pcsi 2021-22 exercices du chapitre 2
Exercices du chapitre 2 (b) ∃k ∈ N, ∀ n ∈ N, n < k .
2. (a) ∃m ∈ N, ∀n ∈ N, ∃q ∈ N, nq = m ; VRAI (m = 0).
Ensembles et applications (b) ∀ m ∈ N, ∃ n ∈ N, ∀ q ∈ N, nq 6= m .
3. (a) ∀x ∈ R, ∃y ∈ R, x = y 2 , FAUX
(b) ∃ x ∈ R, ∀ y ∈ R, x 6= y 2 .
∃x ∈ R, ∀(p, q) ∈ Z × Z∗ , x 6= q ; VRAI
p
4. (a)
Logique ∀ x ∈ R, ∃(p, q) ∈ Z × Z∗ , x = q .
p
(b)
5. (a) ∃x ∈ R, x > x 2 ;VRAI (x = 1/2)
Exercice 1.
(b) ∀ x ∈ R, x É x 2 .
Traduire avec des quantificateurs les deux assertions :
6. (a) ∀(x 1 , x 2 , x 3 ) ∈ (R∗ )3 , ∃(i , j ) ∈ {1, 2, 3}2 , i 6= j , x i x j > 0 ; VRAI
1. a1 , a2 , . . . , an sont n réels non tous nuls,
(b) ∃(x 1 , x 2 , x 3 ) ∈ (R∗ )3 , ∀ (i , j ) ∈ {1, 2, 3}2 , i 6= j , x i x j < 0.
2. a1 , a2 , . . . , an sont n réels tous non nuls.
Solution :
1. ∃i ∈ 1, n, ai 6= 0 ; Ensembles
2. ∀i ∈ 1, n, ai 6= 0.
Exercice 4.
A, B,C , D sont des parties d’un ensemble E . Montrer les résultats suivants :
Exercice 2. 1. A ∪ A = E et A ∩ A = ;.
R R
Soit E un ensemble, soient f : E → et g : E → . deux applications.
2. A ⊂ A ∪ B et B ⊂ A ∪ B
Écrire à l’aide de quantificateurs, les affirmations suivantes et leur négation.
3. A ∩ B ⊂ A et A ∩ B ⊂ B
1. f est à valeur dans [0, 1]. 2. f est l’application nulle. 4. A ⊂ B ⇐⇒ A ⊃ B et en déduire que A = B ⇐⇒ A = B
3. f ne s’annule jamais. 4. f s’annule au moins une fois. 5. [A ⊂ C et B ⊂ D] ⇒ [A ∩ B ⊂ C ∩ D et A ∪ B ⊂ C ∪ D]
6. A ∪ B = B ⇐⇒ A ⊂ B (Que peut donc dire de A ∪ ; et A ∪ E ?)
5. f est positive ou nulle. 6. f et g sont égales.
7. A ∩ B = A ⇐⇒ A ⊂ B (Que peut donc dire de A ∩ ; et A ∩ E ?)
7. f Ê g .
Exercice 5.
Soit E un ensemble, A , B et C trois parties de E . On note A le complémentaire de A dans E .
Exercice 3.
Écrire à l’aide de quantificateurs, les propositions suivantes et leurs négations. Préciser lesquelles 1. Simplifier 2. Simplifier
sont vraies.
(a) A 1 = A ∩ (A ∪ B )
1. Aucun entier naturel n’est supérieur à tous les autres ; (a) (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B )
(b) A 2 = A ∪ (A ∩ B )
2. Il existe un entier naturel multiple de tous les autres ; (b) (A ∪ B ) ∩ (A ∪ B ) (c) A 3 = A ∩ (A ∪ B ) ∩ (A ∪ B ∪C )
3. Tout réel est le carré d’un réel ;
(c) (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ). (d) A 4 = A ∪ (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ∩C )
4. Les réels ne sont pas toujours des quotients d’entiers relatifs ;
5. Certains réels sont strictement supérieurs à leur carré ;
6. Étant donnés trois réels non nuls, il y en a au moins deux de même signe. Solution :
1. Par distributivité :
Solution : (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ) = A ∩ (B ∪ B ) = A ∩E = A
1. (a) ∀k ∈ N, ∃n ∈ N, n Ê k ; VRAI (A ∪ B ) ∩ (A ∪ B ) = 1 ∪ (B ∩ B ) = A ∪; = A
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Enfin :
(A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ) = A ∪ A = E .
Exercice 7.
| {z } | {z }
=A =A
Soit E un ensemble, et A , B et C trois parties de E .
2. A 1 = A ∩ (A ∪ B ) = (A ∩ A) ∪ (A ∩ B ) = ; ∪ (A ∩ B ) = A ∩ B .
A 2 = A ∪ (A ∩ B ) = (A ∪ A) ∩ (A ∩ B ) =hA ∩ (A ∪ B ) = A ∪iB
1. Montrer que : (A ∪ B = A ∪C et A ∩ B = A ∩C ) ⇒ B = C .
A 3 = A ∩ (A ∪ B ) ∩ (A ∪ B ∪C ) = (A ∩ A) ∪ (A ∩ B ) ∩ (A ∪ B ∪C ) 2. Montrer que : A = B ⇔ A ∩ B = A ∪ B .
= (; ∪ (A ∩ B )) ∩ (A ∪ B ∪C )
³ ∩ B ) ∩ ((A ∩ B ) ´∪C )
= (A
= (A ∩ B ) ∩ (A ∩ B ) ∪ (A ∩ B ∩C ) Exercice 8.
= ; ∪ (A ∩ B ∩C ) Soit E un ensemble non vide, A et B deux parties de E . Résoudre dans P (E ) les équations suivantes :
= A ∩ B ∩C
1. A ∪ X = B ; 2. A ∩ X = B ; 3. (A ∩ X ) ∪ (B ∩ X ) = ;.
£ ¤
A 4 = A ∪ (A e B ) ∪ (A ∩ B ∩C ) = (A ∪ A) ∩(A ∪ B ) ∪ (A ∩ b ∩C )
| {z }
=E ¡ ¢
= (A ∪ B ) ∪ (A ∪ B ) ∩C
£ ¤
= (A ∪ B ) ∪ (A ∪ B ) ∩ ((A ∪ B ) ∪C )
= A ∪ B ∪C Exercice 9.
Décrire P (P ({1})).
Exercice 6. Solution : ©
Soient A , B et C trois parties de E . Montrer P (P ({1})) = ;, ; , {1} , ;, {1} .
© ª© ª© ªª
1. A \ (B ∩C ) = (A \ B ) ∪ (A \C ) ; 2. A \ (B ∪C ) = (A \ B ) ∩ (A \C ) ;
3. A \ (A \ B ) = A ∩ B ; 4. (A \C ) ∪ (B \C ) = (A ∪ B ) \ C ;
5. A ∩ B = A ∩C ⇐⇒ A ∩ B = A ∩C ; 6. A ∪ B = A ∩C ⇐⇒ B ⊂ A ⊂ C ; Application
½
A ∩ B = A ∩C
7. B = C ⇐⇒
B \ A = C \ A. Exercice 10.
Soit la fonction :
f : R → R
Solution : x →
7 x 2 si x É 0
x → 7 x si x ∈]0, 2]
1. A\(B ∩C ) = A ∩ (B ∩C ) = A ∩ (B ∪C ) = (A ∩ B ) ∪ (A ∩C ) = (A\B ) ∪ (A\C ).
x → 7 2 si x > 2.
2. A\(B ∪C ) = a ∩ (B ∪C ) = A ∩ (B ∩C ) = A ∩ B ∩ A ∩C = (A\B ) ∩ (A\C ).
3. A\(A\B ) = A\(A ∩ B ) = A ∩ (A ∩ B ) = A ∩ (A ∪ B ) = (A ∩ A) ∪ (A ∩ B ) = ; ∪ (A ∩ B ) = A ∩ B .
Tracer f et donner : f (] − 1, 2[), f (] − 2, 3]), f −1 ({2}), f −1 ({1, 2}) et f −1 ([0, 2]).
4. (A\C ) ∪ (B \C ) = (A ∩C ) ∪ (B ∩C ) = (A ∪ B ) ∩C = (A ∪ B )\C .
5. Avec les indicatrices : Exercice 11.
A ∩ B = A ∩C ⇔ 11 A∩B = 11 A∩C Étudier l’injectivité, la surjectivité, la bijectivité des applications :
N N R∗ R1∗ N N
⇔ 11 A 11B = 11 A 11C
⇔ 11 A (1 − 11B ) = 11 A (1 − 11C ) → → →
f1 : f2 : n
si n pair,
½
⇔ 11 A 11B = 11 A 11C k →
7 2k + 1 x →
7 x f3 : 2
n 7→
⇔ 11 A∩B = 11 A∩C n si n impair.
⇔ A ∩ B = A ∩C
6. ⇒) : B ⊂ A ∪B = A ∩C ⊂ A donc B ⊂ A et A ⊂ A ∪B = A ∩C ⊂ C donc A ⊂ C . Finalement, B ⊂ A ⊂ C .
⇐) : A ∩C = A car A ⊂ C et A ∪ B = A car B ⊂ A , donc A ∩C = A ∪ B . Exercice 12.
7. ⇒) : évident. Soient E , F deux ensembles. Soit f : E → F une application. Soient A ⊂ E et B ⊂ E deux sous-ensembles
⇐) : on remarque que B \A = C \A ⇔ B ∩ A = C ∩ A . On a alors : de E . Montrer les propositions suivantes :
— A ⊂ B ⇒ f (A) ⊂ f (B ),
B = B ∩ E = B ∩ (A ∪ A) = (B ∩ A) ∪ (B ∩ A) = (A ∩C ) ∪ (C ∩ A) = C ∩ (A ∪ A) = C .
— f (A ∪ B ) = f (A) ∪ f (B ),
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— f (A ∩ B ) ⊂ f (A) ∩ f (B ). Soient E , F deux ensembles, f : E → F une application. On considère l’application
φ : P (E ) → P (F )
Solution : A 7→ f (A)
1. On suppose A ⊂ B . Soit y ∈ f (A), il existe, par définition de f (A), x ∈ A tel que y = f (x). Comme
A ⊂ B , x ∈ B , donc y = f (x) ∈ f (B ). Ceci étant valable pour tout y ∈ f (A), on a montré que f (A) ⊂ 1. Montrer que si f est injective, alors φ est injective.
f (B ). 2. Étudier la réciproque.
2. Par double inclusion. 3. Montrer que f est surjective si et seulement si φ est surjective.
— Soit y ∈ f (A ∪ B ), il existe x ∈ A ∪ B tel que y = f (x). Si x ∈ A , alors y = f (x) ∈ f (A), sinon x ∈ B
donc y = f (x) ∈ f (B ). Finalement y ∈ f (A) ∪ f (B ). Ceci étant valable pour tout y ∈ f (A ∪ B )
on a montré que f (A ∪ B ) ⊂ f (A) ∪ f (B ).
Solution :
— Soit y ∈ f (A) ∪ f (B ). Si y ∈ f (A) alors il existe x ∈ A tel que y = f (x). Si y ∈ f (B ), alors il existe
x ∈ B tel que y = f (x). Dans tous les cas il existe x ∈ A ∪ B tel que y = f (x), donc y ∈ f (A ∪ B ). 1. Soient A 1 , A 2 ∈ P (E ). On suppose que φ(A 1 ) = φ(A 2 ), alors f (A 1 ) = f (A 2 ).
Ceci étant valable pour tout y ∈ f (A) ∪ f (B ), on a montré que f (A) ∪ f (B ) ⊂ f (A ∪ B ). Supposons par l’absurde que A 1 6= A 2 , alors il existe x ∈ A 1 tel que x 6∈ A 2 , ou il existe x ∈ A 2 tel
Bilan : f (A ∪ B ) = f (A) ∪ f (B ). que x 6∈ A 1 .
3. Soit y ∈ f (A ∩ B ). Il existe x ∈ A ∩ B tel que y = f (x). En particulier x ∈ A , donc y ∈ f (A). En Quitte à échanger A 1 et A 2 , on peut supposer qu’il existe x ∈ A 1 tel que x 6∈ A 2 . Alors y = f (x) est
particulier x ∈ B , donc y ∈ f (B ). Finalement y ∈ f (A) ∩ f (B ), et ceci étant valable pour tout un élément de f (A 1 ), donc un élément de f (A 2 ). En particulier y admet un antécédent par f
y ∈ f (A ∩ B ), on a démontré que f (A ∩ B ) ⊂ f (A) ∩ f (B ). dans A 2 , et par injectivité de f , c’est x , donc x ∈ A 2 , ce qui contredit l’hypothèse de départ.
Finalement A 1 = A 2 et φ est injective.
2. On suppose que φ est injective.
Exercice 13. Soient x 1 , x 2 ∈ E . On suppose que f (x 1 ) = f (x 2 ). Alors f ({x 1 }) = f ({x 2 }) donc φ({x 1 }) = φ({x 2 }) et
Soient E , F,G trois ensembles. Soient f : E → F et g : F → G . par injectivité de φ, {x 1 } = {x 2 }, donc x 1 = x 2 . Ainsi f est injective.
La réciproque est vraie.
1. Montrer que si f et g sont surjectives, alors g ◦ f est surjective.
3. • On suppose que f est surjective.
2. Montrer que si f et g sont injectives, alors g ◦ f est injective.
Soit B ∈ P (F ). On peut considérer A = x ∈ E ¯ f (x) ∈ B ∈ P (E ). Alors φ(A) = f (A) ⊂ B car les
© ¯ ª
3. Montrer que si g ◦ f est injective et f surjective alors g est injective. éléments de A ont une image dans B par définition. Réciproquement, si y ∈ B , il existe x ∈ E
tel que y = f (x) par surjectivité de f , donc x ∈ A puis y = f (x) ∈ f (A) = φ(A). Ceci étant vrai
pour tout y ∈ B , on a montré que B ⊂ φ(A).
Par double inclusion, φ(A) = B , et ceci étant vrai pour tout B ∈ P (F ), φ est surjective.
Exercice 14.
• On suppose que φ est surjective. Soit y ∈ F , alors {y} ∈ P (F ) admet un antécédent par φ : il
Soient E , F , G trois ensembles et f : E → F , g : F → G et h : G → E trois applications.
existe A ∈ P (E ) telle que φ(A) = {y}. A 6= ∅ car φ(∅) = ∅ 6= {y}, donc il existe x ∈ A . Par définition
Montrer que si g ◦ f et h ◦ g sont bijectives, alors f , g et h sont bijectives.
de A , f (x) = y .
Ainsi y admet un antécédent par f , ceci étant valable pour tout y ∈ F , on a prouvé que f est
Solution : surjective.
• Montrons que g est injective.
Soient y 1 , y 2 ∈ F tels que g (y 1 ) = g (y 2 ). Alors h ◦ g (y 1 ) = h ◦ g (y 2 ).
Par bijectivité de h ◦ g , cette dernière application est injective, donc y 1 = y 2 , donc g est injective. Exercice 16.
Montrer que f : E → F est injective si et seulement si : ∀(A, B ) ∈ P (E ), f (A ∩ B ) = f (A) ∩ f (B ).
• Montrons que g est surjective.
(On pourra commencer par comparer f (A ∩ B ) et f (A) ∩ f (B ).)
Soit z ∈ G (arrivée pour g ). Par bijectivité de g ◦ f , cette dernière application est surjective, donc il
existe x ∈ E tel que g ◦ f (x) = z , donc g f (x) = z , si bien que z admet l’antécédent y = f (x) ∈ F par g .
¡ ¢
Ceci étant valable pour tout z ∈ G , g est surjective.*
Exercice 17.
• Finalement, g est bijective, et g −1 sa bijection réciproque est bijective.
Soit E un ensemble et A, B deux parties de E . On considère l’application :
Par composition de bijections :
— f = g −1 ◦ (g ◦ f est bijective, P (E ) → P (A) × P (B )
— h = (h ◦ g ) ◦ g −1 est bijective. f :
X 7→ (A ∩ X , B ∩ X )
1. Donner une condition nécessaire et suffisante pour que l’application f soit injective.
Exercice 15. 2. Donner une condition nécessaire et suffisante pour que l’application f soit surjective.
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3. Donner une condition nécessaire et suffisante pour que l’application f soit bijective. Dans ce
cas, expliciter la bijection réciproque.
Exercice 18.
Soit E un ensemble. F désigne l’ensemble des applications de E dans E . Soit f ∈ F .
1. Montrer que : f injective ⇔ (∀(g , h) ∈ F 2 , f ◦ g = f ◦ h ⇒ g = h) ;
2. Montrer que : f surjective ⇔ (∀(g , h) ∈ F 2 , g ◦ f = h ◦ f ⇒ g = h) ;
Exercice 19.
Soit E un ensemble et f : E → E telle que f = f ◦ f ◦ f .
Montrer que : f injective ⇔ f surjective.
Solution :
⇒ . Supposons que f soit injective. Soit x ∈ E . On a f (x) = f ◦ f ◦ f (x). Par injectivité, on en déduit que
¢
x = f ◦ f (x) = f (z) avec z = f (x). Donc tout x ∈ E admet au moins un antécédente, et f est surjective.
⇐ .Supposons que f soit surjective. Soient x 1 et x 2 des éléments de E , tels que f (x 1 ) = f (x 2 ). Par sur-
¢
jectivité de f , ∃(y 1 , y 2 ) ∈ E 2 , x 1 = f (y 1 ) et x 2 = f (y 2 ). On a donc f ◦ f (y 1 ) = f ◦ f (y 2 ) et en composant par
f , f ◦ f ◦ f (y 1 ) = f ◦ f ◦ f (y 2 ), soit en utilisant l’hypothèse, f (y 1 ) = f (y 2 ) soit encore, x 1 = x 2 . On a donc
montré que ∀(x 1 , x 2 ) ∈ E 2 , f (x 1 ) = f (x 2 ) ⇒ (x 1 = x 2 ), soit f est injective.
¡ ¢
Exercice 20.
Soit f : P (E ) → R+ vérifiant :
∀(A, B ) ∈ P (E )2 , A ∩ B = ; ⇒ f (A ∪ B ) = f (A) + f (B ).
Montrer que f (;) = 0 et ∀(X , Y ) ∈ P (E )2 , f (X ∪ Y ) = f (X ) + f (Y ) − f (X ∩ Y ).
Trouver alors l’expression de f (X ∪ Y ∪ Z ).
Exercice 21.
Soit E un ensemble, A ∈ P (E ). On note :
P (E ) −→ P (E ) P (E ) −→ P (E )
ϕA : et ψA : .
X 7−→ X ∩ A X 7−→ X ∪ A
Montrer que :
1. ϕ A injective ⇔ ϕ A surjective ⇔ A = E ;
2. ψ A injective ⇔ ψ A surjective ⇔ A = ;.
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