2 ‫نموذج رقم‬ ‫امتحانات الشهادة الثانوية العامة‬ ‫وزارة التربية والتعليم العالي‬

2025 ‫سنة‬ ‫فرع العلوم العامة‬ ‫المديرية العامة للتربية‬

‫ محمد عباس‬:‫األستاذ‬ ‫دائرة اإلمتحانات‬
:‫األسم‬ ‫مسابقة في مادة الرياضيات‬ ‫ سبع‬:‫عدد المسائل‬
:‫الرقم‬ ‫ خمس ساعات‬:‫المدة‬
‫ يسمح باستعمال آلة حاسبة غير قابلة للبرمجة أو اختزان المعلومات أو رسم البيانات‬- :‫إرشادات عامة‬
ّ ‫ يستطيع المر‬-
.)‫شح اإلجابة بالترتيب الذي يناسبه (دون اإللتزام بترتيب المسائل الوارد في المسابقة‬
Exercice I: (5 points)
Dans le tableau suivant, une seule des réponses proposées à chaque question est correcte.
Ecrire le numéro de chaque question et donner, en justifiant, la réponse qui lui correspond.
Réponses proposées
Nº Questions
a b c
|𝑧| = − cos(𝜃) |𝑧| = − cos(𝜃) |𝑧| = cos(𝜃)
Si 𝑧 = 𝑖 cos 2 (𝜃) − cos(𝜃) × sin(𝜃) et et et
1 𝜋
𝜋 𝜋 𝜋
où < 𝜃 < 𝜋; Alors: 𝑎𝑟𝑔(𝑧) = 𝜃 − 𝑎𝑟𝑔(𝑧) = − 𝜃 𝑎𝑟𝑔(𝑧) = 𝜃 +
2
2 2 2
Le nombre de triangles que l’on peut
former avec les points de la figure ci-
dessous est:
𝐷
𝐶
𝐸
2 21 35 70

𝐵 𝐹

𝐴
𝐺
Si 𝑓 est la fonction donnée par:
1
3 𝑓(𝑥) = , alors le domaine de ]𝑒; +∞[ ]0; 𝑒[ ]0; 1[ ∪ ]1; 𝑒[
ln(1−ln 𝑥)
définition de 𝑓 est:
Soit (𝑈𝑛 ) la suite définie par 𝑈0 = 1 et,
pour tout entier naturel 𝑛, 𝑈𝑛+1 =
2 Suite Suite Suite
4 𝑈𝑛 +1 arithmétique stationnaire géométrique
Alors (𝑈𝑛 ) est une:
1 3
ln √3 + ln 8 − ln ( )
5 2 4 = 2 ln 2 √2
5 5
ln 𝑒 + (ln 𝑒) ln 4 − 5

Exercice II: (6.5 points)

⃗⃗ ) on donne les points 𝐴(1; 1; 2) et
Dans l’éspace rapporté à un repère orthonormé direct (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗; 𝑘
𝑥=𝑡
𝐵(−1; 0; 1) et la droite (𝑑): {𝑦 = −𝑡 + 1 ; où 𝑡 est un paramètre réel.
𝑧 = −𝑡 + 1
1) Montrer que l’équation du plan (𝑃) formé par la droite (𝑑) et le point 𝐴 est:
(𝑃): 𝑥 + 2𝑦 − 𝑧 − 1 = 0.
2) Soit (𝑑 ′ ) la droite définie par 𝑥 = 𝜆 + 2; 𝑦 = 𝜆 + 3; 𝑧 = 1. (où 𝜆 est un paramètre réel).
a) Vérifier que 𝐵 est un point de (𝑑′ ).
b) Trouver les coordonnées du point 𝐺 l’intersection de (𝑑′) avec (𝑃).
c) Montrer que (𝑑) est perpendiculaire à (𝐴𝐺𝐵) en 𝐺.
3) Soit 𝐻 le projeté orthogonal de 𝐵 sur (𝑃).
a) Trouver un système d’équations paramétriques de la droite (𝐵𝐻), puis calculer les
coordonnées de 𝐻.
b) Déduire que 𝐶(0; 2; 0) est le symétrique de 𝐵 par rapport à (𝑃).
4) Montrer que 𝐴𝐵𝐶 est un triangle équilatéral, puis vérifier que 𝐺 est son centre de gravité.
5) Soit 𝐷 un point de (𝑑).
3
a) Montrer que le volume du tétraèdre 𝐴𝐵𝐶𝐷 est 𝑉 = |𝑡|.
2
b) Calculer 𝑉 si 𝐴𝐵𝐶𝐷 est un tétraèdre régulier.

Exercice III: (7 points)

On dispose de deux dés cubiques parfaitement équilibrés dont les faces sont numérotées de 1 à 6.
Et on dispose de deux urnes identiques 𝑈 et 𝑉 tel que:
L’urne 𝑈 contient trois boules blanches et une boule noire.
L’urne 𝑉 contient deux boules blanches et trois boules noires.
Partie A:
On lance les deux dés en même temps.
• Si les faces supérieures de deux dés affichent le même numéro, on tire, simultanément et au
hasard, trois boules de l’urne 𝑼.
• Si les faces supérieures de deux dés affichent deux numéros distincts, on tire, successivement
et sans remise, trois boules de l’urne 𝑼.
• Si les boules tirées de l’urne 𝑈 sont blanches, on tire, simultanément et au hasard, deux
boules de l’urne 𝑽.
• Si les boules tirées de l’urne 𝑈 sont de couleurs différentes, on tire, successivement et avec
remise, deux boules de l’urne 𝑽.
On considère les événements suivants:
𝑀: les faces supérieures de deux dés affichent le même numéro.
𝐵1 : les boules tirées de l’urne 𝑈 sont blanches.
𝐵2 : les boules tirées de l’urne 𝑉 sont blanches.
1
1) Montrer que 𝑃(𝑀) = .
6
2) a) Calculer 𝑃(𝐵1 /𝑀) et 𝑃(𝐵1 ∩ 𝑀).
1
b) Calculer 𝑃(𝐵1 ∩ 𝑀) et déduire que 𝑃(𝐵1 ) = .
4
3) a) Calculer 𝑃(𝐵2 /𝐵1 ) et 𝑃(𝐵2 ∩ 𝐵1 ).
29
b) Montrer que 𝑃(𝐵2 ) = .
200
4) Sachant que les boules tirées de l’urne 𝑉 sont blanches, calculer la probabilité que les boules
tirées de l’urne 𝑈 sont blanches.
Partie B:
Dans cette partie, on fait des tirages successifs d’une boule de l’urne 𝑈, selon le protocole suivant:
• Si la boule tirée est blanche, elle est remise dans l’urne, et un nouveau tirage est effectué.
• Si la boule tirée est noire, le jeu s’arrête.
Soit 𝑃𝑛 la probabilité de l’événement: “le jeu s’arrête au 𝑛-ième tirage”. Où 𝑛 ∈ ℕ∗ .
1) Calculer 𝑃1 , 𝑃2 et 𝑃3 .
1 3 𝑛−1
2) Montrer que 𝑃𝑛 = ( ) et déduire que 𝑃𝑛 est la fomre générale des termes d’une suite
4 4
géométrique.
3) Déterminer le plus petit nombre de tirages tel que 𝑃𝑛 < 10%?

Exercice IV: (9 points)

Partie A:
Soit 𝑔 la fonction définie sur ℝ par 𝑔(𝑥) = 2(𝑎 + 𝑏𝑥)𝑒 −𝑥 + 𝑐 et (𝐺) sa courbe représentative, tel
que (𝐺) passe par le point 𝐴(−1; 2) et admet un maximum local au point 𝐵(0; 4).
1) Montrer que 𝑎 = 𝑏 = 1 et que 𝑐 = 2.
2) a) Calculer 𝑔′(𝑥) et dresser le tableau de variations de 𝑔.
b) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼, et que −1.28 < 𝛼 < −1.27
c) Déduire, suivant les valeurs de 𝑥, le signe de 𝑔(𝑥).

Partie B:
2𝑥+1+𝑒 −𝑥
Soit 𝑓 la fonction définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = , et on désigne par (𝐶) sa courbe
1+𝑒 −𝑥
représentative dans un repère orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗).
2𝑥
1) a) Montrer que 𝑓(𝑥) = 1 + −𝑥
1+𝑒
b) Déterminer lim 𝑓(𝑥) et déduire une asymptote (𝑑) à (𝐶).
𝑥→−∞
2𝑥
2) a) Montrer que 𝑓(𝑥) = 2𝑥 + 1 − et calculer lim 𝑓(𝑥).
1+𝑒 𝑥 𝑥→+∞
b) Déduire que la droite (𝐷): 𝑦 = 2𝑥 + 1 est une asymptote à (𝐶).
c) Etudier, suivant les valeurs de 𝑥, la position relative de (𝐶) et (𝐷).
𝑔(𝑥)
3) a) Montrer que 𝑓 ′ (𝑥) = (1+𝑒 −𝑥)2; puis dresser le tableau de variations de 𝑓.
b) Montrer que 𝑓(𝛼) = 2𝛼 + 3, et déduire que 0.44 < 𝑓(𝛼) < 0.46.
4) Tracer (𝑑), (𝐷) et (𝐶).
5) La droite d’équation 𝑥 = 𝛼 coupe la courbe (𝐶) en 𝐾, et la droite (𝐷) en 𝐿.
Montrer que 𝐾𝐿 est indépendante de 𝛼.

Partie C:
Soit 𝐹 la fonction définie par 𝐹(𝑥) = ln[1 − 𝑓(𝑥)].
1) Trouver le domaine de définition 𝐷𝐹 de 𝐹.
2) Etudier, suivant les valeurs de 𝑥, le sens de variation de 𝐹.
Exercice V: (4 points)
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct (𝑂; 𝑢
⃗⃗; 𝑣⃗).
On considère les points 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷, 𝑀 et 𝑀′ d’affixes 𝑧𝐴 = 2 − 2𝑖, 𝑧𝐵 = 1 + 𝑖√3, 𝑧𝑐 = 𝑖, 𝑧𝐷 = 1
𝑧−2+2𝑖
𝑧𝑀 = 𝑧 et 𝑧𝑀′ = 𝑧′ tel que 𝑧 ′ = avec 𝑧 ≠ 𝑖.
𝑧−𝑖
𝑧𝐵
1) a) Calculer sous forme algébrique puis sous forme trigonométrique.
𝑧𝐴
7𝜋 7𝜋
b) Déduire les valeurs exactes de cos ( ) et sin ( ).
12 12
2) a) Interpréter géométriquement |𝑧′|, |𝑧 − 2 + 2𝑖| et |𝑧 − 𝑖|.
𝐴𝑀
b) Déduire que 𝑂𝑀′ = .
𝐶𝑀
c) Déterminer le lieu géométrique du point 𝑀, lorsque 𝑀′ décrit un cercle de centre 𝑂 et de
rayon 1.
3) a) Calculer (𝑧 ′ − 1)(𝑧 − 𝑖 ), et déduire que 𝐷𝑀′ × 𝐶𝑀 = √13.
b) Déterminer le lieu géométrique du point 𝑀′, lorsque 𝑀 décrit un cercle de centre 𝐶 et de
√13
rayon .
2
4) On pose 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑧 ′ = 𝑥 ′ + 𝑖𝑦′ où 𝑥, 𝑦, 𝑥′ et 𝑦′ sont des nombres réels.
𝑥 2 +𝑦 2 −2𝑥+𝑦−2 3𝑥+2𝑦−2
a) Montrer que 𝑥 ′ = et 𝑦 ′ =
𝑥 2 +(𝑦−1)2 𝑥 2 +(𝑦−1)2
b) Montrer que, si 𝑧′ est imaginaire pur, 𝑀 varie sur un cercle dont le centre et le rayon sont à
déterminer.
Exercice VI: (4.5 points) 𝐷
Dans la figure ci-contre on a:
• 𝐷𝐴𝐶 est un triangle rectangle isocèle en 𝐴 tel que 𝐴𝐶 = 𝑎.
• 𝐴𝐵𝐶𝐸 est un carré direct. 𝐸
• 𝐸 est le milieu de [𝐶𝐷].
Partie A:
1) Soit 𝑆 la similitude plane directe qui transforme 𝐴 en 𝐶 et 𝐶 en 𝐸.
a) Calculer le rapport 𝐾 et déterminer un angle 𝛼 de 𝑆. 𝐴 𝐶
b) Montrer que 𝑆(𝐷) = 𝐵.
2) Soit 𝐴 est l’image d’un point 𝐹 par 𝑆.
Montrer que 𝐷𝐴𝐶𝐹 est un carré et construire le point 𝐹.
3) Soit 𝑆′ la similitude plane directe qui transforme 𝐸 en 𝐶 et de centre 𝐴. 𝐵
a) Calculer le rapport 𝐾′ et déterminer un angle 𝛼′ de 𝑆′.
b) Déterminer 𝑆′(𝐷).
4) Soit 𝑇 la transformation définie par 𝑇 = 𝑆 ○ 𝑆′.
Déterminer les caractéristiques et la nature de 𝑇.
Partie B:
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝐴𝐷
Le plan est rapporté à un repère orthonormé direct (𝐴; 𝐴𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗).
1 1
1) Montrer que la forme complexe de 𝑆 est 𝑧 ′ = (− + 𝑖) 𝑧 + 1.
2 2
2) Déterminer l’affixe de 𝑊 centre de 𝑆.
Exercice VII: (4 points)
Partie A:
Soit 𝑦 = 𝑎 𝑥 où 𝑎 est un réel strictement plus grand que 1.
1) Montrer que ln(𝑦) = 𝑥 ln(𝑎) et déduire que 𝑦 ′ = 𝑎 𝑥 ln(𝑎).
ln(1+𝑎𝑥 )
2) Montrer que lim = ln(𝑎).
𝑥→+∞ 𝑥

Partie B:
ln(3) 1
Soit (𝑈𝑛 ) la suite définie par 𝑈𝑛 = ∫0 𝑑𝑥 où 𝑛 ∈ ℕ∗ .
1+𝑒 −𝑛𝑥
1 𝑒 𝑛𝑥 ln(1+3𝑛 ) ln(2)
1) Montrer que −𝑛𝑥
= 𝑛𝑥
; déduire que 𝑈𝑛 = − .
1+𝑒 1+𝑒 𝑛 𝑛
2) Calculer 𝑈1 et 𝑈2 (Donnez votre réponse sous la forme la plus simple).
3) Utiliser la Partie A.2) pour déterminer la limite de 𝑈𝑛 et déduire que (𝑈𝑛 ) est convergente.

Partie C:
Dans la figure ci-contre, (𝐶) est la
Courbe représentative de la fonction 𝑓
définie sur [0; +∞[ par: (𝐶)
1
𝑓(𝑥) =
1 + 𝑒 −𝑥
Soit 𝒜 l’aire de la région hachurée 𝒜
dans la figure.
1) Exprimer l’aire 𝒜 à l’aide d’une
intégrale de 𝑓(𝑥). ln(3)
2) Donner la valeur exacte de 𝒜.
 Notes
I Réponses
5
𝑧 = 𝑖 cos 2 (𝜃) − cos(𝜃) × sin(𝜃)
𝑧 = cos(𝜃) [𝑖 cos(𝜃) − sin(𝜃)]
𝜋
𝑧 = − cos(𝜃) [−𝑖 cos(𝜃) + sin(𝜃)] car cos(𝜃) < 0 lorsque < 𝜃 < 𝜋 0.25
2
𝑧 = − cos(𝜃) [𝑖 cos(𝜋 − 𝜃) + sin(𝜋 − 𝜃)] 0.25
1) 𝜋 𝜋 1
𝑧 = − cos(𝜃) [𝑖 sin ( − 𝜋 + 𝜃) + cos ( − 𝜋 + 𝜃)] 0.25
2 2
𝜋 𝜋
𝑧 = − cos(𝜃) [cos (𝜃 − ) + 𝑖 sin (𝜃 − )]
2 2
𝜋
Donc |𝑧| = − cos(𝜃) et 𝑎𝑟𝑔(𝑧) = 𝜃 − + 2𝑘𝜋 𝒂 0.25
2
2) 𝐶73 = 35 𝒃 0.5
1
𝑓(𝑥) =
ln(1 − ln 𝑥)
𝑥 > 0. 0.25
3) 1
1 − ln 𝑥 > 0; − ln 𝑥 > −1; ln 𝑥 < 1; 𝑥 < 𝑒. 0.25
ln(1 − ln 𝑥) ≠ 0; 1 − ln 𝑥 ≠ 1; ln 𝑥 ≠ 0; 𝑥 ≠ 1. 0.25
Donc 𝐷𝑓 = ]0; 1[ ∪ ]1; 𝑒[ 𝒄 0.25
2
𝑈𝑛+1 = ; 𝑈0 = 1
𝑈𝑛 +1
2 2
𝑈1 = = = 1; 𝑈1 − 𝑈0 = 1 − 1 = 0. 0.25 / 0.25
𝑈0 +1 2
On suppose que 𝑈𝑛 − 𝑈𝑛−1 = 0 et on montre que 𝑈𝑛+1 − 𝑈𝑛 = 0.
4) 2 2 2𝑈 +2−2𝑈𝑛 −2 2𝑈 −2𝑈 −2(𝑈 −𝑈 ) 1
𝑈𝑛+1 − 𝑈𝑛 = − = (𝑈𝑛−1 = (𝑈 𝑛−1 𝑛 = (𝑈 𝑛 𝑛−1
𝑈𝑛 +1 𝑈𝑛−1 +1 𝑛 +1)(𝑈𝑛−1 +1) 𝑛 +1)(𝑈𝑛−1 +1) 𝑛 +1)(𝑈𝑛−1 +1)
−2(0)
= (𝑈 =0 0.25
𝑛 +1)(𝑈𝑛−1 +1)
Donc (𝑈𝑛 ) est une suite stationnaire. 𝒃 0.25
1 3 1 1 1
ln √3 + ln 8 − ln ( )
2 4 = 2 ln 3 + 3ln 2 − 2 ln 3 + 2 × 2 ln 2
5) ln 𝑒 5 + (ln5 𝑒) ln 4 − 5 5 + (1) × 2 ln 2 − 5 1.5
4 ln 2
= =2 𝒂
2 ln 2

Notes
II Réponses
6.5
𝑥 + 2𝑦 − 𝑧 − 1 = 0
𝑡 + 2(−𝑡 + 1) − (−𝑡 + 1) − 1 = 0
𝑡 − 2𝑡 + 2 + 𝑡 − 1 − 1 = 0 ; 0 = 0 donc (𝑑) ⊂ (𝑃) 0.25
1) 1 + 2(1) − 2 − 1; 0 = 0 donc 𝐴 ∈ (𝑃) 0.25 0.75
1=𝑡 𝑡=1
{1 = −𝑡 + 1 → { 𝑡 = 0 donc 𝐴 ∉ (𝑑) 0.25
2 = −𝑡 + 1 𝑡 = −1
−1 = 𝜆 + 2 𝜆 = −3
2)a) { 0 = 𝜆 + 3 → {𝜆 = −3 donc 𝐵 ∈ (𝑑 ′ ) 0.25
1=1 1=1
 𝑥 + 2𝑦 − 𝑧 − 1 = 0 ; 𝜆 + 2 + 2(𝜆 + 3) − (1) − 1 = 0
2)b) 𝜆 + 2 + 2𝜆 + 6 − 2 = 0 ; 3𝜆 = −6; 𝜆 = −2. 0.25 0.5
𝐺(𝜆 + 2; 𝜆 + 3; 1) Donc 𝐺(0; 1; 1) 0.25
𝐵 et 𝐺 sont deux points de (𝑑 ′ ) donc 𝑣 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗(1;
(𝑑 ′ ) 1; 0) est un vecteur
directeur de (𝐵𝐺) 0.25
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗. 𝑣(𝑑′) = (1)(1) + (−1)(1) + (−1)(0) = 0 donc (𝑑) ⊥ (𝐵𝐺)
𝑣(𝑑) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 0.25
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (−1; 0; −1)
𝐴𝐺
𝑣(𝑑) 𝐴𝐺
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = (1)(−1) + (−1)(0) + (−1)(−1) = 0; donc (𝑑) ⊥ (𝐴𝐺) 0.25
2)c) (𝑑) ⊥ (𝐵𝐺) 1.25
} donc (𝑑) ⊥ (𝐴𝐺𝐵) 0.25
(𝑑) ⊥ (𝐴𝐺)
0=𝑡 𝑡=0
{1 = −𝑡 + 1 → {𝑡 = 0 donc 𝐺 ∈ (𝑑)
1 = −𝑡 + 1 𝑡=0
Alors (𝑑) est perpendiculaire à (𝐴𝐺𝐵) en 𝐺 0.25
𝐻 est le projeté orthogonal de 𝐵 sur (𝑃) donc (𝐵𝐻) ⊥ (𝑃) alors 𝑛⃗⃗(1; 2; −1) est
un vecteur directeur de (𝐵𝐻) et puisque 𝐵 ∈ (𝐵𝐻) 0.25
𝑥 = 𝑡′ − 1
′
3)a) Alors (𝐵𝐻): { 𝑦 = 2𝑡 ′ où 𝑡′ est un paramètre réel. 0.25 0.75
𝑧 = −𝑡 + 1
𝑡 ′ − 1 + 2(2𝑡 ′ ) − (−𝑡 ′ + 1) − 1 = 0
1 1 1
𝑡 ′ − 1 + 4𝑡 ′ + 𝑡 ′ − 1 − 1 = 0; 6𝑡 ′ = 3; 𝑡 ′ = donc 𝐻 (− ; 1; ) 0.25
2 2 2
(𝐵𝐻) ⊥ (𝑃) en 𝐻 et 𝐶 est le symétrique de 𝐵 par rapport à (𝑃) donc 𝐻 est le
milieu de [𝐵𝐶] 0.25
1
3)b) Alors 𝑥𝐶 = 2𝑥𝐻 − 𝑥𝐵 = 2 (− 2) − (−1) = 0 0.5
1
𝑦𝐶 = 2𝑦𝐻 − 𝑦𝐵 = 2(1) − 0 = 2 et 𝑧𝐶 = 2𝑧𝐻 − 𝑧𝐵 = 2 ( ) − 1 = 0.
2
Donc 𝐶(0; 2; 0) 0.25
𝐴(1; 1; 2) 𝐵(−1; 0; 1) 𝐶(0; 2; 0)
𝐴𝐵 = √(−1 − 1)2 + (0 − 1)2 + (1 − 2)2 = √4 + 1 + 1 = √6
𝐴𝐶 = √(0 − 1)2 + (2 − 1)2 + (0 − 2)2 = √1 + 1 + 4 = √6
𝐵𝐶 = √(0 − (−1))2 + (2 − 0)2 + (0 − 1)2 = √1 + 4 + 1 = √6
𝐴𝐵 = 𝐴𝐶 = 𝐵𝐶 donc 𝐴𝐵𝐶 est un triangle équilatéral 0.25
4) 𝑥𝐴 + 𝑥𝐵 + 𝑥𝐶 𝑦𝐴 + 𝑦𝐵 + 𝑦𝐶 𝑧𝐴 + 𝑧𝐵 + 𝑧𝐶 0.5
𝑥𝐺 = 𝑦𝐺 = 𝑧𝐺 =
3 3 3
1−1+0 1+0+2 2+1+0
0= 1= 1=
3 3 3
0=0 1=1 1=1
Donc 𝐺 est le centre de gravité de 𝐴𝐵𝐶. 0.25
𝐷 ∈ (𝑑) donc 𝐷(𝑡; −𝑡 + 1; −𝑡 + 1)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵(−2; −1; −1) 𝐴𝐶⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (−1; 1; −2) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐷 (𝑡 − 1; −𝑡; −𝑡 − 1)
𝑡 − 1 −𝑡 −𝑡 − 1
5)a) 𝑉 = 1 | −2 −1 −1 |
1
= |(3)(𝑡 − 1) − (3)(−𝑡) + (−3)(−𝑡 − 1)| 0.25 0.5
6 6
−1 1 −2
1 1 9 3
= |3𝑡 − 3 + 3𝑡 + 3𝑡 + 3| = |9𝑡| = |𝑡| = |𝑡| 0.25
6 6 6 2
 𝐴𝐵𝐶𝐷 est un tétraèdre régulier donc il faut que 𝐴𝐷 = 𝐴𝐶 = 𝐴𝐵 = 𝐵𝐶 = √6
Soit 𝑀 le milieu de [𝐵𝐶], donc (𝐴𝑀) est un médiane et à la fois hauteur alors
√6.√3 3√2
𝐴𝑀𝐶 est un triangle semi-équilatéral donc 𝐴𝑀 = = 0.25
2 2
2 2 3√2
𝐺 est le centre de gravité de 𝐴𝐵𝐶 donc 𝐴𝐺 = = √2 0.25 𝐴𝑀 = ×
3 3 2
(𝐷𝐺) ⊥ (𝐴𝐺) donc 𝐴𝐺𝐷 est un triangle rectangle en 𝐺 alors 𝐷𝐺 2 = 𝐴𝐷2 − 𝐴𝐺 2
5)b) 𝐷𝐺 2 = 6 − 2 = 4 donc 𝐷𝐺 = 2 0.25 1.5
D’autre part 𝐷𝐺 = √(0 − 𝑡)2 + (1 + 𝑡 − 1)2 + (1 + 𝑡 − 1)2
𝐷𝐺 = √𝑡 2 + 𝑡 2 + 𝑡 2 = √3𝑡 2 = |𝑡|√3 0.25
2 2√3
|𝑡|√3 = 2; |𝑡| = = 0.25
√3 3
3 3 2√3
Alors 𝑉 = |𝑡| = × = √3 𝑢 3 0.25
2 2 3

Notes
III Réponses
7
Partie A
1 1 1
1) 𝑃(𝑀) = × × 6 = 0.25/0.25 0.5
6 6 6
𝐶33 1
𝑃(𝐵1 /𝑀) = = 0.25/0.25
𝐶43 4
2)a) 1 1 1
1
𝑃(𝐵1 ∩ 𝑀) = 𝑃(𝐵1 /𝑀) × 𝑃(𝑀) = × = 0.25/0.25
4 6 24
𝑃(𝐵1 ∩ 𝑀) = 𝑃(𝐵1 /𝑀) × 𝑃(𝑀)
3𝐴3 6 1 5
2)b) = 𝐴3 × (1 − 𝑃(𝑀)) = 24 × (1 − 6) = 24 0.25/0.25 0.75
4
1 5 1
𝑃(𝐵1 ) = 𝑃(𝐵1 ∩ 𝑀) + 𝑃(𝐵1 ∩ 𝑀) = + = 0.25
24 24 4
𝐶22 1
𝑃(𝐵2 /𝐵1 ) = = 0.25/0.25
𝐶52 10
3)a) 1 1 1
0.75
𝑃(𝐵2 ∩ 𝐵1 ) = 𝑃(𝐵2 /𝐵1 ) × 𝑃(𝐵1 ) = × = 0.25
10 4 40
22 4 1 3
𝑃(𝐵2 /𝐵1 ) = = , 𝑃(𝐵1 ) = 1 − 𝑃(𝐵1 ) = 1 − = 0.25/0.25
52 25 4 4
4 3 3
3)b) 𝑃(𝐵2 ∩ 𝐵1 ) = 𝑃(𝐵2 /𝐵1 ) × 𝑃(𝐵1 ) = × = 0.25 1
25 4 25
1 3 29
𝑃(𝐵2 ) = 𝑃(𝐵2 ∩ 𝐵1 ) + 𝑃(𝐵2 ∩ 𝐵1 ) = + = 0.25
40 25 200
1
𝑃(𝐵1 ∩𝐵2 ) 40 5
4) 𝑃(𝐵1 /𝐵2 ) = = 29 = 0.25/0.25 0.5
𝑃(𝐵2 ) 29
200
Partie B
1 3 1 3 32 1 9
1) 𝑃1 = ; 𝑃2 = × = ; 𝑃3 = × = 0.25/0.25/0.25 0.75
4 4 4 16 42
4 64
3 3 3 3 1 1 3 𝑛−1
𝑃𝑛 = ⏟× × × … × × = ( ) 0.25
4 4 4 4 4 4 4
(𝑛−1) 𝑓𝑜𝑖𝑠
2) 1 3 𝑛 0.75
𝑃𝑛+1 ( ) 3 𝑛−𝑛+1 3
= 4 4
1 3 𝑛−1
=( ) = donc 𝑃𝑛 est la fomre générale des termes d’une
𝑃𝑛 ( ) 4 4
4 4
suite géométrique. 0.25/0.25
 1 3 𝑛−1 3 𝑛−1 3 𝑛−1
𝑃𝑛 < 0.1; ( ) < 0.1 → ( ) < 0.4 → ln ( ) < ln(0.4) 0.25
4 4 4 4
ln(0.4) ln(0.4)
3) (𝑛 − 1) ln(0.75) < ln(0.4) → 𝑛 − 1 > →𝑛> +1 0.25/0.25 1
ln(0.75) ln(0.75)
𝑛 > 4.185 donc 𝑛 = 5.
Alors le plus petit nombre de tirages tel que 𝑃𝑛 < 10% est 5 tirages 0.25

Notes
IV Réponses
9
Partie A
𝑔(𝑥) = 2(𝑎 + 𝑏𝑥)𝑒 −𝑥 + 𝑐
𝑔′ (𝑥) = 2(𝑏 − 𝑎 − 𝑏𝑥)𝑒 −𝑥
(𝐺) passe par le point 𝐴(−1; 2) donc 𝑔(−1) = 2; 2(𝑎 − 𝑏)𝑒 + 𝑐 = 2
(𝐺) admet un maximum local au point 𝐵(0; 4) donc 𝑔(0) = 4; 2𝑎 + 𝑐 = 4
1) 1
𝑔′ (0) = 0; 𝑏 − 𝑎 = 0 0.25
2(0)𝑒 + 𝑐 = 2; 𝑐 = 2
2𝑎 + 𝑐 = 4; 2𝑎 = 2; 𝑎 = 1
𝑏 − 𝑎 = 0; 𝑏 = 1 0.25
𝑔′ (𝑥) = −2𝑥𝑒 −𝑥 0.25
′ (𝑥)
𝑔 = 0; 𝑥 = 0;
𝑥 −∞ 0 +∞
2)a) 𝑔′(𝑥) + − 0.25 0.75
4 0.25
𝑔(𝑥)
−∞ 2
Pour 𝑥 ∈ [0; +∞[; le minimum de 𝑔(𝑥) est 2 donc 𝑔(𝑥) = 0 n’admet aucune
solution sur [0; +∞[. 0.25
Pour 𝑥 ∈ ]−∞; 0];
𝑔(𝑥) est continue
𝑔(𝑥) est strictement croissante
2)b) lim 𝑔(𝑥) = −∞ < 0 0.75
𝑥→−∞
𝑔(0) = 4 > 0 donc 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique sur ]−∞; 0]
Et par suite 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 sur ℝ. 0.25
𝑔(−1.28) ≈ −0.01 < 0
𝑔(−1.27) ≈ 0.07 > 0 donc −1.28 < 𝛼 < −1.27 0.25
Pour 𝑥 ∈ ]−∞; 𝛼[ ; 𝑔(𝑥) < 0.
2)c) Pour 𝑥 ∈ ]𝛼; +∞[ ; 𝑔(𝑥) > 0. 0.25 0.5
Pour 𝑥 = 𝛼; 𝑔(𝑥) = 0. 0.25
Partie B
2𝑥 1+𝑒 −𝑥 +2𝑥 2𝑥+1+𝑒 −𝑥
1)a) 1 + = = = 𝑓(𝑥) 0.25
1+𝑒 −𝑥 1+𝑒 −𝑥 1+𝑒 −𝑥
2𝑥 2
lim 𝑓(𝑥) = lim 1 + = lim 1 + =1+0=1 0.25
1)b) 𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 1+𝑒 −𝑥 𝑥→−∞ −𝑒 −𝑥 0.5
Donc (𝑑): 𝑦 = 1 est une asymptote horizontale à (𝐶) en −∞ 0.25
 2𝑥 (2𝑥+1)(1+𝑒 𝑥 )−2𝑥 2𝑥+2𝑥𝑒 𝑥 +1+𝑒 𝑥 −2𝑥 2𝑥𝑒 𝑥 +𝑒 𝑥 +1
2𝑥 + 1 − 𝑥
= = = =
1+𝑒 1+𝑒 𝑥 1+𝑒 𝑥 1+𝑒 𝑥
𝑒 −𝑥 (2𝑥𝑒 𝑥 +𝑒 𝑥 +1) 2𝑥+1+𝑒 −𝑥
2)a) = = 𝑓(𝑥) 0.25 0.5
𝑒 −𝑥 (1+𝑒 𝑥 ) 𝑒 −𝑥 +1
2𝑥 2
lim 𝑓(𝑥) = lim 2𝑥 + 1 − = lim 2𝑥 + 1 − = +∞ 0.25
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 1+𝑒 𝑥 𝑥→+∞ 𝑒𝑥
2𝑥 2𝑥
lim [𝑓(𝑥) − 𝑦] = lim 2𝑥 + 1 − − 2𝑥 − 1 = lim −
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 1+𝑒 𝑥 𝑥→+∞ 1+𝑒 𝑥
2)b) 2 0.25
= lim − = 0 donc (𝐷): 𝑦 = 2𝑥 + 1 est une asymptote oblique à (𝐶) en +∞
𝑥→+∞ 𝑒𝑥
2𝑥
𝑓(𝑥) − 𝑦 = − ; −2𝑥 = 0; 𝑥 = 0. 1 + 𝑒 𝑥 > 0
1+𝑒 𝑥
𝑥 −∞ 0 +∞
𝑓(𝑥) − 𝑦 + − 0.25
2)c) 0.5
Pour 𝑥 ∈ ]−∞; 0[; 𝑓(𝑥) − 𝑦 > 0; 𝑓(𝑥) > 𝑦; (𝐶) au dessus de (𝐷).
Pour 𝑥 ∈ ]0; +∞[; 𝑓(𝑥) − 𝑦 < 0; 𝑓(𝑥) < 𝑦; (𝐶) au dessous de (𝐷).
Pour 𝑥 = 0; 𝑓(𝑥) − 𝑦 = 0; 𝑓(𝑥) = 𝑦; (𝐶) coupe (𝐷) en (0; 1) 0.25
2𝑥 ′ 2(1+𝑒 −𝑥 )−(−𝑒 −𝑥 )(2𝑥) 2+2𝑒 −𝑥 +2𝑥𝑒 −𝑥
𝑓 ′ (𝑥) = (1 + ) =0+ =
1+𝑒 −𝑥 (1+𝑒 −𝑥 )2 (1+𝑒 −𝑥 )2
2(1+𝑥)𝑒 −𝑥 +2 𝑔(𝑥)
= (1+𝑒 −𝑥 )2
= (1+𝑒 −𝑥)2 0.25
3)a) 𝑥 −∞ 𝛼 +∞ 0.75
𝑓′(𝑥) − + 0.25
1 +∞ 0.25
𝑓(𝑥) 𝑓(𝛼)
1
𝑔(𝛼) = 0; 2(1 + 𝛼)𝑒 −𝛼 + 2 = 0; 2(1 + 𝛼)𝑒 −𝛼 = −2; 𝑒 −𝛼 = − 0.25
1+𝛼
2𝛼 2𝛼 2𝛼 2𝛼 1+𝛼
𝑓(𝛼) = 1 + =1+ 1 =1+ 1+𝛼−1 =1+ 𝛼 = 1 + 2𝛼 ×
1+𝑒 −𝛼 1− 𝛼
1+𝛼 1+𝛼 1+𝛼
3)b) = 1 + 2(1 + 𝛼) = 2𝛼 + 3 0.25 0.75
−1.28 < 𝛼 < −1.27
−2.56 < 2𝛼 < −2.54
0.44 < 2𝛼 + 3 < 0.56 donc 0.44 < 𝑓(𝛼) < 0.56 0.25

(𝑪)

4) 1
(𝒅)

(𝑫)
 𝐾(𝛼; 𝑓(𝛼)) ; 𝐿(𝛼; 𝑦(𝛼))
𝑓(𝛼) = 2𝛼 + 3 ; 𝑦(𝛼) = 2𝛼 + 1 0.25
5) 0.5
𝐾𝐿 = √(𝑥𝐿 − 𝑥𝐾 )2 + (𝑦𝐿 − 𝑦𝐾 )2 = √(𝛼 − 𝛼)2 + (2𝛼 + 1 − 2𝛼 − 3)2
= √0 + (−2)2 = √4 = 2 0.25
Partie C
𝐹(𝑥) = ln(1 − 𝑓(𝑥))
1) 1 − 𝑓(𝑥) > 0; −𝑓(𝑥) > −1; 𝑓(𝑥) < 1; 0.25 0.5
𝐷𝐹 = ]−∞; 0[ 0.25
−𝑓′(𝑥)
𝐹 ′ (𝑥) = ; on a 1 − 𝑓(𝑥) > 0 sur 𝐷𝐹 = ]−∞; 0[ 0.25
1−𝑓(𝑥)
Donc le signe de 𝐹′(𝑥) est le même de −𝑓′(𝑥)
Pour 𝑥 ∈ ]−∞; 𝛼[; 𝑓 ′ (𝑥) < 0; −𝑓 ′ (𝑥) > 0;
2) 𝐹 ′ (𝑥) > 0 donc 𝐹(𝑥) est croissante. 0.5
Pour 𝑥 ∈ ]𝛼; +∞[; 𝑓 ′ (𝑥) > 0; −𝑓 ′ (𝑥) < 0;
𝐹 ′ (𝑥) < 0 donc 𝐹(𝑥) est décroissante.
Pour 𝑥 = 𝛼; 𝑓 ′ (𝑥) = 0; −𝑓 ′ (𝑥) = 0;
𝐹 ′ (𝑥) = 0 donc 𝐹(𝑥) admet un maximum local. 0.25

Notes
V Réponses
4
𝑧𝐵 1+𝑖 √3 (1+𝑖 √3)(2+2𝑖) 2+2𝑖+2𝑖 √3−2√3 2(1−√3) 2(1+√3)
= =
(2−2𝑖)(2+2𝑖)
= = +𝑖
𝑧𝐴 2−2𝑖 4+4 8 8
1−√3 1+√3
= +𝑖 0.25
4 4
1)a) 𝑧𝐵 1+𝑖 √3
𝜋 𝜋
2(cos( )+𝑖 sin( ))
𝜋
cos( )+𝑖 sin( )
𝜋
1
𝑖
𝑒 3
𝜋
1 7𝜋 0.5
3 3 3 3 𝑖
= = 𝜋 𝜋 = 𝜋 𝜋 = × 𝜋 = 𝑒 12
𝑧𝐴 2−2𝑖 2√2(cos( 4 )−𝑖 sin( 4 )) √2(cos(− 4 )+𝑖 sin(− 4 )) √2 −𝑖
𝑒 4 √2
1 7𝜋 7𝜋
= (cos ( 12 ) + 𝑖 sin ( 12 )) 0.25
√2

1 7𝜋 7𝜋 1−√3 1+√3
2
(cos ( 12 ) + 𝑖 sin ( 12 )) = 4
+𝑖
4
√
7𝜋 7𝜋 √2−√6 √2+√6
1)b) cos ( ) + 𝑖 sin ( ) = +𝑖 0.25 0.5
12 12 4 4
7𝜋 √2−√6 7𝜋 √2+√6
Donc cos ( ) = et sin ( ) = 0.25
12 4 12 4

|𝑧′| = |𝑧 ′ − 0| = |𝑧𝑀′ − 𝑧𝑂 | = |𝑧⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

𝑂𝑀′
| = 𝑂𝑀′ 0.25
2)a) |𝑧 − 2 + 2𝑖| = |𝑧𝑀 − 𝑧𝐴 | = |𝑧⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝑀 | = 𝐴𝑀 0.5
|𝑧 − 𝑖| = |𝑧𝑀 − 𝑧𝐶 | = |𝑧⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶𝑀 | = 𝐶𝑀 0.25
𝑧−2+2𝑖 𝑧−2+2𝑖 |𝑧−2+2𝑖|
𝑧′ = ; donc |𝑧′| = | |= |𝑧−𝑖|
0.25
𝑧−𝑖 𝑧−𝑖
2)b) |𝑧−2+2𝑖| 𝐴𝑀 0.5
|𝑧′| =
|𝑧−𝑖|
; alors 𝑂𝑀′ = 0.25
𝐶𝑀

𝑀′ décrit un cercle de centre 𝑂 et de rayon 1 donc 𝑂𝑀′ = 1

2)c) 𝐴𝑀 𝐴𝑀 0.25
𝑂𝑀′ = ; 1 = ; 𝐶𝑀 = 𝐴𝑀; alors 𝑀 varie sur la médiatrice du segmet [𝐶𝐴].
𝐶𝑀 𝐶𝑀
 𝑧−2+2𝑖
(𝑧 ′ − 1)(𝑧 − 𝑖) = 𝑧 ′ (𝑧 − 𝑖) − 1(𝑧 − 𝑖) = (𝑧 − 𝑖) − 𝑧 + 𝑖
𝑧−𝑖
= 𝑧 − 2 + 2𝑖 − 𝑧 + 𝑖 = −2 + 3𝑖. 0.25
3)a) (𝑧 ′ − 1)(𝑧 − 𝑖) = −2 + 3𝑖 donc |(𝑧 ′ − 1)(𝑧 − 𝑖)| = |−2 + 3𝑖| 0.5
|𝑧 ′ − 1| × |𝑧 − 𝑖| = √(−2)2 + 32
|𝑧𝑀′ − 𝑧𝐷 | × |𝑧𝑀 − 𝑧𝐶 | = √13 donc 𝐷𝑀′ × 𝐶𝑀 = √13. 0.25
√13 √13
𝑀 décrit un cercle de centre 𝐶 et de rayon donc 𝐶𝑀 =
2 2
3)b) 𝐷𝑀′ × 𝐶𝑀 = √13; 𝐷𝑀′ × √13 = √13 donc 𝐷𝑀′ = 2 0.25
2
Alors 𝑀′ varie sur le cercle de centre 𝐷 et de rayon 2.
𝑧−2+2𝑖
𝑧′ = ;
𝑧−𝑖
𝑥+𝑖𝑦−2+2𝑖 (𝑥−2)+𝑖(𝑦+2) 𝑥−𝑖(𝑦−1)
𝑥 + 𝑖𝑦 ′ =
′
= ×
𝑥+𝑖𝑦−𝑖 𝑥+𝑖(𝑦−1) 𝑥−𝑖(𝑦−1)
(𝑥−2)𝑥−𝑖(𝑥−2)(𝑦−1)+𝑖(𝑦+2)𝑥+(𝑦+2)(𝑦−1)
=
𝑥 2 +(𝑦−1)2
𝑥 −2𝑥−𝑖(𝑥𝑦−𝑥−2𝑦+2)+𝑖(𝑥𝑦+2𝑥)+𝑦 2 −𝑦+2𝑦−2
2
4)a) = 𝑥 2 +(𝑦−1)2 0.5
2 2
𝑥 +𝑦 −2𝑥+𝑦−2+𝑖(−𝑥𝑦+𝑥+2𝑦−2+𝑥𝑦+2𝑥)
=
𝑥 2 +(𝑦−1)2
2 2
𝑥 +𝑦 −2𝑥+𝑦−2+𝑖(3𝑥+2𝑦−2) 𝑥 2 +𝑦 2 −2𝑥+𝑦−2 3𝑥+2𝑦−2
= = +𝑖
𝑥 2 +(𝑦−1)2 𝑥 2 +(𝑦−1)2 𝑥 2 +(𝑦−1)2
𝑥 2 +𝑦 2 −2𝑥+𝑦−2 3𝑥+2𝑦−2
Donc 𝑥 ′ = et 𝑦 ′ = 0.25/0.25
𝑥 2 +(𝑦−1)2 𝑥 2 +(𝑦−1)2
𝑥 2 +𝑦 2 −2𝑥+𝑦−2
𝑧′ est imaginaire pur donc 𝑥 ′ = 0; = 0; 𝑥 2 + 𝑦 2 − 2𝑥 + 𝑦 − 2 = 0
𝑥 2 +(𝑦−1)2
−2𝑎 = −2; 𝑎 = 1
1
−2𝑏 = 1; 𝑏 = − 0.25
4)b) 2 0.5
1 √13
𝑅 = √𝑎2 + 𝑏 2 − 𝑐 = √1 + + 2 =
4 2
1 √13
Donc 𝑀 varie sur le cercle de centre (1; − ) et de rayon . 0.25
2 2

Notes
VI Réponses
4.5
Partie A
𝑎 2
√
𝑆(𝐴) = 𝐶 𝐶𝐸 2 √2
} donc 𝐾 = 𝐴𝐶 = 𝑎 = 2 0.25
1)a) 𝑆(𝐶) = 𝐸 0.5
𝜋 3𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛼 = (𝐴𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶𝐸 ) = (−𝐶𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶𝐸 ) = (𝐶𝐴 𝐶𝐸 ) + 𝜋 = − + 𝜋 = [2𝜋] 0.25
4 4
𝑎√2
𝐶𝐵 2 √2
= = =𝐾 0.25
𝐴𝐷 𝑎 2
1)b) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗; −𝐴𝐸
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = (𝐴𝐷
⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝜋 3𝜋 0.5
(𝐴𝐷; 𝐶𝐵) = (𝐴𝐷 𝐸𝐴) = (𝐴𝐷 𝐴𝐸 ) + 𝜋 = − + 𝜋 = = 𝛼
4 4
Puisque 𝑆(𝐴) = 𝐶 donc 𝑆(𝐷) = 𝐵. 0.25
 𝑆(𝐷) = 𝐵
𝑆(𝐴) = 𝐶
} puisque 𝐵𝐶𝐸𝐴 est un carré alors 𝐷𝐴𝐶𝐹 est un carré. 0.25
2) 𝑆(𝐶) = 𝐸 0.5
𝑆(𝐹) = 𝐴
Construction de 𝐹. 0.25
𝑆 ′ (𝐴) = 𝐴 𝐴𝐶 𝑎 2
′ (𝐸) } donc 𝐾 ′ = 𝐴𝐸 = 𝑎√2 = 2 = √2 0.25
3)a) 𝑆 =𝐶 2
√
0.5
𝛼 ′ = (𝐴𝐸 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = − 𝜋 [2𝜋]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝐴𝐶 0.25
4
𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Soit 𝑆 ′ (𝐷) = 𝐷′ donc (𝐴𝐷 𝐴𝐷′) = − alors 𝐷′ ∈ (𝐴𝐸). 0.25
4
3)b) 𝐴𝐷′ 𝐴𝐹
0.5
et = √2 ; on a = √2 et 𝐹 ∈ (𝐴𝐸) donc 𝑆 ′ (𝐷) = 𝐹 0.25
𝐴𝐷 𝐴𝐷
√2 3𝜋 𝜋 𝜋
𝑇 = 𝑆 ○ 𝑆′ ; 𝐾 × 𝐾 ′ = × √2 = 1 ; 𝛼 + 𝛼 ′ = − = 0.25/0.25
2 4 4 2
′ (𝐸) ′ (𝐸)]
4) 𝑇(𝐸) = 𝑆 ○ 𝑆 = 𝑆[𝑆 = 𝑆(𝐶) = 𝐸 donc 𝐸 est le centre de 𝑇 0.25 1
𝜋
Donc 𝑇 (𝐸; ) est une rotation. 0.25
2
Partie B
3𝜋
√2 𝑖 √2 √2 √2 1 1
𝑧 ′ = 𝑎𝑧 + 𝑏; 𝑎 = 𝐾𝑒 𝑖𝛼 = 𝑒 4 = (− +𝑖 ) =− + 𝑖 0.25
2 2 2 2 2 2
1 1
1) 𝑆(𝐴) = 𝐶; donc 𝑧𝐶 = (− + 𝑖) 𝑧𝐴 + 𝑏; 1 = 𝑏. 0.5
2 2
1 1
Donc 𝑧 ′ = (− + 𝑖) 𝑧 + 1. 0.25
2 2
𝑏 1 3 1
2) 𝑧𝑊 = =3 1 = + 𝑖 0.25/0.25 0.5
1−𝑎 − 𝑖 5 5
2 2

Notes
VII Réponses
4
Partie A
𝑥 𝑥)
𝑦 = 𝑎 ; ln(𝑦) = ln(𝑎 alors ln(𝑦) = 𝑥 ln(𝑎) 0.25
𝑦′
1) ln(𝑦) = 𝑥 ln(𝑎);[ln(𝑦)]′ = [𝑥 ln(𝑎)]′ ; = ln(𝑎); 0.5
𝑦
𝑦 ′ = 𝑦 ln(𝑎) donc 𝑦 ′ = 𝑎 𝑥 ln(𝑎). 0.25
𝑎𝑥 ln(𝑎)
ln(1+𝑎𝑥 ) 1+𝑎𝑥 𝑎𝑥 ln(𝑎) ln(𝑎)
lim = lim = lim = lim 0.25
2) 𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ 1 𝑥→+∞ 𝑎𝑥 (𝑎−𝑥 +1) 𝑥→+∞ 𝑎−𝑥 +1 0.5
ln(𝑎) ln(𝑎)
= = = ln(𝑎) 0.25
𝑎−∞ +1 0+1
Partie B
1 𝑒 𝑛𝑥 (1) 𝑒 𝑛𝑥 𝑒 𝑛𝑥
= = = 0.25
1+𝑒 −𝑛𝑥 𝑒 𝑛𝑥 (1+𝑒 −𝑛𝑥 ) 𝑒 0 +𝑒 𝑛𝑥 1+𝑒 𝑛𝑥
ln(3) 1 ln(3) 𝑒 𝑛𝑥 1 ln(3) 𝑛𝑒 𝑛𝑥
𝑈𝑛 = ∫0 𝑑𝑥 = ∫0 𝑑𝑥 = ∫ 𝑑𝑥
1+𝑒 −𝑛𝑥 1+𝑒 𝑛𝑥 𝑛 0 1+𝑒 𝑛𝑥
1) 1 ln(3) 1 0.5
𝑛𝑥 ) 𝑛 ln(3) 𝑛(0)
= ln(1 + 𝑒 |
= [ln(1 + 𝑒 ) − ln(1 + 𝑒 )]
𝑛 0 𝑛
1 𝑛 ln(1+3𝑛 ) ln(2)
= [ln(1 + 𝑒 ln(3 ) ) − ln(1 + 1)] = − 0.25
𝑛 𝑛 𝑛
 ln(1+31 ) ln(2)
𝑈1 = − = ln(4) − ln(2) = 2 ln(2) − ln(2) = ln(2) 0.25/0.25
1 1
ln(1+32 ) ln(2) 1 1
2) 𝑈2 = − = [ln(1 + 9) − ln(2)] = [ln(10) − ln(2)] 1
2 2 2 2
1 1 1
= [ln(5 × 2) − ln(2)] = [ln(5) + ln(2) − ln(2)] = ln(5) 0.25/0.25
2 2 2
ln(1+𝑎𝑥 ) ln(1+3𝑛 )
lim = ln(𝑎) donc lim = ln(3)
𝑥→+∞ 𝑥 𝑛→+∞ 𝑛
ln(1+3𝑛 ) ln(2)
3) lim 𝑈𝑛 = lim [ − ] = ln(3) + 0 = ln(3) 0.25 0.5
𝑛→+∞ 𝑛→+∞ 𝑛 𝑛
Puisque lim 𝑈𝑛 = ln(3) ∈ ℝ donc (𝑈𝑛 ) est convergente. 0.25
𝑛→+∞
Partie C
ln(3) ln(3)
1) 𝒜=∫ (𝑓(𝑥) − 0) 𝑑𝑥 = ∫ 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥 0.5
0 0
ln(3) ln(3)
1
2) 𝒜=∫ 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥 = ∫ 𝑑𝑥 = 𝑈1 = ln(2) 0.5
0 0 1 + 𝑒 −𝑥