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Rapport Biochimie

Ce document présente un travail pratique de biochimie effectué à l'Université de Goma, axé sur la liaison entre théorie et pratique en biochimie clinique. Il traite des méthodes et techniques d'analyse biologique, du prélèvement et de la conservation des échantillons, ainsi que des maladies métaboliques comme le diabète et l'obésité. Les étudiants ont appris à utiliser des réactifs spécifiques et des techniques telles que la spectrophotométrie pour analyser les échantillons biologiques.

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Steven Nzabandora
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Rapport Biochimie

Ce document présente un travail pratique de biochimie effectué à l'Université de Goma, axé sur la liaison entre théorie et pratique en biochimie clinique. Il traite des méthodes et techniques d'analyse biologique, du prélèvement et de la conservation des échantillons, ainsi que des maladies métaboliques comme le diabète et l'obésité. Les étudiants ont appris à utiliser des réactifs spécifiques et des techniques telles que la spectrophotométrie pour analyser les échantillons biologiques.

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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

UNIVERSITE DE GOMA
« UNIGOM »
BP 204 Goma

Pax ex scientia splendeat

Domaine de Médecine

TRAVAIL PRATIQUE DE BIOCHIMIE


Effectué au Centre Hospitalier New Hope,
Wellness Clinic
Le samedi 19/04/2025

1. KAMPANDA MUKANGALA IMELDA


2. MUMBERE MUTHAGHANZWA TRESOR
3. MUMBERE SHAKANGWA JOSUE
4. MUSIMWA MULUMEODERHWA DIANE
5. NKURWABUTI NZABANDORA STEVEN
6. OMARI MASUDI PRINCE
Promotion : L2/LMD
Titulaire du cours : Prof MALIKIDOGO KYANGWI Patrick

ANNEE ACADEMIQUE 2024-2025


RESUME
Ce Travail pratique de biochimie à l’hôpital au sein du laboratoire, a été pour nous
d’approfondir et de lier la théorie apprise lors du cours magistral à la pratique. Nous avons
vus les critères d’un choix d’une méthode et technique en biochimie clinique, le prélèvement
et préparation et conservation des échantillons biologiques, l’ionogramme plasmatique et ainsi
comprendre la causalité biochimique liées aux maladies métabolique comme le diabète,
maladies héréditaires du métabolisme, les pathologies liées aux défauts dans les voies de la
glycolyse, du cycle de Krebs ou de la beta oxydation des acides gras.
Au cours de notre TP au Centre Hospitalier New Hope, ils utilisent les réactifs de la marque
belge CYPRESS DIAGNOSTICS. Chaque fabriquant à ses techniques d’utilisation pour ses
produits.
1. LES CRITERES D’UN CHOIX D’UNE METHODE ET TECHNIQUE EN
BIOCHIMIE CLINIQUE
Méthodes
En biochimie clinique, une méthode est une approche scientifique standardisées utilise pour
identifier, quantifier ou analyser une substance biologique (comme le glucose, les enzymes,
les hormones etc.) dans un échantillon (sang, urine etc.)
Bref, ensemble des règles et d’étapes précises qu’on suit pour effectuer une analyse
biologique afin d’obtenir un résultat fiable.
Exemples des méthodes :
 Enzymatique : utilisation des enzymes pour transformation d’une substance en produit
mesurable
 Colorimétrique : repose sur un changement de couleur proportionnel à la
concentration de la substance. Utilisation d’un spectrophotomètre
 Immunologique : basée sur la réaction anti gène anti corps
 etc

Critères d’un choix d’une méthode


 Simple, facilité d’exécution ou automatisation
 Fiable
 Disponibilité des réactifs
 Non couteuse
 Spécifique
Technique en biochimie clinique
La technique décrit comment on réalise physiquement l’analyse, avec quel matériel, quelle
procédure et selon quel principe scientifique optique, électrique, chimique etc.)
Bref :
Méthode=principe général, ex : méthode colorimétrique
Technique=mise en œuvre pratique de cette méthode ex : spectrophotométrie
Notion de réactifs : Sont des substances chimiques utilisés lors des analyses de
laboratoire, leur rôle est essentiel car ce sont elles qui permettent de révéler, mesurer ou
identifier la présence de certaines substances (analytes) dans un échantillon biologique.
Chaque méthode a ses techniques et chaque technique à ses réactifs, chaque kits de réactifs a
son mode opératoire selon le fabricant.

2. PRELEVEMENT, PREPARATION ET CONSERVATION DES ECHANTILLONS


BIOLOGIQUES
A. Prélèvement
Prélèvement : Action de prendre, d’extraire, un fragment de tissu, un produit de sécrétion ou
d’excrétion, pour des examens anatomo-pathologiques, biochimiques etc.

Le prélèvement fait partie de la phase pré-analytique et ou se fait 60% des erreurs,


1. Lorsque le patient arrive, le recevoir confortablement
2. Placer le patient dans la position indiquée pour le prélèvement
3. Demander les noms du patients pour voir si c’est réellement ses examens, car
confondre des examens est une chose grave, car le traitement n’est plus le même
4. Préparation du matériel selon l’échantillon
5. recueillir l’échantillon
i. Les selles : préparer un bocal en plastique u le patient mettra ses selles
ii. Les urines un bocal en plastique où le patient mettra son urine
iii. Sang, le tube de prélèvement adapté pour l’analyse demandée, au cours
de notre TP, nous avons appris que les couleurs des tubes de
prélèvement n’est pas question d’embellissement mais nous donnes
l’information sur l’anticoagulant et peuvent influencer les résultats tut
dépend de l’objectif.
Exemple pour le prélèvement sanguin
Matériel
 seringue
 Ouate sec
 Ouate imbibé d’antiseptique
 Tube de prélèvement sanguin : sont des récipients utilisés pour collecter et conserver
le sang en vue d’analyses biologiques, chaque type de tube contient des additifs
différents selon le type d’analyse à réaliser.
o Tube sec (bouchon rouge) : aucun additif (activateur de coagulation)
o Tube avec EDTA (bouchon violet ou mauve) : le sang ne coagule pas
o Tube citraté (bouchon bleu) : pas de coagulation
o Tube hépariné(bouchon vert) : pas de coagulation
o Tube fluoré (bouchon gris) : conserve la glycémie
NB : pas d’utilisation de garrot pour les dosages des ions car il y a :
 Hémoconcentration
 Libération de potassium
 Modification de PH sanguin
 Risque d’hémolyse, donc pour la précision des résultats biologiques on préfère faire le
prélèvement sans garrot.

B. Préparation de l’échantillon

Chaque échantillon biologique a ses techniques de préparation


Exemple préparation d’un échantillon de sang :
 Centrifugation pour séparer les composants du sang : 10 à 15 minutes
 Récupération du surnagent : à l’aide d’une pipette sans toucher le culot
 Transférer dans un tube propre puis étiqueter
 Si besoin diluer selon la technique
 Ajout des réactifs selon la méthode
 Introduire dans la cuve de spectrophotométrie etc.

C. Conservation
La conservation de l’échantillon biologique dépend de la nature de l’échantillon (sang, urine,
tissu, etc) et de l’objectif de l’analyse. Chaque type d’échantillon à son conservateur. Pour le
tissu le conservateur le plus utilisé c’est le formol 10% cfr histologie générale.
Lorsque l’échantillon ne sera pas examiné directement, on le conserve dans un figurateur à
une température de 2 à 8 degré Celsius. Le plasma peut être conservé jusqu’à 1 année et le
sang total environ 33jours.

3. IONOGRAMME PLASMIQUE

L’ionogramme plasmique consiste à doser la quantité d’ion dans le plasma sanguin. Cela est
demandé par le médecin lorsqu’il soupçonne un déséquilibre ionique dans l’organisme.
A New Hope, on utilise la spectrophotométrie pour le dosage des ions, la spectrophotométrie
va doser ion par ion.

Tableau de bord du spectrophotomètre


Le principe pour le dosage des ions : chaque ion a son kit contenant les réactifs et chaque kit
vient avec son mode operatoire.Vous verrez en annexe pour le dosage du Calcium
Ici la machine nous demande de la nettoyée
en aspirant de l’eau distillée pour ne pas
fausser les résultats.

MALADIES METABOLIQUES (DIABETE, OBESITE, MALADIES HEREDITAIRES


DU METABOLISME), PATHOLOGIES LIEES AUX DEFAUTS DANS LES VOIES
DE LA GLYCOLYSE, DU CYCLE DE KREBS OU DE LA BETA OXYDATION DES
ACIDES GRAS.

A.MALADIES METABOLIQUES
1. LE DIABETE

Le diabète sucré est le trouble endocrinien le plus courant. Le signe principal est
l'hyperglycémie qui s'accompagne d'anomalies d'importance variable du métabolisme des
hydrates de carbone et de celui des graisses. Le diabète sucré est dû à l'absence complète de
l'hormone insuline, à son déficit relatif ou à une résistance à celle-ci.

Diabète sucré de type 1


Auparavant appelé diabète sucré insulinodépendant, ce diabète touche principalement des
enfants et des adultes jeunes. Son début est habituellement soudain et peut menacer le
pronostic vital. Il existe un déficit important ou une absence de sécrétion d'insuline du fait de
la destruction des cellules β des îlots pancréatiques. Un traitement par injection d'insuline est
nécessaire. Il existe habituellement un mécanisme auto-immun détruisant les cellules β des
îlots. Une prédisposition génétique et des facteurs environnementaux, dont les infections
virales, sont aussi en cause.

Diabète sucré de type 2


Auparavant appelé diabète sucré non insulinodépendant, c’est la forme de diabète la plus
fréquente, responsable d'environ 90 % des cas. Les causes sont multifactorielles et les facteurs
prédisposant incluent :
 l'obésité ;
 la sédentarité ;
 le vieillissement : l'affection touche surtout la population d'âge moyen et âgée ;
 les facteurs génétiques.
Sa survenue est progressive, souvent sur plusieurs années, et il demeure souvent non détecté
jusqu'à ce que des signes soient repérés lors d'un examen de routine ou jusqu'à la survenue
d'une complication. La sécrétion d'insuline peut être au-dessous ou au-dessus de la normale.
Un déficit de glucose dans les cellules corporelles survient malgré une hyperglycémie et un
taux élevé d'insuline. Cela pourrait être dû à l'insulinorésistance, c'est-à-dire des modifications
des membranes cellulaires, avec blocage des mouvements du glucose vers l'intérieur des
cellules, mouvements liés à l'insuline. Le traitement repose sur la mise en place d'un régime
et/ou des médicaments, bien que des injections d'insuline soient parfois requises.
Physiopathologie du diabète sucré
Taux élevé du glucose sanguin
Après ingestion d'hydrates de carbone, la glycémie reste élevée parce que :
• les cellules sont incapables de prendre et d'utiliser le glucose du flux sanguin, malgré des
taux plasmatiques élevés ;
• la conversion du glucose en glycogène dans le foie et les muscles est diminuée ;
• une néoglucogenèse à partir de protéines est présente, en réponse au déficit intracellulaire en
glucose.
Glycosurie et polyurie
La concentration du glucose dans le filtrat glomérulaire est la même que dans le sang et, bien
que le diabète élève le seuil rénal du glucose (NdT : c'est-à-dire le taux de glucose sanguin à
partir duquel apparaît une glycosurie), il n'est pas entièrement réabsorbé par le tubule rénal.
Le glucose restant dans le filtrat augmente la pression osmotique de celui-ci, la réabsorption
tubulaire de l'eau est diminuée et le volume d'urine est augmenté (polyurie). Cela entraîne un
déséquilibre électrolytique et l'excrétion d'une urine de densité élevée. La polyurie entraîne la
déshydratation, une soif importante (polydipsie) et l'élévation de l'apport hydrique.
Perte de poids
Les cellules sont principalement privées de glucose car, en l'absence d'insuline, elles sont
incapables de l'extraire du flux sanguin, ce qui entraîne une altération du métabolisme
énergétique, car les cellules doivent utiliser d'autres voies pour produire l'énergie dont elles
ont besoin. Il s'ensuit une perte de poids due :
 A la néoglucogenèse à partir d'acides aminés et de protéines corporelles, entraînant
une atrophie tissulaire, des lésions tissulaires et une nouvelle augmentation du
glucose sanguin ;
 Un catabolisme accru des graisses, libérant une partie de leur énergie et produisant en
excès des acides cétoniques.

Complications à long terme du Diabète sucré


1. Troubles cardiovasculaires
2. Infection : le diabète prédispose à des infections en particulier les bactéries et les
champignons
3. Insuffisance rénale
4. Altération visuelle et cécité : le plus souvent la cataracte, cfr le cours de biochimie,
accumulation du sorbitol au niveau de la lentille oculaire
5. Pied diabétique : La maladie des gros et petits vaisseaux sanguins
altère la vascularisation vers les membres et autour d'eux. En cas de
neuropathie périphérique, la sensation est réduite. Une petite
blessure au pied peut passer inaperçue, en particulier en cas de
vision altérée. Dans le cadre du diabète, la cicatrisation est plus
lente et les blessures s'aggravent facilement, par exemple avec le
frottement des chaussures, et s'infectent souvent.

2. OBESITE

Dans les pays développés, c'est un trouble nutritionnel toujours plus fréquent, bien qu'il soit
aussi retrouvé dans certains pays en développement. L'Organisation mondiale de la santé
(OMS) définit l'obésité comme un indice de masse corporelle supérieur à 29,9. Elle survient
quand l'apport énergétique excède les dépenses énergétiques, par exemple chez des individus
physiquement inactifs dont l'apport alimentaire dépasse leurs besoins énergétiques quotidiens.
L'obésité est un problème de santé toujours plus important dans le monde. Elle atteint des
personnes de tout âge et prédispose à de nombreuses autres pathologies. Dans le monde,
environ 33 % des adultes sont obèses et 10 % sont en surpoids .Il y a plus de 40 millions
d'enfants de moins de 5 ans obèses dans le monde, parmi lesquels 75 % vivent dans les
régions urbaines des pays développés (OMS, 2013). L'obésité chez les enfants représente
une préoccupation majeure, surtout dans les pays en développement (où la malnutrition peut
aussi être importante) ; en effet, il s'agit d'une maladie pouvant être évitée qui risque
probablement d'être encore présente à l'âge adulte, avec son cortège de risques associés, en
particulier le diabète et les maladies cardiovasculaires.L'hormone leptine est associée à
l'obésité. Elle a plusieurs fonctions, dont le contrôle de l'appétit. Après un repas, cette
hormone est libérée par le tissu adipeux et elle agit sur l'hypothalamus, ce qui entraîne la
sensation de satiété. Dans l'obésité, il existe habituellement des taux élevés de leptine dans le
sang et le mécanisme de rétroaction négative, qui supprime habituellement la sensation
d'avoir faim, ne fonctionne plus normalement. Une autre fonction de la leptine est de
participer à la synthèse de la GnRH et des gonadotrophines au moment de la puberté. Elle est
sécrétée par le tissu adipeux et ses taux sont faibles chez les personnes minces.

L'obésité prédispose :
 à des maladies cardiovasculaires, par exemple à la maladie ischémique du coeur à
l'hypertension artérielle;
 au diabète sucré de type 2;
 à certains cancers ;
 aux hernies;
 à la lithiase biliaire;
 aux varices) ;
 à l'arthrose;
 à des complications postopératoires.

3. MALADIE HERIDITAIRE DU METABOLISME : PHENYLCETONURIE

Dans cette maladie, qui est un exemple d'erreur innée du métabolisme, le gène responsable de
la production de l'enzyme phénylalanine hydroxylase est défectueux, et l'enzyme est absente.
Normalement, cette enzyme convertit la phénylalanine en tyrosine dans le foie ; mais
lorsqu'elle est absente, la phénylalanine s'accumule dans le foie et se déverse dans le sang. En
grandes quantités, la phénylalanine est toxique pour le système nerveux central ; en l'absence
de traitement, cela entraîne en quelques mois des lésions cérébrales et un retard mental.
Comme les taux de tyrosine sont faibles et qu'elle est nécessaire à la production de mélanine,
une dépigmentation apparaît, et les enfants atteints ont la peau blanche et les cheveux blonds.
Aujourd'hui, l'incidence de cette maladie est peu élevée dans les pays développés, car le
dépistage des nouveau-nés permet de détecter la maladie et de leur fournir un traitement.
B. PATHOLOGIES LIEES AUX DEFAUTS DANS LES VOIES DE LA GLYCOLYSE,
DU CYCLE DE KREBS OU DE LA BETA OXYDATION DES ACIDES GRAS

DEFICIT EN FURAMASE

Le déficit en fumarase est une affection qui touche principalement le système nerveux, en
particulier le cerveau. Les nourrissons atteints peuvent présenter :
 une tête anormalement petite (microcéphalie),
 une structure cérébrale anormale,
 un retard de développement important,
 une hypotonie (faible tonus musculaire).
Les personnes atteintes ne survivent généralement que quelques mois, mais quelques-unes
atteignent le début de l’âge adulte.

Le déficit en fumarase est causé par des mutations du gène FH.Ce gène fournit les
instructions nécessaires à la production d’une enzyme appelée fumarase (également appelée
fumarate hydratase).La fumarase participe à une série importante de réactions appelées cycle
de Krebs, qui permettent aux cellules d’utiliser l’oxygène et de produire l’energie.Plus
précisément, la fumarase contribue à la conservation d’une molécule appelée fumarate en une
molécule appelée malate.

Les mutations du gène FH perturbent la capacité de l’enzyme à convertir le fumarate en


malate, interférant ainsi avec le fonctionnement de cette réaction dans le cycle de Krebs.
L’altération du processus de production d’énergie pour les cellules est particulièrement
néfaste pour les cellules du cerveau en développement et cette altération entraine les signes et
symptômes d’un déficit en fumarate.

CONCLUSION
Ce TP de biochimie, nous a aidé à comprendre certaines maladies courantes comme le diabète
et voir comment se font les analyses biochimiques au niveau du laboratoire.
ANNEXE
BIBLIOGRAPHIE

 Ross, J.,&Wilson, A(2015).Anatomie et physiologie normales et pathologiques(12e


ed.).Elsevier Masson.
 Quevaulliers,J.,Somogyi,A., &Fingerhut,A.(2009).Dictionnaire medical, avec atlas
anatomique(6ed.).Elsevier Masson.
 https://medlineplus.gov: Furamase deficiency-genetics

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