégie pour la mise en oeuvre de ces buts
- Organisation qui consiste à identifier les tâches et allouer ces tâches à un
responsable pour son accomplissement
- Direction qui consiste motiver les employés par une communication
efficace
- Contrôle qui consiste à suivre les performences et les comparer avec les
objectifs fixés
Ces managers sont également tenu de remplir des devoirs :
- Rôles interpersonnel( symbole, leader)
- Rôle informationnels( observateur, diffuseur, porte parôle
- Decisionnels( entrepreneur, regulateur)
Doit également avoir les compétences techniques et humaines
Utilisation de big data pour comprendre le comportement d’achat des
consommateurs.
Limites de l’utilisation de big data( la confidencialité, la sécurité de l’emplois,
impossible pour les machine de saisir la vue d’ensemble.
Le comportement organisationnel, discipline carrefour.les disciplines
comme la psycologie( évaluier, comprendre et expliquer le comportement
des individus et leurs interactions), la sociologie( etude des comportemt
sociaux, psycologie sociale, anthropologie, sciences politiques
Les defits du CO
- La complexité de l’être humain
En effet il est quasiment impossible d’utiliser les principes simples et universels
pour expliquer le comportement des individus au sein d’une organisation. Par
exemple les sciences de la nature comme la pysique, l’astronomie, la chimie,
s’appuient sur les lois invariables qui expliquent les situations diverses.
Permettant ainsi de généraliser, parcontre l’être humain represente un sujet
d’etude complexe, parce qu’ils sont tous differents. Deux personnes se plaçant
dans la même situation, agiront d’une manière différente. De même, le
comportement de la même personne chagera en fonction de la situation. Par
consequent tout le monde n’est pas motivé par la même chose.
- La diversité de la mains d’eouvre ( hétérogénéité des
individus)
La diverrsité pose des problèmes complexes. Créer un environnement où tout
le monde se sent valorisé et respecté malgré la différence sociale, culturelle et
personnelle est un enjeu. Ces divergeances s’elles ne sont pas prise en charge
peuvent créer des tensions nuir à la performence des individus.
La difference entre les gens risque d’entrainer des difficultés de communication,
de malentendus et de conflits( exemple de respect entre l’afrique et l’europe, le
regard du visage), On ne partage pas pas forcement les mêmes sources de
motivation. Communiquer de façons franche directe, peut entrainer un
sentiment d’agression et mal à l’aise pour cetrains collaborateurs
Pour éviter le problème de diversité, les managers chargés de recrutement
doivent dans leurs processus de recrutement privilégié les efforts de diversité,
doivent ambaucher dans u souci d’objectivité, et d’équité, dans le groupe
envisager et accomplir les tâches principales et communiquer fréquenmment
les uns avec les autres
Outil de communication :
Portant cette diversité peut etre moteur d’innovation. Une etude montre
qu’une équipe formée de personnes hétorogène produisent des solutions
créatives.
Egalement
L’entreprise comprend des pratiques et les attentes des clients changent et se
diversifient elles aussi. La diversité de traits de personnalité peut desservir dans
cetraints cas les performences d’une équipe mais peut aussi leur être bénéfique
La gestion efficace de la diversité offre à l’organisation une capacité accrue
d’aptitude et d’idées le plus large possible
La divesité, elle peut être directe ou indirect catégorielle( est la difference
fondée sur l’apparence social comme l’age, la réligion, sexe( la fameuse
question qui se pose est de savoir si les femmes sont plus efficacent que les
hommes au travail. En effet aucun sexe ne présente de différence signifiactive
pouvant affecter leurs performances professionnelles. Les études montrent que
les femmes sont plus agréables et qu’elles se plient volontiers à l’autorité alors
que les hommes sont plus agressifs et attachés à leurs réussite, mais cela reste
négligeable. Le point qui sembles bel et bien faire la différence est la femme
surtoût s’elle a des enfants à bas âge , nationalité, ethnique,
- L’agilité ou le changement organisationnel( instabilité de
l’environnement, mouvant)
Les entreprises évoluent dans un contexte de transformations constantes, qu'il
s'agisse de
restructurations, de fusions ou d'adaptations technologiques. Ces changements
suscitent souvent des résistances de la part des employés. Pour y faire face, les
organisations doivent accompagner leurs collaborateurs grâce à une
communication transparente et continue.
- Les réseaux sociaux
Intelligence artificielle
La santé mentale
Le stress et l’épuisement professionnel sont devenus des préoccupations
majeures dans le monde du travail. Les causes incluent la surcharge de travail,
des attentes irréalistes et un manque de reconnaissance. Pour prévenir ces
risques, les organisations doivent instaurer des politiques de bien-être, telles
que des programmes de soutien psychologique,
Chapitre : leadership
Le leadership est une capacité d’infuencer les individus à la réalisation des
objectifs, contrarement la gestion qui se concentre sur l’opimisation des
ressources et processus, le leader cherche à créer un environnement où chaque
individus peut contribuer efficacement aux objectifs collectifs( 3differents types
de leadership, le quatrième transformationnel( motiver pour depasser les
attentes) il crée une vision et un allignement strategique, il joue le rôle de
modelisation des comportements. Il doit être empathique, mobiliser la
motivation intrinsèque
La gestion des conflits
un conflit est perçu comme un symptôme de dysfonctionnement ou de
déséquilibre au sein d'un système,ils surviennent losque les divergeances
d’interet emergent entre les individus d’une organisation.( conflit d’interet,
relationnel, de rôle, culturels)
Un leader peut transformer les conflit en opportunité. En effet en encourageant
les échanges d’idées divergentes, permettant ainsi d’enrichir les décisions grâce
à la diversité des perspectives. Iil peut alors réoriente les énergies des parties
impliquées vers des objectifs communs, transformant ainsi les tensions initiales
en un moteur de collaboration et de progrès collectif.
Les compétences pour bien gerer les conflits :
- (la communication qui favorise des échanges constructives et
respectueuses et l’écoute active pour comprendre les perspectives des
autres)
- L’intelligence émotionnelle( la conscience de soi, la maîtrise de soi, la
motivation interne, l’empathie)
- Penser critique( chercher les causes profondes du problème, prise de
décision éclairée
Chapitre 2 : Les émotions
Une émotion est un sentiment intense générée par un évenement, elle survient
en reponse d’un stimuli c’est par exemple être heureux ou en colère de
quelqu’un ou de quelquechose. Comme la colère, l’envie, la peur, la tristesse, la
fièrté, la frustration, la gaieté, la haine, l’espoir, la joie, l’amour, la surprise.
Dans les interactions humaines, les émotions agissent comme un langage
universel, transcendant les barrières culturelles et linguistiques. Elles
permettent de communiquer des besoins, des intentions et des valeurs.
Au même moment que certains chercheurs disent les émotions sont importants
pour faire des décisions rationnelles, d’autre y sont compètement contre, et
affirme que les émotions nous mènent à des décisions irationnelles.
Les causes des émotions :
- La peronnalité : des personnes sont plus émotifs que d’autres s’enervent
ou ce mettent en colère plus vite que d’autre personnes
- Le stress : Au travail, une vente qui echoue, un supérieur qui fait des
repproches ont un impact négatifs
- Influence de la méteo : on a pas le même humeur lorsque le temps est
ensoleillé et que la temperature est à 20 degré
- Le sommei
- L’âge
- Le sexe
Les événements organisationnels majeurs comme la fusion sont souvent des
déclencheurs d’émotions. Mais elles dépendent également de comment
l’organisation communique et gère les évenements. Comme le dit LAZARUS les
émotions ne sont pas seulement la réaction à un événement en soi, mais à la
manière dont cet événement est perçu par l’individu et l’organisation. Selon
Amabile (1996), un environnement émotionnellement positif stimule la
créativité et la motivation intrinsèque des employés.
L’intelligence émotionnelle
C’est l’aptitude pour une personne de desceler et comprendre les indices
émotionnels et et à gerer l’informations qui est véhiculée.
Elle consiste à comprendre, analyser et influencer les dynamiques
émotionnelles au sein de leur organisation. Selon Goleman, une intelligence
émotionnelle élevée se traduit par une grande conscience de soi, une bonne
gestion personnelle, une forte conscience des autres et une gestion efficace des
relations sociales Elle compose de 5 dimensions : la conscience de soi, la
maîtrise de soi, la motivation, l’empathie, aptitude pour les relations sociales
- La conscience de soi La conscience de soi est la capacité à reconnaître ses
propres émotions, à comprendre ce qui les déclenche et à évaluer leur
impact sur son comportement et ses décisions. Une personne dotée de
cette compétence sait identifier ses réactions émotionnelles et en tirer
des enseignements.
- La maîtrise de soi consiste à réguler ses émotions et à contrôler ses
impulsions. Cela permet de rester calme sous pression et d’agir de
manière réfléchie.
- ·La motivation émotionnelle se manifeste par la capacité à persévérer
malgré les échecs et les obstacles. Les personnes motivées
émotionnellement sont capables de transformer les échecs en
opportunités d’apprentissage.
- L’empathie est la capacité à comprendre et ressentir les émotions des
autres.
- Les compétences sociales impliquent la capacité à établir et entretenir
des relations interpersonnelles positives. Cela inclut la communication, la
coopération et le leadership.
La prise de décision
Une prise de décision rationnelle( cohérence) parfaite,
limitée( notre capacité de traiter l’information est limitée
pour prendre une décision optimale, alors on resous un
problème complexe en le ramenant à un problème gerable)
et l’intuition
La prise de décision et la personnalité( quelqu’un qui
deteste l’echec cherchera à anticiper pour l’eviter,
l’optimiste
La motivation
Les théorie de la motivation
- Maslow
- Théorie X Y
- Théorie des deux facteurs
- Théorie des attentes vroom(vie)
Culture organisationnelle
Certaines entreprises souffrent des cultures toxiques,et nuisent à la
productivité, créer du stress aux équipes et transforme leur moral. Lorsque le
climat est marqué par le stress ou le manque de transparence, les choix sont
biaisés et dictés par des émotions négatives comme l’anxiété ou la méfiance.
Ces mêmes émotions. Par contre….
Un leader tranformationnel est adapté au culture adhocratique ou la culture est
axé sur l’innovation
Un milieu hostil est souvent façonné par des émotions intenses, telles que le
stress, l'anxiété ou la peur,
Dans un contexte globalisé, un leader efficace doit être un caméléon culturel
capable d’adapter son style de leadership. Il ne s’agit pas simplement de
répondre aux attentes de manière mécanique, mais de développer une
flexibilité authentique qui favorise la coopération, l’engagement et la confiance.
Il doit donc non seulement comprendre la culture dans laquelle il évolue, mais
aussi savoir s’y adapter avec souplesse. En définitive, cette thèse démontre que
le leadership n’est pas universel, mais contextuel, influencé par la richesse et
la diversité des cultures organisationnelles.Cette compétence exige une grande
intelligence émotionnelle, une écoute active et une ouverture constante à
l’apprentissage,
---- conflit------émotion------ culture organisationnelle --------leadership