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Systeme de Demarrage

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CHAPITRE 3

LE SYSTÈME DE
DÉMARRAGE

01/14/23 cours elèctromecanique


PLAN
I. LES FONCTIONS DU DÉMARREUR

II. SOLUTION TECHNOLOGIQUE

III. LE DEMARREUR A INERTIE

IV. DÉMARREUR À COMMANDE


ÉLECTROMAGNÉTIQUE

01/14/23 cours elèctromecanique


I. LES FONCTIONS DU DÉMARREUR

1. La condition de démarrage des moteurs

2. Les moyens de mise en rotation du moteur

3. La Condition à remplir par le démarreur

4. Le couple résistant au départ du moteur

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1. La condition de démarrage des moteurs

Les moteurs thermiques, pour démarrer, demandent à


être entraînés à une vitesse de rotation suffisante:
Moteur à explosion, 100 tr/min,
Moteur Diesel, 150 tr/min.
Cette vitesse est nécessaire pour permettre, aux moteurs
à essence:
L'amorçage et la vaporisation de l'essence (figure1) ;
Une pression en fin de compression normale (fuites par la
segmentation à basse vitesse), (figure2)
Une f.é.m. d'allumage suffisante (E =∆Φ/∆t), etc.

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Figure 1 : moteur à carburant. Dépression nécessaire :

(a) à l’amorçage de l’essence H>H1 ;

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(b) à la vaporisation du mélange, La dépression est proportionnelle à la
vitesse de l’air.

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Figure 2 : temps de compression : à basse vitesse, fuite de pression
par la segmentation.

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2- moyens de mise en rotation du moteur

Cette fonction est remplie par le démarreur, moteur


électrique à courant continu, qui transforme l'énergie
électrique de la batterie en énergie mécanique.

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3- condition à remplir par le démarreur

Il doit:

Au départ (dégommage du moteur), fournir un couple


supérieur au couple résistant offert par le moteur;

En rotation, posséder une puissance (P =Cω) qui permet


de maintenir le couple (C) à la vitesse requise:

ω=2π n/60

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4- le couple résistant au départ du moteur

Il est le résultat de plusieurs efforts résistants:


Force d'adhérence des pièces du moteur et de la boîte de
vitesses provenant de la viscosité à froid de l'huile
(gommage) ;
Inertie des pièces à mettre en mouvement: elle augmente
avec leur masse (forte cylindrée, moteur Diesel) ;
Action des temps résistants du cycle, notamment de la
compression (élevée en fonction du rapport volumétrique) ;
Entraînement des équipements: distribution, pompe à huile,
allumeur, alternateur, etc.

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II- SOLUTION TECHNOLOGIQUE

1. le moteur électrique

2. le démarreur

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1. le moteur électrique

a- principe de fonctionnement d'un moteur électrique à courant


continu

b- les facteurs du moment de couple

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a- principe de fonctionnement d'un moteur électrique à courant
continu

On peut observer que les phénomènes électromagnétiques


étudiés dans la dynamo et l'alternateur sont réversibles. Un
conducteur qui se déplace dans un champ magnétique est le siège
d'une force électromotrice.

Inversement, dans un champ magnétique, un conducteur


parcouru par un courant électrique est soumis à une force qui tend à
le chasser hors du champ. Donc, si l'on place une spire parcourue
par un courant dans un champ magnétique, chacun de ses brins est
soumise à une force électromotrice.

Ces deux forces sont de même intensité, de même direction


mais de sens opposé. La distance qui les sépare réalise un couple
qui tend à faire tourner la spire (figure 4). Si l'on augmente le nombre
de spires et que leur décalage angulaire est régulier, on obtient une
rotation continue.

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Figure 3 : liaisons mécaniques et électriques du démarreur

Au repos Au démarrage
Batterie Contacteur Fourchette

Volant moteur

Pignon du lanceur

Partie électrique du
démarreur

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Figure 4 : le moment du couple

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b- les facteurs du moment de couple

Le moment du couple dans un moteur électrique est fonction


de la relation C= kΦI dans laquelle:
k est un coefficient qui dépend de la construction (nombre de paires
de pôles, d'encoches, etc.) ;
Φ est l'intensité du flux inducteur produit par le champ magnétique;
I est l'intensité du courant qui circule dans les spires de l'induit
soumises au champ.
Pour un démarreur de construction donnée, tétra polaire en
général, le couple maximal sera obtenu grâce à :
un flux inducteur important, sachant queΦ est proportionnel à I
dans l'inducteur;
une forte intensité dans les spires de l'induit.

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Suite (b)

Le moteur à excitation (inducteurs) en série réalise ces


conditions puisque la même intensité électrique circule dans les
bobinages de l'inducteur et de l'induit (figure 5,6).

Le couple demandé au démarreur est relativement élevé.


Pour un moteur à explosion de cylindrée moyenne, il se situe entre 8
et 15 daN. m. Au moment du dégommage du moteur (démarreur
bloqué), l'intensité absorbée peut atteindre 400 A pendant un court
instant. L'intensité diminue au fur et à mesure que le démarreur
prend de la vitesse (environ 200 A).

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Figure 5 : démarreur avec 1 inducteur branché en série l’induit

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Figure 6 : démarreur tétra polaires: branchement des quatre
bobinages inducteurs en série

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2- le démarreur

a- éléments constitutifs

b- couple du démarreur et couple résistant

c- la mise en action du démarreur

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a- Eléments constitutifs

Un démarreur comprend (figure 7) :


Un flasque avant appelé nez de démarreur (1) qui permet:
La rotation de l'extrémité avant de l'arbre d'induit (palier) ;
La mise en position du pignon de lanceur (6) et ses
mouvements de rotation et de translation;
La fixation du démarreur sur le bloc moteur;
Un flasque arrière (2) qui permet:
La rotation de l'extrémité arrière de l'arbre
d'induit (palier) ;
La mise en position des porte-balais et des
balais;

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a- Eléments constitutifs: (suite)

Une carcasse (3) qui sert de support :


• Aux deux flasques et réalise la rigidité et l'étanchéité;
• Aux masses polaires munies de leurs bobinages inducteurs
fixes (4), elles sont au nombre de quatre en général
(tétrapolaires) ;
Un induit (tournant) à collecteur plat ou tambour (5) ;
Un lanceur (6) dont le pignon est monté sur roue libre;
Un dispositif de commande du lanceur et du moteur
électrique (7-8) de conception variable selon le type de
démarreur.

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Figure 7: démarreur à commande électromagnétique

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a- Eléments constitutifs: (suite)

La forte intensité du courant oblige à concevoir des


conducteurs dont le matériau et la section offrent une
faible résistance électrique.
Les bobinages de l'induit et de l'inducteur sont en générai
constitués d'épaisses lames de cuivre de section
rectangulaire. La liaison électrique batterie/démarreur est
réalisée par des câbles souples de forte section. La
résistance des connexions doit également être minimale.
La commande du moteur électrique devra être effectuée
par un relais (figure 8).

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Figure 8: commande électromagnétique du
démarreur

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b- Couple du démarreur et couple résistant

L'entraînement mécanique du moteur s'effectue par


l'engrènement du pignon du lanceur avec la grande
couronne du volant moteur (figure 9).
Le rapport de couple est élevé (R = 10 à 15/1).

Exemple:
 Un démarreur fournit un couple démarreur bloqué de
10 N. m et le rapport de couple est de 10/1.
 Le volant moteur recevra un couple dont le moment
sera égal à:
10 x 10 = 100 N'm.

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Figure 9: engrenage de démarrage

Roue de la grande couronne

- démultiplication de la
vitesse : N1=N2.D1/D2
Pignon du - multiplication du couple
lanceur C2=C1. D2/D1
- rapport de couple : R=
D2/D1

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c- La mise en action du démarreur
La liaison mécanique momentanée du démarreur avec le
moteur nécessite:
Une action électrique assurant la liaison batterie/ moteur
électrique;
Une action mécanique assurant l'engrènement du pignon
de lanceur sur la grande couronne.
Le conducteur n'agit que sur une seule commande.
Les actions sont toujours conjuguées. Selon le type de
moteur, elles peuvent s'effectuer:
Démarreur à inertie: action électrique puis méca­nique,
Démarreur à commande positive et à commande
électromagnétique: action mécanique puis électrique.

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III- LE DÉMARREUR A INERTIE

1. Le conducteur actionne

2. Le moteur est démarré

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1. Le conducteur actionne
Le contacteur de démarrage C1 (figure 10). Le relais est
alimenté, le courant circule dans le bobinage. L'attraction
magnétique produite attire la palette du contacteur de
puissance (C2). Le courant de la batterie va au démarreur.
Le montage du lanceur sur l'arbre d'induit est réalisé par
une liaison glissière hélicoïdale (figure 11).
Lorsque le moteur électrique est lancé, l'inertie du lanceur
le maintient un instant immobile. La rotation rapide de la
rampe hélicoïdale le déplace en translation. L'engrènement
s'effectue (figure 12).
Le volant moteur est entraîné.

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2. Le moteur est démarré

Le conducteur cesse son action sur le contacteur de


démarrage. La grande cou­ronne entraîne alors le pignon
du lanceur. Le pignon du lanceur tourne plus vite que son
arbre, il coulisse sur sa rampe hélicoïdale et revient en
position de repos (figure 11).

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Figure 10 : démarreur à lanceur à inertie
(liaisons électriques et mécaniques)

Relais

Rampe
hélicoïdale
Pignon du
lanceur
Induit du
Grande
démarreur
couronne

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Figure 11 : démarreur à lanceur à inertie (lanceur en repos)

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Figure 12 : démarreur à lanceur à inertie (lancement)

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IV- LE DÉMARREUR A COMMANDE
ELECTROMAGNETIQUE

1. Principe de fonctionnement

2. Avantage

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1. Principe de fonctionnement
La disposition de commande comprend (figure 13) :
Un solénoïde (3) dont le noyau plongeur (4) permet:
- Par sa partie arrière (C2), la fermeture du circuit
de puissance (Cp)' C'est la fonction de relais
électromagnétique;
- Par sa partie avant, la mise en action de la
fourchette du lanceur (5) ;
Un lanceur coulissant sur son arbre (par une rampe
hélicoïdale) dont le pignon est monté sur roue libre (6).

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Figure 13 a : dispositif de commande d’un
Démarreur à lanceur électromagnétique
(étape 1)

Solénoïde

Noyau Fourchette
plongeur
Lanceur
Inducteur
Induit

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Figure 13 b : dispositif de commande d’un
Démarreur à lanceur électromagnétique
(étape 1)

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1. Principe de fonctionnement (suite)
a. Le conducteur, par son action sur le combiné de démarrage,
ferme le circuit de commande du solénoïde (Cc) (figure 13a)
• Le bobinage d'appel (Ra) est parcouru par un courant qui
se ferme à la masse par le balai négatif en passant par les
bobinages des inducteurs et de l'induit. Le bobinage de
maintien (Rm) est parcouru par un courant qui se ferme
directement à la masse du solénoïde.
• Le noyau plongeur est actionné par attraction magnétique
et vient se centrer dans les bobinages
La fourchette bascule et engrène le pignon du lanceur (figure
13b). Le contacteur de puissance (C2) ferme le circuit
batterie/démarreur (Cp)'

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1. Principe de fonctionnement (suite)
•Le bobinage d'appel (Ra), au même potentiel à ses
extrémités, n'est plus alimenté. Le bobinage (Rm)
maintient le noyau en position.
b- Le moteur thermique démarre. La grande couronne
devient menante. Le pignon du lanceur tourne plus vite
grâce à sa roue libre.
Tout risque de centrifugation des bobinages de l'induit est
évité, même si le conducteur ne cesse pas son action sur
le contacteur (figure 14 a).
• L'enroulement de maintien n'est plus alimenté par C1 mais
reçoit un courant positif qui passe par le contacteur de
puissance (C2) et traverse l'enroulement d'appel (Ra) en
sens inverse.

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1. Principe de fonctionnement (suite)

• Le bobinage d'appel (Ra) a changé de polarité, le champ


magnétique qu'il produit s'oppose à celui du bobinage de
maintien (Rm) : les deux champs opposés s'annulent.
• Le ressort de rappel ramène le noyau plongeur en position
de repos (figure 14 b).
• Le contacteur de puissance est ouvert: l'induit s'arrête de
tourner. La fourchette ramène le lanceur en position de
repos (désaccouplement et arrêt du pignon).

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Figure 14 a: dispositif de commande d’un
Démarreur à lanceur électromagnétique
(étape 2)

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Figure 14 b: dispositif de commande d’un
Démarreur à lanceur électromagnétique
(étape 2)

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1. Principe de fonctionnement (suite)

Remarque:
Si au moment de l'engrènement, le pignon du lanceur
bute sur une dent de la grande couronne, un ressort situé
sur la fourchette permet au noyau de continuer sa course.
Le contacteur de puissance se ferme. Le pignon
s'engrène dès sa mise en rotation sous l'action du
ressort.

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2. Avantage

a- Les démarreurs à collecteur plat

b- Les démarreurs à engrenage épicycloïdal

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a- Les démarreurs à collecteur plat

La disposition à plat du collecteur permet de diminuer :


• La longueur du démarreur, ce qui limite son
encombrement et son porte-à-faux;

• Sa masse pour une puissance égale (augmentation


de la puissance massique).

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b- Les démarreurs à engrenage épicycloïdal

L'interposition de ce réducteur (figure 15) entre le bobinage


induit et le lanceur a pour rôle de permettre une
démultiplication supplémentaire qui permet:
• D'augmenter la fréquence de rotation de l'induit;
• D'obtenir la puissance par la fréquence de rotation
(P = Cω).

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Figure 15 : démarreur à engrenage
épicycloïdal

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b- Les démarreurs à engrenage
épicycloïdal (suite)
Cela permet de réaliser des démarreurs dont:
 La section des conducteurs constituant les bobinages est
plus faible (I réduite) ;
 L'ensemble des éléments électriques est de dimensions
réduites.

Ce type de démarreur est:


 Plus léger;
 Moins encombrant;
 Sans entretien (longévité des charbons).

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b- Les démarreurs à engrenage
épicycloïdal (suite)
Le tableau récapitule les transformations d'énergies qui s'effectuent dans
un véhicule à moteur thermique:

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MEMO

Fonction du démarreur

Le démarrage du moteur nécessite son entraînement à


une certaine vitesse de rotation (100 à 150 tr/min).
Cette fonction est remplie par le démarreur, moteur
électrique à courant continu, qui transforme l'énergie
électrique de la batterie d'accumulateurs en énergie
mécanique. Il doit vaincre le couple résistant qui provient
notamment de la compression des gaz au troisième
temps du cycle (compression).

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MEMO
Solutions technologiques

Le couple demandé nécessite :


 Un flux inducteur élevé produit par une intensité élevée;
 Une intensité importante dans le bobinage induit.

Le moteur à excitation série permet de réaliser ces


conditions. L'intensité absorbée par le démarreur au
moment du démarrage est très élevée. Aussi les
bobinages de l'induit et de l'inducteur sont-ils formés de
lames de cuivre de forte section afin de limiter les
résistances électriques et l'échauffement anormal.

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MEMO

Démarreur à inertie

Le pignon de lanceur est monté sur une rampe hélicoïdale


solidaire de l'induit.
Lorsque le démarreur se met à tourner, le pignon de lanceur,
par son inertie, reste un instant immobile. La rotation de la
rampe dans le pignon le déplace translation. Il s'engrène sur
la grande couronne. Moteur démarré, la grande couronne
entraîne le pignon de lanceur plus vite que son arbre. Il pivote
sur sa rampe hélicoïdale, se translate et revient en position
de repos.

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MEMO
Démarreur à commande électromagnétique

La mise en circuit du solénoïde déplace son noyau plongeur qui :


 Fait basculer la fourchette et enclenche le pignon du lanceur;
 Ferme le contact de la ligne de puissance. Le moteur électrique est
alimenté et se met à tourner.
Lorsque le conducteur cesse son action sur le contact de démarrage le
retour du noyau plongeur en position de repos est assuré par:
 Annulation des champs magnétiques produits par les deux bobinages
du solénoïde ;
 Action du ressort de rappel de fourchette.
Le contact de puissance s'ouvre et la fourchette ramène le pignon du
lanceur en position de repos.
Les démarreurs à collecteur plat et à réducteur offrent une puissance
égale pour un encombrement et une masse réduits.

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