L'article retrace une liaison amoureuse entre le peintre Francis Picabia et Suzanne Romain pendant l'occupation, illustrée par la publication de leur correspondance. Les lettres, chargées de références à Nietzsche, témoignent de l'influence philosophique sur Picabia, qui cherche à initier Romain à la pensée libre. Toutefois, malgré ces inspirations, leur relation se heurte à des réalités complexes et à des choix difficilement concrets pour Romain.